Amours secrettes de Napoléon Buonaparte, Volume 2G. Mathiot, 1815 |
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... main et me dit froidement : Je te suivrai . » Nous nous approchâmes alors de l'enceinte où le globe était disposé . Je m'adressai directement à l'un de ' ceux qni me paraissaient diriger l'en- treprise . Je lui fis part de mes inten ...
... main et me dit froidement : Je te suivrai . » Nous nous approchâmes alors de l'enceinte où le globe était disposé . Je m'adressai directement à l'un de ' ceux qni me paraissaient diriger l'en- treprise . Je lui fis part de mes inten ...
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... main ; je sentis qu'elle serrait tendrement la mienne . C'était beaucoup dire , sans me parler . Elle demanda alors à Jean- nette , si réellement l'incendie avait dévoré tout le bâtiment . Sur sa ré- ponse affirmative , madame Duguet me ...
... main ; je sentis qu'elle serrait tendrement la mienne . C'était beaucoup dire , sans me parler . Elle demanda alors à Jean- nette , si réellement l'incendie avait dévoré tout le bâtiment . Sur sa ré- ponse affirmative , madame Duguet me ...
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... main ; je sentis qu'elle serrait tendrement la mienne . C'était beaucoup dire , sans me parler . Elle demanda alors à Jean- nette , si réellement l'incendie avait dévoré tout le bâtiment . Sur sa ré- ponse affirmative , madame , Duguet ...
... main ; je sentis qu'elle serrait tendrement la mienne . C'était beaucoup dire , sans me parler . Elle demanda alors à Jean- nette , si réellement l'incendie avait dévoré tout le bâtiment . Sur sa ré- ponse affirmative , madame , Duguet ...
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... main . « Eh bien ! dis - je à Jeannette , si madame Duguet est partie , elle m'a prouvé que je dois toujours être dupe de ma sensibilité ; je l'aurais aimée tendrement : rien ne m'aurait coûté pour la rendre heureuse et tranquille ...
... main . « Eh bien ! dis - je à Jeannette , si madame Duguet est partie , elle m'a prouvé que je dois toujours être dupe de ma sensibilité ; je l'aurais aimée tendrement : rien ne m'aurait coûté pour la rendre heureuse et tranquille ...
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... main en souriant : « Où vous n'avez pas , me dit - elle , autant de caractère que je vous en croyais , ou vous savez merveilleusement le plier à vos intérêts : votre excuse , croyez - moi , n'est pas digne de vous ; mais vous savez que ...
... main en souriant : « Où vous n'avez pas , me dit - elle , autant de caractère que je vous en croyais , ou vous savez merveilleusement le plier à vos intérêts : votre excuse , croyez - moi , n'est pas digne de vous ; mais vous savez que ...
Expressions et termes fréquents
amante ambition amour avais baisers beauté belle Besançon bientôt bonheur Boston Bourienne bras brus Buonaparte c'était caresses chagrins chambre Champ-de-Mars Charlotte charmes cher ami chose cœur comman connaissance Corse coupable crime crois croyais cruelle déja desirs dis-je dit-elle Dôle Dommartin douce douceur Dugommier Dutrenel écraser épouse époux êtes eût évènemens femme fortune foule gner heureux huit jours intérêts j'ai J'aime à croire j'allais j'aurais j'avais j'en j'étais jamais Jeannette Jenny jeune fille jeune homme jolie l'amour laisser longtems Louise lupté m'avait m'en m'étais m'eût madame Daletti madame Duguet mademoiselle Midelton ment monarque monsieur n'avais n'était naparte nuit officier oriflammes pable Paoli passer personne Piémont plaisir plaisirs pouvait pré première projet raison refus regards renfer resses reux rien secret sentimens sentir sera seul sexe Sire Solange sophisme souf soupçon sur-le-champ sur-tout tems tendre tion Toulon tout-à-coup toyens vais vengeance vêtemens vint volupté voulais voulut
Fréquemment cités
Page 206 - Sa majesté l'empereur des Français , roi d'Italie, protecteur de la confédération du Rhin , médiateur de la confédération suisse , et...
Page 16 - Je tire mon épée et j'en donne deux coups dans l'aérostat, en disant, eh bien ! Si je ne pars pas avec lui, il ne partira pas au moins aujourd'hui sans moi. Tom. 2-p. 16. (Burin et pointillé publié dans les Mém. de Napoléon, (naturellement apocryphes) et qui contribua à accréditer la légende d'après laquelle ce ne serait pas le jeune Pont du Chambon, élève de l'Ecole Militaire, qui aurait percé le ballon de Blanchard, mais Bonaparte. (Cab. des...
Page 217 - ... ne m'avait commandé l'ingratitude et l'insensibilité ^ la première impératrice des Français n'eût jamais versé de larmes; mais il n'était rien dans ce monde que je n'eusse sacrifié à l'immensité de mon ambition.