Amours secrettes de Napoléon Buonaparte, Volume 2G. Mathiot, 1815 |
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Page 9
... 'y résigner . J'aurais moins de cha- grin , si je te croyois convaincu que je t'ai toujours tendrement aimé . » De grosses larmes roulaient dans ses yeux . « J'ai assez de mes peines , que tu chère et tendre fille , n'y ajoute point ( 9 )
... 'y résigner . J'aurais moins de cha- grin , si je te croyois convaincu que je t'ai toujours tendrement aimé . » De grosses larmes roulaient dans ses yeux . « J'ai assez de mes peines , que tu chère et tendre fille , n'y ajoute point ( 9 )
Page 10
Charles Doris (de Bourges.) que tu chère et tendre fille , n'y ajoute point encore la douleur éprouves . Crois bien , mon amie , que si j'avais cru n'être point aimé , jamais , ô non ! jamais je ne t'au- rais prodigué les moindres ...
Charles Doris (de Bourges.) que tu chère et tendre fille , n'y ajoute point encore la douleur éprouves . Crois bien , mon amie , que si j'avais cru n'être point aimé , jamais , ô non ! jamais je ne t'au- rais prodigué les moindres ...
Page 45
... tendre Eugénie . Je ne me possédais plus : c'est pourquoi je pris le parti de sortir de cette maison où sans doute j'aurais fait un éclat . De retour chez moi , j'eus toutes lés peines du monde à me calmer ; j'y réussis pourtant en me ...
... tendre Eugénie . Je ne me possédais plus : c'est pourquoi je pris le parti de sortir de cette maison où sans doute j'aurais fait un éclat . De retour chez moi , j'eus toutes lés peines du monde à me calmer ; j'y réussis pourtant en me ...
Page 74
... plus reconnu le jeune homme impérieux que j'ai tendre- ment aimé . » Tout autre eût été mécontent de cette jeune fille ; moi , le pouvais - je ? A travers les reproches de mon amante , ne trouvais - je point une nouvelle preuve ( 74 )
... plus reconnu le jeune homme impérieux que j'ai tendre- ment aimé . » Tout autre eût été mécontent de cette jeune fille ; moi , le pouvais - je ? A travers les reproches de mon amante , ne trouvais - je point une nouvelle preuve ( 74 )
Page 144
... tendre union , il avait perdu cette compagne aussi douce que fidèle . Charlotte , leur uniqué héritière , avait obtenu de son père qu'elle irait passer quelque tems en France , pour se soustraire aux lieux qui chaque jour lui ...
... tendre union , il avait perdu cette compagne aussi douce que fidèle . Charlotte , leur uniqué héritière , avait obtenu de son père qu'elle irait passer quelque tems en France , pour se soustraire aux lieux qui chaque jour lui ...
Expressions et termes fréquents
amante ambition amour avais baisers beauté belle Besançon bientôt bonheur Boston Bourienne bras brus Buonaparte c'était caresses chagrins chambre Champ-de-Mars Charlotte charmes cher ami chose cœur comman connaissance Corse coupable crime crois croyais cruelle déja desirs dis-je dit-elle Dôle Dommartin douce douceur Dugommier Dutrenel écraser épouse époux êtes eût évènemens femme fortune foule gner heureux huit jours intérêts j'ai J'aime à croire j'allais j'aurais j'avais j'en j'étais jamais Jeannette Jenny jeune fille jeune homme jolie l'amour laisser longtems Louise lupté m'avait m'en m'étais m'eût madame Daletti madame Duguet mademoiselle Midelton ment monarque monsieur n'avais n'était naparte nuit officier oriflammes pable Paoli passer personne Piémont plaisir plaisirs pouvait pré première projet raison refus regards renfer resses reux rien secret sentimens sentir sera seul sexe Sire Solange sophisme souf soupçon sur-le-champ sur-tout tems tendre tion Toulon tout-à-coup toyens vais vengeance vêtemens vint volupté voulais voulut
Fréquemment cités
Page 206 - Sa majesté l'empereur des Français , roi d'Italie, protecteur de la confédération du Rhin , médiateur de la confédération suisse , et...
Page 16 - Je tire mon épée et j'en donne deux coups dans l'aérostat, en disant, eh bien ! Si je ne pars pas avec lui, il ne partira pas au moins aujourd'hui sans moi. Tom. 2-p. 16. (Burin et pointillé publié dans les Mém. de Napoléon, (naturellement apocryphes) et qui contribua à accréditer la légende d'après laquelle ce ne serait pas le jeune Pont du Chambon, élève de l'Ecole Militaire, qui aurait percé le ballon de Blanchard, mais Bonaparte. (Cab. des...
Page 217 - ... ne m'avait commandé l'ingratitude et l'insensibilité ^ la première impératrice des Français n'eût jamais versé de larmes; mais il n'était rien dans ce monde que je n'eusse sacrifié à l'immensité de mon ambition.