Amours secrettes de Napoléon Buonaparte, Volume 2G. Mathiot, 1815 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 9
Page 134
... sentir comme à la première venue . L'amour étant devenu chez moi une furcur purement physique , à laquelle succédait le plus grand calme , l'activité de mon imagina- tion devait nécessairement me créer d'autres plaisirs . En effet ...
... sentir comme à la première venue . L'amour étant devenu chez moi une furcur purement physique , à laquelle succédait le plus grand calme , l'activité de mon imagina- tion devait nécessairement me créer d'autres plaisirs . En effet ...
Page 136
... sentir seul les plaisirs de la volupté . Chaque élan volupteux que je sur- prenais dans les regards d'une belle , me semblait un vol fait à mes transports ; j'aurais desiré qu'elle s'endormit , pour savourer seul le plaisir . J'ai ...
... sentir seul les plaisirs de la volupté . Chaque élan volupteux que je sur- prenais dans les regards d'une belle , me semblait un vol fait à mes transports ; j'aurais desiré qu'elle s'endormit , pour savourer seul le plaisir . J'ai ...
Page 136
... sentir comme à la première venue . à L'amour étant devenu chez moi une fureur purement physique , laquelle succédait le plus grand calme , l'activité de mon imagina- tion devait nécessairement me créer d'autres plaisirs . En effet ...
... sentir comme à la première venue . à L'amour étant devenu chez moi une fureur purement physique , laquelle succédait le plus grand calme , l'activité de mon imagina- tion devait nécessairement me créer d'autres plaisirs . En effet ...
Page 136
... sentir seul les plaisirs de la volupté . Chaque élan volupteux que je sur- prenais dans les regards d'une belle , me semblait un vol fait à mes transports ; j'aurais desiré qu'elle s'endormit , pour savourer seul le plaisir . J'ai ...
... sentir seul les plaisirs de la volupté . Chaque élan volupteux que je sur- prenais dans les regards d'une belle , me semblait un vol fait à mes transports ; j'aurais desiré qu'elle s'endormit , pour savourer seul le plaisir . J'ai ...
Page 147
... sentir la trop forte hardiesse de ses métaphores , et les tours forcés de sa locution . Vous êtes un routinier , me disait - elle alors ; j'ai un million de fois plus de pensées que votre langue n'a de mots et de façons de s'expri- mer ...
... sentir la trop forte hardiesse de ses métaphores , et les tours forcés de sa locution . Vous êtes un routinier , me disait - elle alors ; j'ai un million de fois plus de pensées que votre langue n'a de mots et de façons de s'expri- mer ...
Expressions et termes fréquents
amante ambition amour avais baisers beauté belle Besançon bientôt bonheur Boston Bourienne bras brus Buonaparte c'était caresses chagrins chambre Champ-de-Mars Charlotte charmes cher ami chose cœur comman connaissance Corse coupable crime crois croyais cruelle déja desirs dis-je dit-elle Dôle Dommartin douce douceur Dugommier Dutrenel écraser épouse époux êtes eût évènemens femme fortune foule gner heureux huit jours intérêts j'ai J'aime à croire j'allais j'aurais j'avais j'en j'étais jamais Jeannette Jenny jeune fille jeune homme jolie l'amour laisser longtems Louise lupté m'avait m'en m'étais m'eût madame Daletti madame Duguet mademoiselle Midelton ment monarque monsieur n'avais n'était naparte nuit officier oriflammes pable Paoli passer personne Piémont plaisir plaisirs pouvait pré première projet raison refus regards renfer resses reux rien secret sentimens sentir sera seul sexe Sire Solange sophisme souf soupçon sur-le-champ sur-tout tems tendre tion Toulon tout-à-coup toyens vais vengeance vêtemens vint volupté voulais voulut
Fréquemment cités
Page 206 - Sa majesté l'empereur des Français , roi d'Italie, protecteur de la confédération du Rhin , médiateur de la confédération suisse , et...
Page 16 - Je tire mon épée et j'en donne deux coups dans l'aérostat, en disant, eh bien ! Si je ne pars pas avec lui, il ne partira pas au moins aujourd'hui sans moi. Tom. 2-p. 16. (Burin et pointillé publié dans les Mém. de Napoléon, (naturellement apocryphes) et qui contribua à accréditer la légende d'après laquelle ce ne serait pas le jeune Pont du Chambon, élève de l'Ecole Militaire, qui aurait percé le ballon de Blanchard, mais Bonaparte. (Cab. des...
Page 217 - ... ne m'avait commandé l'ingratitude et l'insensibilité ^ la première impératrice des Français n'eût jamais versé de larmes; mais il n'était rien dans ce monde que je n'eusse sacrifié à l'immensité de mon ambition.