Répertoire général du Théâtre Français: MolièreH. Nicolle, 1818 |
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... j'ai omis dans cette vie de Mo- lière les contes populaires touchant Chapelle et ses amis , mais je me sens obligé de dire que ces contes , adoptés par Grimarest , sont très faux . Le feu duc de Sulli , le dernier prince de Vendôme , l ...
... j'ai omis dans cette vie de Mo- lière les contes populaires touchant Chapelle et ses amis , mais je me sens obligé de dire que ces contes , adoptés par Grimarest , sont très faux . Le feu duc de Sulli , le dernier prince de Vendôme , l ...
Page 24
... j'ai ton secours , je dois me rassurer , Je sais que ton esprit , en intrigues fertile , N'a jamais rien trouvé qui lui fût difficile ; Qu'on te peut appeler le roi des serviteurs ; Et qu'en toute la terre ... MASCARILLE . Hé ! trève de ...
... j'ai ton secours , je dois me rassurer , Je sais que ton esprit , en intrigues fertile , N'a jamais rien trouvé qui lui fût difficile ; Qu'on te peut appeler le roi des serviteurs ; Et qu'en toute la terre ... MASCARILLE . Hé ! trève de ...
Page 26
... courez ! Ma cervelle toujours marche à pas mesurés . J'ai trouvé votre fait : il faut ... Non , je m'abuse . Mais si vous alliez ... LÉLIE . Où ? J'en songeois une ... MASCARILLE . C'est une foible ruse 26 L'ÉTOUR DI .
... courez ! Ma cervelle toujours marche à pas mesurés . J'ai trouvé votre fait : il faut ... Non , je m'abuse . Mais si vous alliez ... LÉLIE . Où ? J'en songeois une ... MASCARILLE . C'est une foible ruse 26 L'ÉTOUR DI .
Page 30
CÉLIE . Autrefois j'ai connu cet honnête garçon , Et vous n'avez pas lieu d'en prendre aucun soupçon . MASCARILLE . Est - ce là le seigneur Trufaldin ? CÉLIE . Oui , lui - même . MASCARILLE . Monsieur , je suis tout vôtre ; et ma joie ...
CÉLIE . Autrefois j'ai connu cet honnête garçon , Et vous n'avez pas lieu d'en prendre aucun soupçon . MASCARILLE . Est - ce là le seigneur Trufaldin ? CÉLIE . Oui , lui - même . MASCARILLE . Monsieur , je suis tout vôtre ; et ma joie ...
Page 38
... j'ai tort . Mais qui l'eût deviné ? MASCARILLE . Il falloit en effet être bien raffiné ! LÉLIE . Tu me devois par signe avertir de l'affaire . MASCARILLE . Qui , je devois au dos avoir mon luminaire . Au nom de Jupiter , laissez - nous ...
... j'ai tort . Mais qui l'eût deviné ? MASCARILLE . Il falloit en effet être bien raffiné ! LÉLIE . Tu me devois par signe avertir de l'affaire . MASCARILLE . Qui , je devois au dos avoir mon luminaire . Au nom de Jupiter , laissez - nous ...
