Amours secrettes de Napoléon Buonaparte, Volume 2G. Mathiot, 1815 |
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... n'avais d'autres dis- tractions que les caresses de made- moiselle Létang . Dans ses bras , le plaisir déridait mon front naturelle- ment froid et sévère . Louise , bril- lante de santé , fortement constituée , n'était point voluptueuse ...
... n'avais d'autres dis- tractions que les caresses de made- moiselle Létang . Dans ses bras , le plaisir déridait mon front naturelle- ment froid et sévère . Louise , bril- lante de santé , fortement constituée , n'était point voluptueuse ...
Page 18
... n'avais plus que huit jours à rester à Paris ; je prévins mon amante que la veille de mon départ je passerais la nuit à ses côtés : cette nuit fut délicieuse . Mademoiselle Létang me pressa continuellement sur son cœur . Paisible amante ...
... n'avais plus que huit jours à rester à Paris ; je prévins mon amante que la veille de mon départ je passerais la nuit à ses côtés : cette nuit fut délicieuse . Mademoiselle Létang me pressa continuellement sur son cœur . Paisible amante ...
Page 20
... n'avais que dix - huit ans . Mon premier soin , en arrivant à Besançon où était mon régiment ' , fut de m'attacher à connaître les offi- ciers avec lesquels j'allais vivre . A quelques exceptions près , l'ensemble n'en était point ...
... n'avais que dix - huit ans . Mon premier soin , en arrivant à Besançon où était mon régiment ' , fut de m'attacher à connaître les offi- ciers avec lesquels j'allais vivre . A quelques exceptions près , l'ensemble n'en était point ...
Page 22
... n'avais pas de tems à perdre : je la prends dans mes bras et je me précipite vers l'escalier ; mais à peine suis - je à moitié , qu'un tourbillon de flamme m'oblige à remonter . J'étais perdu , une mort cruelle allait être la récompense ...
... n'avais pas de tems à perdre : je la prends dans mes bras et je me précipite vers l'escalier ; mais à peine suis - je à moitié , qu'un tourbillon de flamme m'oblige à remonter . J'étais perdu , une mort cruelle allait être la récompense ...
Page 23
... n'avais d'autre lumière que la lueur de l'incendie : ç'en fut assez pour me laisser apercevoir que les murs de cette chambre ne sont qu'un composé de terre glaise proprement recrépie en blanc . Je me saisis d'un pieu , et en moins de ...
... n'avais d'autre lumière que la lueur de l'incendie : ç'en fut assez pour me laisser apercevoir que les murs de cette chambre ne sont qu'un composé de terre glaise proprement recrépie en blanc . Je me saisis d'un pieu , et en moins de ...
Expressions et termes fréquents
amante ambition amour avais baisers beauté belle Besançon bientôt bonheur Boston Bourienne bras brus Buonaparte c'était caresses chagrins chambre Champ-de-Mars Charlotte charmes cher ami chose cœur comman connaissance Corse coupable crime crois croyais cruelle déja desirs dis-je dit-elle Dôle Dommartin douce douceur Dugommier Dutrenel écraser épouse époux êtes eût évènemens femme fortune foule gner heureux huit jours intérêts j'ai J'aime à croire j'allais j'aurais j'avais j'en j'étais jamais Jeannette Jenny jeune fille jeune homme jolie l'amour laisser longtems Louise lupté m'avait m'en m'étais m'eût madame Daletti madame Duguet mademoiselle Midelton ment monarque monsieur n'avais n'était naparte nuit officier oriflammes pable Paoli passer personne Piémont plaisir plaisirs pouvait pré première projet raison refus regards renfer resses reux rien secret sentimens sentir sera seul sexe Sire Solange sophisme souf soupçon sur-le-champ sur-tout tems tendre tion Toulon tout-à-coup toyens vais vengeance vêtemens vint volupté voulais voulut
Fréquemment cités
Page 206 - Sa majesté l'empereur des Français , roi d'Italie, protecteur de la confédération du Rhin , médiateur de la confédération suisse , et...
Page 16 - Je tire mon épée et j'en donne deux coups dans l'aérostat, en disant, eh bien ! Si je ne pars pas avec lui, il ne partira pas au moins aujourd'hui sans moi. Tom. 2-p. 16. (Burin et pointillé publié dans les Mém. de Napoléon, (naturellement apocryphes) et qui contribua à accréditer la légende d'après laquelle ce ne serait pas le jeune Pont du Chambon, élève de l'Ecole Militaire, qui aurait percé le ballon de Blanchard, mais Bonaparte. (Cab. des...
Page 217 - ... ne m'avait commandé l'ingratitude et l'insensibilité ^ la première impératrice des Français n'eût jamais versé de larmes; mais il n'était rien dans ce monde que je n'eusse sacrifié à l'immensité de mon ambition.