Le génie de Virgile, Volume 2Maradan, 1810 |
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Page 28
... corps et nos esprits reçoivent dans ces temps différens ; peut - être va - t - il parler de nos peines et de nos plaisirs , durant les diverses sai- sons , et des travaux des laboureurs ; peut - être réunira - t - il tout cela : c'est ...
... corps et nos esprits reçoivent dans ces temps différens ; peut - être va - t - il parler de nos peines et de nos plaisirs , durant les diverses sai- sons , et des travaux des laboureurs ; peut - être réunira - t - il tout cela : c'est ...
Page 29
... corps d'ouvrage , et que le poëte peut terminer la description de chacune des saisons à la moitié de chaque chant , ou la prolonger et l'étendre à l'infini . Il n'en seroit pas ainsi , s'il eût entrepris de traiter son sujet en ...
... corps d'ouvrage , et que le poëte peut terminer la description de chacune des saisons à la moitié de chaque chant , ou la prolonger et l'étendre à l'infini . Il n'en seroit pas ainsi , s'il eût entrepris de traiter son sujet en ...
Page 76
... corps rendu docile Forçât la terre avare à devenir fertile ; Le chardon importun hérissa les guérets , Le serpent venimeux rampa dans les forêts ; La canicule en feu dévora les campagnes , L'aquilon en fureur gronda sur les montagnes ...
... corps rendu docile Forçât la terre avare à devenir fertile ; Le chardon importun hérissa les guérets , Le serpent venimeux rampa dans les forêts ; La canicule en feu dévora les campagnes , L'aquilon en fureur gronda sur les montagnes ...
Page 94
... corps , vingt - sept celle de leur hauteur effrayante . Orgueil- leux de leur taille et de leur force plus qu'humaine , ce sont eux qui menacèrent les immortels d'apporter dans leur séjour le tumulte et l'horreur de la guerre . Pour ...
... corps , vingt - sept celle de leur hauteur effrayante . Orgueil- leux de leur taille et de leur force plus qu'humaine , ce sont eux qui menacèrent les immortels d'apporter dans leur séjour le tumulte et l'horreur de la guerre . Pour ...
Page 101
... corps ; il ne sait ce qui est eau ; il craint à chaque pas de rencontrer , ou le lac solitaire , qu la fontaine qui bouillonne sans cesse ; il s'arrête enfin , et se couche près d'un monceau sans forme , pensant à toute l'amertume de la ...
... corps ; il ne sait ce qui est eau ; il craint à chaque pas de rencontrer , ou le lac solitaire , qu la fontaine qui bouillonne sans cesse ; il s'arrête enfin , et se couche près d'un monceau sans forme , pensant à toute l'amertume de la ...
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Le génie de Virgile: ouvrage posthume, Volume 2 Jacques Charles Louis de Clinchamp de Malfilâtre Affichage du livre entier - 1810 |
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Le Génie De Virgile, Ouvrage Posthume... Miger,Jacques-Charles-Louis De Clinchamps De M Aucun aperçu disponible - 2019 |
Expressions et termes fréquents
abeilles Æther affreux airs amour animaux arbres atque avoit Bacchus beautés beaux bois bords brillant bruit brûlant Cérès César champs chant char charmes chêne ciel cieux Cocyte coursier cùm Cyrène Delille déserts dieu dieux douleur doux eaux enfans essaims étoient étoit Eurydice fable féconde feux flancs fleurs fleuve flots foible forêts froid fruits fureur Géorgiques glace grace guérets harmonie imitative Hésiode heureux imité jamais jeunes jour Jupiter l'abeille l'air l'airain l'Énéide l'hiver l'ombre l'onde l'univers laboureur Lapithes loin main mers miel moissons morceau mort mortels mugit Note de l'Éditeur nourrit nuages nuit nymphes oiseaux orbem Orphée Ovide par-tout Persès peuple plaines pleurs poëme poésie poëte printemps Protée rameaux Rhodope rivage roule ruisseaux sacrés Sæpè sang seroit sillons soins soleil sort souffle souvent Strymon Styx superbe sur-tout taureaux Taygète terre Thrace thym torrens traduction travaux tremblant triste troupeaux vallons vents vigne Virgile voit voix Volsques yeux zéphyrs
Fréquemment cités
Page 195 - O bienheureux celui qui peut de sa mémoire Effacer pour jamais ce vain espoir de gloire, Dont l'inutile soin traverse nos plaisirs, Et qui, loin, retiré de la foule importune, Vivant dans sa maison content de sa fortune, A selon son pouvoir mesuré ses désirs.
Page 177 - Quand pourront les neuf Sœurs, loin des cours et des villes, M'occuper tout entier, et m'apprendre des cieux Les divers mouvements inconnus à nos yeux , Les noms et les vertus de ces clartés errantes Par qui sont nos destins et nos mœurs différentes...
Page 240 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats ; aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l'affronte, il se fait au bruit des armes, il l'aime, il le cherche et s'anime de la même ardeur...
Page 241 - ... sous la main de celui qui le guide, mais il semble consulter ses désirs, et obéissant toujours aux impressions qu'il en reçoit, il se précipite, se modère ou s'arrête, et n'agit que pour y satisfaire; c'est une créature qui renonce à son être pour n'exister que par la volonté d'un autre, qui sait même la prévenir; qui, par la promptitude et la précision de ses mouvements, l'exprime et l'exécute; qui sent autant qu'on le désire, et ne rend qu'autant qu'on veut; qui...
Page 196 - Il ne va point fouiller aux terres inconnues, A la merci des vents et des ondes chenues, Ce que nature avare a caché de trésors...
Page 189 - Fidèle à ses besoins , à ses travaux docile , La terre lui fournit un aliment facile. Sans doute il ne voit pas , au retour du soleil , De leur patron superbe adorant le réveil , Sous les lambris pompeux de ses toits magnifiques, Des flots d'adulateurs inonder ses portiques...
Page 159 - Qu'il est grand, qu'il est doux de se dire à soi-même : Je n'ai point d'ennemis; j'ai des rivaux que...
Page 159 - L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 168 - S'efforçoit d'attirer de fertiles vendanges. Là le vin et la joie éveillant les esprits , Du plus habile chantre un bouc étoit le prix. Thespis fut le premier , qui barbouillé de lie , Promena par les bourgs cette heureuse folie ; Et d'acteurs mal ornés chargeant un tombereau ,' Amusa les passans d'un spectacle nouveau. Eschyle...
Page 113 - Déjà l'arc éclatant qu'Ir!s trace dans l'air , Boit les feux du soleil et les eaux de la mer; La grue , avec effroi s'élançant des vallées, Fuit ces noires vapeurs de la terre exhalées; Le taureau hume l'air par...