Amours secrettes de Napoléon Buonaparte, Volume 2G. Mathiot, 1815 |
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... déja reçu le jour . C'était il est vrai le second voyage qu'il y faisait ; car en 1764 , il y avait passé dix - huit mois . Quoi qu'il en soit , en le per- dant , je me trouvais privé d'un ex- cellent protecteur 2 . I 2-30-40 ...
... déja reçu le jour . C'était il est vrai le second voyage qu'il y faisait ; car en 1764 , il y avait passé dix - huit mois . Quoi qu'il en soit , en le per- dant , je me trouvais privé d'un ex- cellent protecteur 2 . I 2-30-40 ...
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... C'était pour ainsi dire fixer les regards sur moi , et je n'en deman- dais pas davantage pour le moment . Plein d'audace ; il ira loin si les circonstances le favorisent . » Ces mots ne sortaient point de ma pen- sée ; ils centuplèrent ...
... C'était pour ainsi dire fixer les regards sur moi , et je n'en deman- dais pas davantage pour le moment . Plein d'audace ; il ira loin si les circonstances le favorisent . » Ces mots ne sortaient point de ma pen- sée ; ils centuplèrent ...
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... c'était l'ange de l'amitié . Elle me pressait rare- ment sur son sein ; mais elle était heureuse quand je la pressais sur mon cœur . La beauté des formes de mon amante , suppléait au desir qu'un autre eût éprouvé . J'étais , au surplus ...
... c'était l'ange de l'amitié . Elle me pressait rare- ment sur son sein ; mais elle était heureuse quand je la pressais sur mon cœur . La beauté des formes de mon amante , suppléait au desir qu'un autre eût éprouvé . J'étais , au surplus ...
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... c'était une véritable plaisanterie . Non , je ne badine pas : : crois - moi , Louise , je veux m'élever dans les nues ; et si ta tendresse répond à mon audace , là même où se for- ment les orages , nous nous prodi- guerons toutes les ...
... c'était une véritable plaisanterie . Non , je ne badine pas : : crois - moi , Louise , je veux m'élever dans les nues ; et si ta tendresse répond à mon audace , là même où se for- ment les orages , nous nous prodi- guerons toutes les ...
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... que j'ai essuyés . - Je t'aurais suivi , mon ami : tu le voulais , c'était assez ; mais à te parler franchement , je me trouve fort heu- reuse de ne point faire un pareil tra- jet . 2 . 2 ( 17 ) cet élan de colère et d'impatience. 11 ...
... que j'ai essuyés . - Je t'aurais suivi , mon ami : tu le voulais , c'était assez ; mais à te parler franchement , je me trouve fort heu- reuse de ne point faire un pareil tra- jet . 2 . 2 ( 17 ) cet élan de colère et d'impatience. 11 ...
Expressions et termes fréquents
amante ambition amour avais baisers beauté belle Besançon bientôt bonheur Boston Bourienne bras brus Buonaparte c'était caresses chagrins chambre Champ-de-Mars Charlotte charmes cher ami chose cœur comman connaissance Corse coupable crime crois croyais cruelle déja desirs dis-je dit-elle Dôle Dommartin douce douceur Dugommier Dutrenel écraser épouse époux êtes eût évènemens femme fortune foule gner heureux huit jours intérêts j'ai J'aime à croire j'allais j'aurais j'avais j'en j'étais jamais Jeannette Jenny jeune fille jeune homme jolie l'amour laisser longtems Louise lupté m'avait m'en m'étais m'eût madame Daletti madame Duguet mademoiselle Midelton ment monarque monsieur n'avais n'était naparte nuit officier oriflammes pable Paoli passer personne Piémont plaisir plaisirs pouvait pré première projet raison refus regards renfer resses reux rien secret sentimens sentir sera seul sexe Sire Solange sophisme souf soupçon sur-le-champ sur-tout tems tendre tion Toulon tout-à-coup toyens vais vengeance vêtemens vint volupté voulais voulut
Fréquemment cités
Page 206 - Sa majesté l'empereur des Français , roi d'Italie, protecteur de la confédération du Rhin , médiateur de la confédération suisse , et...
Page 16 - Je tire mon épée et j'en donne deux coups dans l'aérostat, en disant, eh bien ! Si je ne pars pas avec lui, il ne partira pas au moins aujourd'hui sans moi. Tom. 2-p. 16. (Burin et pointillé publié dans les Mém. de Napoléon, (naturellement apocryphes) et qui contribua à accréditer la légende d'après laquelle ce ne serait pas le jeune Pont du Chambon, élève de l'Ecole Militaire, qui aurait percé le ballon de Blanchard, mais Bonaparte. (Cab. des...
Page 217 - ... ne m'avait commandé l'ingratitude et l'insensibilité ^ la première impératrice des Français n'eût jamais versé de larmes; mais il n'était rien dans ce monde que je n'eusse sacrifié à l'immensité de mon ambition.