J'avais sur moi le tome second des Voyages de Spallanzani. J'ouvris au hasard, je me rapprochai d'elle, elle appuya son épaule à mon épaule, et nous nous mîmes à lire chacun de notre côté, tout bas, la même page. Avant de tourner le feuillet,... Le dernier jour d'un condamné - Page 174de Victor Hugo - 1835 - 263 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| 1833 - 598 pages
...chacun de notre cote, tout bas, la meme page. Avant de tourner le feuillet, elle etait toujours obligee de m'attendre. Mon esprit allait moins vite que le...sien. — Avez-vous fini ? me disaitelle, que j'avais a peine commence. ' Cependant nos tetes se touchaient, nos cheveux se melaient, nos haleines peu a... | |
| Victor Hugo - 1843 - 686 pages
...hasard , je nie rapprochai d'elle, elle appuya «on épaule à mon épaule, et nous nous mîmes à lire chacun de notre côté, tout bas , la même page....peine commencé. Cependant nos têtes se touchaient, nos cheveux se mêlaient; nos haleines peu à peu se rapprochèrent, et nos bouches tout à conp. Quand... | |
| Victor Hugo - 1853 - 556 pages
...d'elle, elle appuya son épaule à mon épaule, et nous nous mimes à lire chacun de noire côlé, lout bas, la même page. Avant de tourner le feuillet,...toujours obligée de m'attendre. Mon esprit allait moins vile que le sien. — Avez-vous uni? me disait-elle, que j'avais à peine commencé. Cependant nos... | |
| Jules Janin - 1854 - 472 pages
...mîmes à lire chacun de « notre côté, tout bas, la même page. Avant de tourner le feuil« let, elle était toujours obligée de m'attendre : mon...commencé. « Cependant nos têtes se touchaient, nos cheveux se mêlaient, « nos haleines peu à peu se rapprochèrent, et nos bouches tout à « coup.... | |
| Jules Janin - 1854 - 472 pages
...mîmes à lire chacun de « notre côté, tout bas, la même page. Avant de tourner le feuil« let, elle était toujours obligée de m'attendre : mon...que « j'avais à peine commencé. « Cependant nos tètes se touchaient, nos cheveux se mêlaient , « nos haleines peu à peu se rapprochèrent, et nos... | |
| Jules Janin - 1854 - 470 pages
...hasard, je me rapprochai d'elle, elle appuya son « épaule à mon épaule, et nous nous mîmes à lire chacun de « notre côté, tout bas, la même page. Avant de tourner le feuil« let, elle était toujours obligée de m'attendre : mon esprit allait « moins vite que le sien.... | |
| Victor Hugo - 1877 - 420 pages
...hasard, je me rapprochai d'elle, elle appuya son épaule à mon épaule, et nous nous mîmes à lire chacun de notre côté, tout bas, la même page. Avant...m'attendre. Mon esprit allait moins vite que le sien. Cependant nos têtes se touchaient, nos cheveux se mêlaient : nos haleines peu à peu se rapprochèrent,... | |
| Victor Hugo - 1881 - 564 pages
...hasard, je me rapprochai d'elle, elle appuya son épaule à mon épaule, et nous nous mimes à lire chacun de notre côté, tout bas, la même page. Avant...disait-elle, que j'avais à peine commencé. Cependant nos tètes se touchaient, nos cheveux se mêlaient, nos haleines peu à peu se rapprochèrent, et nos bouches... | |
| 1883 - 730 pages
...« des prunelles noires à travers des cils noirs », le tome second des Voyage* de Spallanzani. « Avant de tourner le feuillet, elle était toujours...fini? me disait-elle, que j'avais à peine commencé. » Bientôt, et dés l'enfance encore, cet autre amour qui a été le grand amour de sa vie, allait... | |
| Thomas Frederick Crane - 1886 - 430 pages
...et nous nous mîmes à lire chacun de notre côté, tout bas, la même page. Avant de tourner le 5 feuillet, elle était toujours obligée de m'attendre....peine commencé. Cependant nos têtes se touchaient, nos cheveux 10 se mêlaient, nos haleines peu à peu se rapprochèrent, et nos bouches tout à coup.... | |
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