Amours secrettes de Napoléon Buonaparte, Volume 2G. Mathiot, 1815 |
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... être jolie . » La réflexion naïve de cette jeune fille me parut charmante ; je lui donnai un baiser avant qu'elle eût pu se défendre de le recevoir . Un doigt de rouge vint colorer son front ; elle n'eut pas ou la hardiesse ( 29 )
... être jolie . » La réflexion naïve de cette jeune fille me parut charmante ; je lui donnai un baiser avant qu'elle eût pu se défendre de le recevoir . Un doigt de rouge vint colorer son front ; elle n'eut pas ou la hardiesse ( 29 )
Page 30
... avant que madame Duguet ne s'y établit . A ce trait , je crois déja voir tous les grimauds de la littérature coalisés contre moi . Écoutez ces petits ro- quets noircis d'encre ; ces reptiles imperceptibles se redressent , parce que je ...
... avant que madame Duguet ne s'y établit . A ce trait , je crois déja voir tous les grimauds de la littérature coalisés contre moi . Écoutez ces petits ro- quets noircis d'encre ; ces reptiles imperceptibles se redressent , parce que je ...
Page 41
... avant ; mais , en me retournant , je ne fus pas peu flatté de voir qu'elle était absente : c'est alors que je redoublai de caresses auprès de madame Du- " guet . J'étais tout de feu , je voulais tout obtenir ; mais à mon grand re- gret ...
... avant ; mais , en me retournant , je ne fus pas peu flatté de voir qu'elle était absente : c'est alors que je redoublai de caresses auprès de madame Du- " guet . J'étais tout de feu , je voulais tout obtenir ; mais à mon grand re- gret ...
Page 62
... avant j'avais éprou- vés devenaient alors un irritant de plus . Ma première nuit dans les bras de madame Duguet fut tout ce que j'avais présumé ce n'était point le mol abandon de Jeannette ; c'était une réciprocité de caresses , une cu ...
... avant j'avais éprou- vés devenaient alors un irritant de plus . Ma première nuit dans les bras de madame Duguet fut tout ce que j'avais présumé ce n'était point le mol abandon de Jeannette ; c'était une réciprocité de caresses , une cu ...
Page 81
... ou plutôt de son époque . Bon , juste , humain , compatissant , je prévis qu'il se per- drait , si avant d'être le père de son peuple , il ne s'en prononçait hardi- ment le souverain . Si j'avais été son ministre , ( 81 )
... ou plutôt de son époque . Bon , juste , humain , compatissant , je prévis qu'il se per- drait , si avant d'être le père de son peuple , il ne s'en prononçait hardi- ment le souverain . Si j'avais été son ministre , ( 81 )
Expressions et termes fréquents
amante ambition amour avais baisers beauté belle Besançon bientôt bonheur Boston Bourienne bras brus Buonaparte c'était caresses chagrins chambre Champ-de-Mars Charlotte charmes cher ami chose cœur comman connaissance Corse coupable crime crois croyais cruelle déja desirs dis-je dit-elle Dôle Dommartin douce douceur Dugommier Dutrenel écraser épouse époux êtes eût évènemens femme fortune foule gner heureux huit jours intérêts j'ai J'aime à croire j'allais j'aurais j'avais j'en j'étais jamais Jeannette Jenny jeune fille jeune homme jolie l'amour laisser longtems Louise lupté m'avait m'en m'étais m'eût madame Daletti madame Duguet mademoiselle Midelton ment monarque monsieur n'avais n'était naparte nuit officier oriflammes pable Paoli passer personne Piémont plaisir plaisirs pouvait pré première projet raison refus regards renfer resses reux rien secret sentimens sentir sera seul sexe Sire Solange sophisme souf soupçon sur-le-champ sur-tout tems tendre tion Toulon tout-à-coup toyens vais vengeance vêtemens vint volupté voulais voulut
Fréquemment cités
Page 206 - Sa majesté l'empereur des Français , roi d'Italie, protecteur de la confédération du Rhin , médiateur de la confédération suisse , et...
Page 16 - Je tire mon épée et j'en donne deux coups dans l'aérostat, en disant, eh bien ! Si je ne pars pas avec lui, il ne partira pas au moins aujourd'hui sans moi. Tom. 2-p. 16. (Burin et pointillé publié dans les Mém. de Napoléon, (naturellement apocryphes) et qui contribua à accréditer la légende d'après laquelle ce ne serait pas le jeune Pont du Chambon, élève de l'Ecole Militaire, qui aurait percé le ballon de Blanchard, mais Bonaparte. (Cab. des...
Page 217 - ... ne m'avait commandé l'ingratitude et l'insensibilité ^ la première impératrice des Français n'eût jamais versé de larmes; mais il n'était rien dans ce monde que je n'eusse sacrifié à l'immensité de mon ambition.