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Répertoire général du Théâtre Français: composé des tragédies, comédies et ... Affichage du livre entier - 1823 |
Expressions et termes fréquents
Adieu ALBERT Allez ALMANZOR ALPHONSE amant amour ANDRÈS ANSELME ASCAGNE assez auroit avez beau c'étoit CATHOS chère chose ciel cœur comédiens connoissance coup courroux crois CROISY déguisée DÉPIT AMOUREUX dessein Dieu dire discours disgrace doit don Alvar don Garcie don Sylve DONE ELVIRE douleur doux ÉLISE ELVIRE enfin ÉRASTE ERGASTE esprit êtes étoit FEMME DE SGANARELLE feux fille flamme fourbe FROSINE gloire GORGIBUS grace GRANGE GROS-RENÉ Hélas HIPPOLYTE homme hymen IGNÈS j'ai j'aurois j'avois j'en jaloux jamais JODELET l'amour laisse LÉANDRE LÉLIE LOPE LUCILE m'en vais madame MADELON maître MARINETTE MAROTTE MASCARILLE MÉTAPHRASTE Molière monsieur PANDOLFE par-tout parler paroître père POLIDORE PRÉCIEUSES RIDICULES prendre prince prompt puisse qu'un raison rien rival s'il sais SCÈNE VIII secret seigneur seroit seul soins sort souffrir soupçons théâtre du Petit-Bourbon traître transport troupe de Molière trouver TRUFALDIN VALÈRE venger veut veux vient vœux voilà vois voudrois vrai yeux
Fréquemment cités
Page 367 - à craindre: Mais ne présumez pas que, sans être vengé, Je souffre le dépit de me voir outragé. Je sais que sur les vœux on n'a point de puissance, Que l'amour veut par-tout naître sans dépendance, Que jamais par la force on n'entra dans un cœur, Et que toute âme est libre a nommer son
Page 367 - mes ressentiments. Non, non, n'espérez rien après un tel outrage ; Je ne suis plus à moi, je suis tout à la rage. Trahi de tous côtés, mis dans un triste état, 11 faut que mou amour se venge avec éclat, Qu'ici j'immole tout à ma fureur
Page 234 - un mot, c'est un ambigu de précieuse et de coquette que leur personne. Je vois ce qu'il faut être pour en être bien reçu ; et si vous m'en croyez, nous leur jouerons tous deux une pièce qui leur fera voir leur sottise, et pourra leur apprendre à connoître un peu mieux leur monde. DU CROIS
Page 336 - Ah ! que ce cœur est double, et sait bien l'art de feindre! Mais tous moyens de fuir lui vont être soustraits. Jetez ici les yeux, et connoissez vos traits. Sans avoir vu le reste, il m'est assez facile De découvrir pour qui vous employez ce style.
Page 234 - tant se frotter les yeux, et demander tant de fois, Quelle heure est-il? Ont-elles répondu que oui et non à tout ce que nous avons pu leur dire? Et ne m'avouerez-vous pas enfin que, quand nous aurions été les dernières personnes du monde, on ne pouvoit nous faire pis qu'elles ont fait ? DU CROIS Y. Il me
Page 236 - Que font-elles ? MAROTTE. De la pommade pour les lèvres. GORGIBUS. % C'est trop pommadé : dites-leur qu'elles descendent. SCÈNE IV. GORGIBUS. CES pendardes-là, avec leur pommade, ont, je pense, envie de me ruiner. Je ne vois par-tout que blancs d'oeufs , lait virginal, et mille autres brimborions que je ne connois point. Elles
Page 228 - une chose étrange, qu'on imprime les gens malgré eux ! Je ne vois rien de si injuste, et je pardonnerois toute autre violence plutôt que celle-là. Ce n'est pas que je veuille faire ici l'auteur modeste, et mépriser par honneur ma comédie : j'offenserois mal à propos tout Paris , si je l'accusois d'avoir pu applaudir à une sottise.
Page 234 - Sans doute, je l'y prends, et de telle façon que je me veux venger de cette impertinence. Je connois ce qui nous a fait mépriser. L'air précieux n'a pas seulement infecté Paris ; il s'est aussi répandu dans les provinces , et nos donzelles ridicules en ont humé leur bonne part.
Page 249 - est des vôtres ? M ADELON. Hélas ! nous ne sommes pas encore connues, mais nous sommes en passe de l'être , et nous avons une amie particulière qui nous a promis d'amener ici tous ces messieurs du recueil des pièces choisies. cATHo s. Et certains autres qu'on nous a nommés aussi pour être les arbitres souverains des belles choses.
Page 68 - d'une frayeur bien vive D'avoir vu Trufaldin avecque mon rival, Je songeois à trouver un remède à ce mal ; Lorsque, me ramassant tout entier en moi-même, J'ai conçu, digéré, produit un stratagème Devant qui tous les tiens, dont tu fais tant de cas, Doivent) sans contredit, mettre pavillon bas. MASCAIULLE. Mais qu'est-ce