Œuvres de Molière, Volume 6Hachette et cie., 1881 |
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... femme , et dont celle - ci se venge , en le dénonçant comme un médecin d'humeur bizarre , dont on ne peut obtenir aucun secours sans lui faire , à coups de bâton , confesser sa science . Un fabliau du moyen âge nous fait en vers ce ...
... femme , et dont celle - ci se venge , en le dénonçant comme un médecin d'humeur bizarre , dont on ne peut obtenir aucun secours sans lui faire , à coups de bâton , confesser sa science . Un fabliau du moyen âge nous fait en vers ce ...
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... femme du paysan comprend qu'elle tient sa vengeance . « Mon mari , dit - elle aux messagers , est bon médecin , je vous en donne ma foi . Mais il est de telle nature , qu'il ne ferait rien pour personne si on ne le battait bien ...
... femme du paysan comprend qu'elle tient sa vengeance . « Mon mari , dit - elle aux messagers , est bon médecin , je vous en donne ma foi . Mais il est de telle nature , qu'il ne ferait rien pour personne si on ne le battait bien ...
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... femme aux envoyés du Roi et passe docteur à coups de bâton ; puis il expulse l'arête du gosier de la fille du Roi en la faisant rire ; enfin , sommé de guérir les malades du pays , il a recours au même stratagème que dans le conte ...
... femme aux envoyés du Roi et passe docteur à coups de bâton ; puis il expulse l'arête du gosier de la fille du Roi en la faisant rire ; enfin , sommé de guérir les malades du pays , il a recours au même stratagème que dans le conte ...
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... femme , battue par son mari , alla vers un châtelain malade , disant que son mari était médecin , mais ne soignait personne s'il n'était fortement battu , et de cette façon elle le fit battre bien fort . » Nous pouvons remonter plus ...
... femme , battue par son mari , alla vers un châtelain malade , disant que son mari était médecin , mais ne soignait personne s'il n'était fortement battu , et de cette façon elle le fit battre bien fort . » Nous pouvons remonter plus ...
Page 14
Molière. lain mire a rimées n'y est omise : la femme battue chaque jour par son mari , les messagers de la cour qui cherchent un médecin pour la fille du Roi étranglée par une arête , la ven- geance de la femme , qui leur confie en ...
Molière. lain mire a rimées n'y est omise : la femme battue chaque jour par son mari , les messagers de la cour qui cherchent un médecin pour la fille du Roi étranglée par une arête , la ven- geance de la femme , qui leur confie en ...
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Œuvres de Moliere: avec des remarques grammaticales, des ..., Volume 7 Molière Affichage du livre entier - 1778 |
Expressions et termes fréquents
acte ADRASTE ALCMÈNE amant amour AMPHITRYON ANGÉLIQUE assez Auger avoit Bacchus Ballet des Muses beau Bergers chante chose CLAUDINE CLEANTHIS Climène CLITANDRE cœur COLIN comédie conte couplet danse DAPHNÉ dialogue dire divertissement donne doute éditions entrée ENTRÉE DE BALLET ÉROXÈNE esclaves étoient étoit fabliau femme FILÈNE fille GEORGE DANDIN GÉRONTE Grange HALI homme Ibidem ISIDORE j'ai JACQUELINE joué JUPITER l'acte l'Amour l'École des maris l'édition de 1734 l'édition originale latin Léandre Littré livret LUBIN LUCAS Lucinde Lully LYCARSIS LYCAS MADAME DE SOTENVILLE mari MARTINE Médecin Médecin volant Mélicerte MERCURE Mme de Sévigné MONSIEUR DE SOTENVILLE musicien musique Myrtil note Notice parler paroître Partition Philidor Pastorale comique Paysan Pèdre personnage Philène pièce plaisir Plaute poëte première Princesse d'Élide raison représentation rien Robinet rôle Rotrou SCÈNE VII second seul SGANARELLE Sicilien sieur sorte SOSIA SOSIE suivantes théâtre Tircis trouve VALÈRE veux voilà voyez ci-après Voyez ci-dessus
Fréquemment cités
Page 487 - L'alliance qu'ils font est petite avec nos personnes. C'est notre bien seul qu'ils épousent; et j'aurais bien mieux fait, tout riche que je suis, de m'allier en bonne et franche paysannerie, que de prendre une femme qui se tient au-dessus de moi, s'offense de porter mon nom, et pense qu'avec tout mon bien, je n'ai pas assez acheté la qualité de son mari. George Dandin f George Dandin ! vous avez fait une sottise la plus grande du monde.
Page 528 - M'avez-vous avant le mariage demandé mon consentement, et si je voulais bien de vous ? Vous n'avez consulté pour cela que mon père, et ma mère, ce sont eux proprement qui vous ont épousé, et c'est pourquoi vous ferez bien de vous plaindre toujours à eux des torts que l'on pourra vous faire.
Page 92 - Un cordonnier, en faisant des souliers, ne saurait gâter un morceau de cuir, qu'il n'en paie les pots cassés ; m,ais ici l'on peut gâter un homme sans qu'il en coûte rien. Les bévues ne sont point pour nous, et c'est toujours la faute de celui qui meurt. Enfin, le bon de cette profession est qu'il ya parmi les morts une honnêteté , une discrétion la plus grande du monde ; et jamais on n'en voit se plaindre du médecin qui l'a tué.
Page 48 - Qu'ils sont doux. Bouteille jolie, Qu'ils sont doux, Vos petits glou-gloux ! Mais mon sort ferait bien des jaloux, Si vous étiez toujours remplie. Ah ! bouteille ma mie, Pourquoi vous videz-vous ? Allons, morbleu ! il ne faut point engendrer de mélancolie.
Page 345 - S'acharne au vain honneur de demeurer près d'eux, Et s'y veut contenter de la fausse pensée Qu'ont tous les autres gens que nous sommes heureux Vers la retraite en vain la raison nous appelle...
Page 15 - Le médecin respondit en son art bien avoir remèdes propres pour faire parler les femmes, n'en avoir pour les faire taire. Remède unique estre surdité du mary, contre cestuy interminable parlement de femme.
Page 528 - ... mon désert, où j'ai fait vœu de vivre, Vous soyez, sans tarder, résolue à me suivre : C'est par là seulement que, dans tous les esprits, Vous pouvez réparer le mal de vos écrits, Et qu'après cet éclat, qu'un noble cœur abhorre, II peut m'être permis de vous aimer encore.
Page 449 - N'a rien du tout qui déshonore; Et, sans doute, il ne peut être que glorieux De se voir le rival du souverain des dieux.