Oeuvres complètes de Montesquieu, Volume 1Librairie de L. Hachette, 1859 |
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... presque tous ses citoyens hors de ses murailles , tantôt toute l'Italie et une partie de la terre dans ses murailles , on n'avoit point fixé ce nombre2 ; et ce fut une des grandes causes de sa ruine . Le peuple qui a la souveraine ...
... presque tous ses citoyens hors de ses murailles , tantôt toute l'Italie et une partie de la terre dans ses murailles , on n'avoit point fixé ce nombre2 ; et ce fut une des grandes causes de sa ruine . Le peuple qui a la souveraine ...
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... presque point de lois civiles sur la propriété des terres . Il suit du droit que le souverain a de succé- der , qu'il n'y en a pas non plus sur les successions . Le négoce exclusif qu'il fait dans quelques pays rend inutiles toutes ...
... presque point de lois civiles sur la propriété des terres . Il suit du droit que le souverain a de succé- der , qu'il n'y en a pas non plus sur les successions . Le négoce exclusif qu'il fait dans quelques pays rend inutiles toutes ...
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... presque tous les États d'Europe , les peines ont diminué ou augmenté à mesure qu'on s'est plus approché ou plus éloigné de la liberté . Dans les pays despotiques , on est si malheureux que l'on y craint plus la mort qu'on ne regrette la ...
... presque tous les États d'Europe , les peines ont diminué ou augmenté à mesure qu'on s'est plus approché ou plus éloigné de la liberté . Dans les pays despotiques , on est si malheureux que l'on y craint plus la mort qu'on ne regrette la ...
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... presque toutes ôtées dans la république , soit par une suite de la loi Valérienne3 , soit par une conséquence de la loi Porcie ' . On ne remarqua pas que la république en fût plus mal réglée , et il n'en résulta aucune lésion de police ...
... presque toutes ôtées dans la république , soit par une suite de la loi Valérienne3 , soit par une conséquence de la loi Porcie ' . On ne remarqua pas que la république en fût plus mal réglée , et il n'en résulta aucune lésion de police ...
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... presque tous les crimes 3 , parce que la dés- obéissance à un si grand empereur que celui du Japon est un crime énorme . Il n'est pas question de corriger le coupable , mais de ven- ger le prince . Ces idées sont tirées de la servitude ...
... presque tous les crimes 3 , parce que la dés- obéissance à un si grand empereur que celui du Japon est un crime énorme . Il n'est pas question de corriger le coupable , mais de ven- ger le prince . Ces idées sont tirées de la servitude ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
affaires Aristote Athènes auroit avoient avoit Baluze barbares Beaumanoir c'étoit capitulaire CHAP Charlemagne Charles le Chauve Chine choses citoyens climat code commerce connoît constitution corps crime démocratie Denys d'Halicarnasse devoit doit donner enfans esclaves établi Etats États despotiques étoient étoit eût faisoient faisoit falloit femmes fiefs foiblesse force gens gouvernemens gouvernement despotique Grecs Grégoire de Tours guerre hommes libres Ibid Indes juger l'an l'argent l'empire l'esclavage l'Esprit des Lois l'État Lacédémone législateur liberté loi salique lois civiles lois somptuaires Louis le Débonnaire luxe magistrats modérés mœurs monarchie monarque monnoie Montesquieu n'avoient n'avoit n'étoient nation nature naturelle paroît particuliers pays peine père Perse peuple Plutarque politique pourroit pouvoient pouvoir prince principe puissance exécutrice punir qu'un raison règle religion république rois Romains Rome seigneur sénat sent seroient seroit servitude Servius Tullius seul sorte Strabon sujet Tacite terres tion Tite Live tribunal tributs trouve vertu VIII vouloit Wisigoths СНАР
Fréquemment cités
Page 4 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la Divinité ' a ses lois , le monde matériel a ses lois , les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 128 - ... il n'ya point de liberté, parce qu'on peut craindre que le même monarque ou le même sénat ne fasse des lois tyranniques pour les exécuter tyranniquement. Il n'ya point encore de liberté si la puissance de juger n'est pas séparée de la puissance législative, et de l'exécutrice.
Page 128 - Tout seroit perdu si le même homme, ou le même corps des principaux, ou des nobles, ou du peuple, exerçoient ces trois pouvoirs : celui de faire des lois, celui d'exécuter les résolutions publiques, et celui de juger les crimes ou les différends des particuliers.
Page 1 - J'ai d'abord examiné les hommes, et j'ai cru que, dans cette infinie diversité de lois et de mœurs, ils n'étaient pas uniquement conduits par leurs fantaisies. J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale.
Page 18 - Il ya cette différence» entre la nature du gouvernement et son principe que sa nature est ce qui le fait être tel, et son principe ce qui le fait agir. L'une est sa structure particulière, et l'autre les passions humaines qui le font mouvoir.
Page 24 - L'honneur fait mouvoir toutes les parties du corps politique ; il les lie par son action même, et il se trouve que chacun va au bien commun, croyant aller à ses intérêts particuliers.
Page 593 - Dans un pays où l'on a le malheur d'avoir une religion que Dieu n'a pas donnée, il est toujours nécessaire qu'elle s'accorde avec la morale , parce que la religion , même fausse , est le meilleur garant que les hommes puissent avoir de la probité des hommes.
Page 2 - Si je pouvois faire en sorte que tout le monde eût de nouvelles raisons pour aimer ses devoirs, son prince, sa patrie, ses lois; qu'on pût mieux sentir son bonheur dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque poste où l'on se trouve, je me croirois le plus heureux des mortels.
Page 154 - Mais il ne faut pas toujours tellement épuiser un sujet, qu'on ne laisse rien à faire au lecteur. Il ne s'agit pas de faire lire, mais de faire penser.
Page 484 - JE le dis, et il me semble que je n'ai fait cet ouvrage que pour le prouver, l'esprit de modération doit être celui du législateur; le bien politique, comme le bien moral, se trouve toujours entre deux limites.