Amours secrettes de Napoléon Buonaparte, Volume 2G. Mathiot, 1815 |
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Page 8
... formes de mon amante , suppléait au desir qu'un autre eût éprouvé . J'étais , au surplus , dans un âge où je pou- vais être complettement heureux dans les bras d'une femme , sans la contraindre à me rendre caresses pour caresses . J ...
... formes de mon amante , suppléait au desir qu'un autre eût éprouvé . J'étais , au surplus , dans un âge où je pou- vais être complettement heureux dans les bras d'une femme , sans la contraindre à me rendre caresses pour caresses . J ...
Page 106
... formes de ma belle , et par le feu de mon imagi- nation , je fus heureux de tous les plaisirs de la plus énivrante volupté . Profondément assoupie , mais ai- guillonnée par des rêves enchan- teurs , doux effets de mes baisers , plus d ...
... formes de ma belle , et par le feu de mon imagi- nation , je fus heureux de tous les plaisirs de la plus énivrante volupté . Profondément assoupie , mais ai- guillonnée par des rêves enchan- teurs , doux effets de mes baisers , plus d ...
Page 157
... déja calme et tranquille j'examinai mon amante yoluptueuse- ment endormie dans ses sensations . Amour ! quelle femme ! Si la Vénus de Médicis offre aux regards de l'ama- ? teur le corps le plus beau et les formes les ( 157 )
... déja calme et tranquille j'examinai mon amante yoluptueuse- ment endormie dans ses sensations . Amour ! quelle femme ! Si la Vénus de Médicis offre aux regards de l'ama- ? teur le corps le plus beau et les formes les ( 157 )
Page 158
... formes les mieux modelées , la jeune Midelton pouvait à coup sûr lui être comparée . La vue de tant de beautés réunies eut bientôt ranimé mes de- sirs , et mon amante reçut de nou- yeaux baisers même avant d'avoir revu le jour , que le ...
... formes les mieux modelées , la jeune Midelton pouvait à coup sûr lui être comparée . La vue de tant de beautés réunies eut bientôt ranimé mes de- sirs , et mon amante reçut de nou- yeaux baisers même avant d'avoir revu le jour , que le ...
Page 163
... un seul ; non que je les dédai- gnasse , mais parce qu'aucun d'eux ne m'avait intéressée . Je n'ai peut- être de mon sexe que le nom et les formes ; des études sérieuses et sui- vies ont agrandi mon âme , ennobli mon individu : ( 163 )
... un seul ; non que je les dédai- gnasse , mais parce qu'aucun d'eux ne m'avait intéressée . Je n'ai peut- être de mon sexe que le nom et les formes ; des études sérieuses et sui- vies ont agrandi mon âme , ennobli mon individu : ( 163 )
Expressions et termes fréquents
amante ambition amour avais baisers beauté belle Besançon bientôt bonheur Boston Bourienne bras brus Buonaparte c'était caresses chagrins chambre Champ-de-Mars Charlotte charmes cher ami chose cœur comman connaissance Corse coupable crime crois croyais cruelle déja desirs dis-je dit-elle Dôle Dommartin douce douceur Dugommier Dutrenel écraser épouse époux êtes eût évènemens femme fortune foule gner heureux huit jours intérêts j'ai J'aime à croire j'allais j'aurais j'avais j'en j'étais jamais Jeannette Jenny jeune fille jeune homme jolie l'amour laisser longtems Louise lupté m'avait m'en m'étais m'eût madame Daletti madame Duguet mademoiselle Midelton ment monarque monsieur n'avais n'était naparte nuit officier oriflammes pable Paoli passer personne Piémont plaisir plaisirs pouvait pré première projet raison refus regards renfer resses reux rien secret sentimens sentir sera seul sexe Sire Solange sophisme souf soupçon sur-le-champ sur-tout tems tendre tion Toulon tout-à-coup toyens vais vengeance vêtemens vint volupté voulais voulut
Fréquemment cités
Page 206 - Sa majesté l'empereur des Français , roi d'Italie, protecteur de la confédération du Rhin , médiateur de la confédération suisse , et...
Page 16 - Je tire mon épée et j'en donne deux coups dans l'aérostat, en disant, eh bien ! Si je ne pars pas avec lui, il ne partira pas au moins aujourd'hui sans moi. Tom. 2-p. 16. (Burin et pointillé publié dans les Mém. de Napoléon, (naturellement apocryphes) et qui contribua à accréditer la légende d'après laquelle ce ne serait pas le jeune Pont du Chambon, élève de l'Ecole Militaire, qui aurait percé le ballon de Blanchard, mais Bonaparte. (Cab. des...
Page 217 - ... ne m'avait commandé l'ingratitude et l'insensibilité ^ la première impératrice des Français n'eût jamais versé de larmes; mais il n'était rien dans ce monde que je n'eusse sacrifié à l'immensité de mon ambition.