Le génie de Virgile, Volume 2Maradan, 1810 |
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... mers , et toi ( 1 ) , dont les nombreux troupeaux De Cée ( 2 ) , en bondissant , dépouillent les coteaux ; Toi , sur - tout , dieu pasteur , souverain d'Arcadie , O Pan , si tu chéris ton heureuse patrie ; Minerve , si par toi ton ...
... mers , et toi ( 1 ) , dont les nombreux troupeaux De Cée ( 2 ) , en bondissant , dépouillent les coteaux ; Toi , sur - tout , dieu pasteur , souverain d'Arcadie , O Pan , si tu chéris ton heureuse patrie ; Minerve , si par toi ton ...
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... mers , que Thulé , cette île placée à l'extrémité de la terre , te reconnoisse pour son maître , et que Thétys , en te cédant tout l'empire des eaux , ne croie pas acheter à trop haut prix la gloire de t'avoir pour gendre ; soit enfin ...
... mers , que Thulé , cette île placée à l'extrémité de la terre , te reconnoisse pour son maître , et que Thétys , en te cédant tout l'empire des eaux , ne croie pas acheter à trop haut prix la gloire de t'avoir pour gendre ; soit enfin ...
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... mers , secoua le miel des arbres , dé- roba le feu à nos regards , et tarit les ruisseaux de vin qui couloient de ... mer ses rets humides . L'art d'en- durcir le fer fut inventé ; on entendit le cri aigu de la scie ( car avant ce temps ...
... mers , secoua le miel des arbres , dé- roba le feu à nos regards , et tarit les ruisseaux de vin qui couloient de ... mer ses rets humides . L'art d'en- durcir le fer fut inventé ; on entendit le cri aigu de la scie ( car avant ce temps ...
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... mers ora- geuses , s'exposent aux flots de l'Hellespont , et voguent sur le détroit d'Abydos . Dès que la Balance ( 13 ) rendra les heures du jour égales à celles de la nuit , et partagera le monde entre l'ombre et la lumière , allez ...
... mers ora- geuses , s'exposent aux flots de l'Hellespont , et voguent sur le détroit d'Abydos . Dès que la Balance ( 13 ) rendra les heures du jour égales à celles de la nuit , et partagera le monde entre l'ombre et la lumière , allez ...
Page 55
... mers . Là , pâlit la nature , et sur ses bords funèbres Une nuit inféconde entasse des ténèbres ; Ou peut - être l ... mer des flottes armées , ou de couper les arbres dans les forêts . Ce n'est donc pas en vain que nous observons le ...
... mers . Là , pâlit la nature , et sur ses bords funèbres Une nuit inféconde entasse des ténèbres ; Ou peut - être l ... mer des flottes armées , ou de couper les arbres dans les forêts . Ce n'est donc pas en vain que nous observons le ...
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Le génie de Virgile: ouvrage posthume, Volume 2 Jacques Charles Louis de Clinchamp de Malfilâtre Affichage du livre entier - 1810 |
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Expressions et termes fréquents
abeilles Æther affreux airs amour animaux arbres atque avoit Bacchus beautés beaux bois bords brillant bruit brûlant Cérès César champs chant char charmes chêne ciel cieux Cocyte coursier cùm Cyrène Delille déserts dieu dieux douleur doux eaux enfans essaims étoient étoit Eurydice fable féconde feux flancs fleurs fleuve flots foible forêts froid fruits fureur Géorgiques glace grace guérets harmonie imitative Hésiode heureux imité jamais jeunes jour Jupiter l'abeille l'air l'airain l'Énéide l'hiver l'ombre l'onde l'univers laboureur Lapithes loin main mers miel moissons morceau mort mortels mugit Note de l'Éditeur nourrit nuages nuit nymphes oiseaux orbem Orphée Ovide par-tout Persès peuple plaines pleurs poëme poésie poëte printemps Protée rameaux Rhodope rivage roule ruisseaux sacrés Sæpè sang seroit sillons soins soleil sort souffle souvent Strymon Styx superbe sur-tout taureaux Taygète terre Thrace thym torrens traduction travaux tremblant triste troupeaux vallons vents vigne Virgile voit voix Volsques yeux zéphyrs
Fréquemment cités
Page 195 - O bienheureux celui qui peut de sa mémoire Effacer pour jamais ce vain espoir de gloire, Dont l'inutile soin traverse nos plaisirs, Et qui, loin, retiré de la foule importune, Vivant dans sa maison content de sa fortune, A selon son pouvoir mesuré ses désirs.
Page 177 - Quand pourront les neuf Sœurs, loin des cours et des villes, M'occuper tout entier, et m'apprendre des cieux Les divers mouvements inconnus à nos yeux , Les noms et les vertus de ces clartés errantes Par qui sont nos destins et nos mœurs différentes...
Page 240 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats ; aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l'affronte, il se fait au bruit des armes, il l'aime, il le cherche et s'anime de la même ardeur...
Page 241 - ... sous la main de celui qui le guide, mais il semble consulter ses désirs, et obéissant toujours aux impressions qu'il en reçoit, il se précipite, se modère ou s'arrête, et n'agit que pour y satisfaire; c'est une créature qui renonce à son être pour n'exister que par la volonté d'un autre, qui sait même la prévenir; qui, par la promptitude et la précision de ses mouvements, l'exprime et l'exécute; qui sent autant qu'on le désire, et ne rend qu'autant qu'on veut; qui...
Page 196 - Il ne va point fouiller aux terres inconnues, A la merci des vents et des ondes chenues, Ce que nature avare a caché de trésors...
Page 189 - Fidèle à ses besoins , à ses travaux docile , La terre lui fournit un aliment facile. Sans doute il ne voit pas , au retour du soleil , De leur patron superbe adorant le réveil , Sous les lambris pompeux de ses toits magnifiques, Des flots d'adulateurs inonder ses portiques...
Page 159 - Qu'il est grand, qu'il est doux de se dire à soi-même : Je n'ai point d'ennemis; j'ai des rivaux que...
Page 159 - L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 168 - S'efforçoit d'attirer de fertiles vendanges. Là le vin et la joie éveillant les esprits , Du plus habile chantre un bouc étoit le prix. Thespis fut le premier , qui barbouillé de lie , Promena par les bourgs cette heureuse folie ; Et d'acteurs mal ornés chargeant un tombereau ,' Amusa les passans d'un spectacle nouveau. Eschyle...
Page 113 - Déjà l'arc éclatant qu'Ir!s trace dans l'air , Boit les feux du soleil et les eaux de la mer; La grue , avec effroi s'élançant des vallées, Fuit ces noires vapeurs de la terre exhalées; Le taureau hume l'air par...