Amours secrettes de Napoléon Buonaparte, Volume 2G. Mathiot, 1815 |
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... force qui vaut beaucoup mieux ; et s'ils ne changent de procédé , d'un coup de poing je les enverrai l'un et l'autre mesurer le pavé . Quand les masses raisonnent ainsi , elles ne sont pas loin d'être séditieuses , et les monarques n ...
... force qui vaut beaucoup mieux ; et s'ils ne changent de procédé , d'un coup de poing je les enverrai l'un et l'autre mesurer le pavé . Quand les masses raisonnent ainsi , elles ne sont pas loin d'être séditieuses , et les monarques n ...
Page 13
... force , le courage et le génie . Le monde tomberait un jour sous ses lois ; il terminerait ce que son père ébaucherait pendant son en- fance . » Louise stupéfaite , n'osait en croire ses oreilles . Au feu dont étincelaient mes yeux ...
... force , le courage et le génie . Le monde tomberait un jour sous ses lois ; il terminerait ce que son père ébaucherait pendant son en- fance . » Louise stupéfaite , n'osait en croire ses oreilles . Au feu dont étincelaient mes yeux ...
Page 30
... force de me répon- dre . « Hé bien ! jeune fille , voulez- vous faire ce que je vous propose ? Oh ! monsieur , de tout mon cœur . » > Au lieu de douze louis , je lui en remis quinze , en exigeant seulement que je verrais la chambre une ...
... force de me répon- dre . « Hé bien ! jeune fille , voulez- vous faire ce que je vous propose ? Oh ! monsieur , de tout mon cœur . » > Au lieu de douze louis , je lui en remis quinze , en exigeant seulement que je verrais la chambre une ...
Page 51
... force de vous répondre . Regretterais - tu , Jean- nette , les preuves de tendresse que tu viens de me donner ? Non , monsieur ; je fais mal , je le sais ; mais j'ai été au - devant de ma chute la première fois que je vous vis , je vous ...
... force de vous répondre . Regretterais - tu , Jean- nette , les preuves de tendresse que tu viens de me donner ? Non , monsieur ; je fais mal , je le sais ; mais j'ai été au - devant de ma chute la première fois que je vous vis , je vous ...
Page 62
... force , et les refus que deux mois avant j'avais éprou- vés devenaient alors un irritant de plus . Ma première nuit dans les bras de madame Duguet fut tout ce que j'avais présumé ce n'était point le mol abandon de Jeannette ; c'était ...
... force , et les refus que deux mois avant j'avais éprou- vés devenaient alors un irritant de plus . Ma première nuit dans les bras de madame Duguet fut tout ce que j'avais présumé ce n'était point le mol abandon de Jeannette ; c'était ...
Expressions et termes fréquents
amante ambition amour avais baisers beauté belle Besançon bientôt bonheur Boston Bourienne bras brus Buonaparte c'était caresses chagrins chambre Champ-de-Mars Charlotte charmes cher ami chose cœur comman connaissance Corse coupable crime crois croyais cruelle déja desirs dis-je dit-elle Dôle Dommartin douce douceur Dugommier Dutrenel écraser épouse époux êtes eût évènemens femme fortune foule gner heureux huit jours intérêts j'ai J'aime à croire j'allais j'aurais j'avais j'en j'étais jamais Jeannette Jenny jeune fille jeune homme jolie l'amour laisser longtems Louise lupté m'avait m'en m'étais m'eût madame Daletti madame Duguet mademoiselle Midelton ment monarque monsieur n'avais n'était naparte nuit officier oriflammes pable Paoli passer personne Piémont plaisir plaisirs pouvait pré première projet raison refus regards renfer resses reux rien secret sentimens sentir sera seul sexe Sire Solange sophisme souf soupçon sur-le-champ sur-tout tems tendre tion Toulon tout-à-coup toyens vais vengeance vêtemens vint volupté voulais voulut
Fréquemment cités
Page 206 - Sa majesté l'empereur des Français , roi d'Italie, protecteur de la confédération du Rhin , médiateur de la confédération suisse , et...
Page 16 - Je tire mon épée et j'en donne deux coups dans l'aérostat, en disant, eh bien ! Si je ne pars pas avec lui, il ne partira pas au moins aujourd'hui sans moi. Tom. 2-p. 16. (Burin et pointillé publié dans les Mém. de Napoléon, (naturellement apocryphes) et qui contribua à accréditer la légende d'après laquelle ce ne serait pas le jeune Pont du Chambon, élève de l'Ecole Militaire, qui aurait percé le ballon de Blanchard, mais Bonaparte. (Cab. des...
Page 217 - ... ne m'avait commandé l'ingratitude et l'insensibilité ^ la première impératrice des Français n'eût jamais versé de larmes; mais il n'était rien dans ce monde que je n'eusse sacrifié à l'immensité de mon ambition.