| Société de naturalistes et d'agriculteurs (Paris) - 1803 - 622 pages
...unit ces doigts à leur base, contracte par ces écarte— »mens sans cesse répétés des doigts, l'habitude de s'étendre. Ainsi » avec le temps , les larges membranes qui unissent les doigts des ca» uards, des oies, etc., se sont formées telles que nous les voyons. » Les mêmes efforts faits... | |
| Jean Baptiste Pierre Antoine de Monet de Lamarck - 1809 - 488 pages
...les doigts de ses pie'ds lorsqu'il veut frapper l'eau et se mouvoir à sa surface. La peau qui unit ces doigts à leur base, contracte, par ces écartemens des doigts sans cesse répétés, Ihabitude de s étendre; ainsi, avec le temps, les larges membranes qui unissent les doigîs des canards,... | |
| Jean Baptiste Pierre Antoine de Monet de Lamarck - 1830 - 464 pages
...les doigts de ses pieds lorsqu il veut frapper l'eau et se mouvoir à sa surface. La peau qui unit ces doigts à leur base, contracte, par ces écartemens...avec le temps, les larges membranes qui unissent les dpigts des canards, des oies, etc., se sont formées telles que nous les voyons. Les mêmes efforts... | |
| Hercule Straus-Durckheim - 1845 - 602 pages
...mouvoir à sa surface. La peau qui unit ses doigts à leur » base, contracte, par cet écartement des doigts sans cesse répétés, » l'habitude de...etc., se sont formées » telles que nous les voyons. » Mais pour recevoir ceci comme une preuve, il faudrait aussi admettre : 1° que des oiseaux qui ne... | |
| Société d'anthropologie de Paris - 1868 - 808 pages
...contracte a par cet écartement des doigts sans cesse répété, l'habitude de s'éten« dre ; ainsi,avec le temps, les larges membranes qui unissent les doigts...etc., se sont formées telles que nous les voyons. » Mils, pour recevoir ceci comme une preuve, il faudrait uussi admettre : 1° que des oiseaux qui... | |
| Jean Baptiste Pierre Antoine de Monet de Lamarck - 1873 - 540 pages
...se mouvoir à sa surface. La peau, qui unit ces doigts à leur base, contracte, par ces écartements des doigts sans cesse répétés, l'habitude de s'étendre...que nous les voyons. Les mêmes efforts faits pour nager, c'est-à-dire pour pousser l'eau afin d'avancer et de se mouvoir dans ce liquide, ont étendu... | |
| 1864 - 794 pages
...surface. La peau qui unit ses doigts à leur base, contracte, par ces écartements des doigts sans «esse répétés, l'habitude de s'étendre; ainsi, avec...etc., se sont formées telles que nous les voyons. De môme, l'on sait que l'oiseau de rivage, qui ne se plaît point à nager, et qui cependant a besoin... | |
| Société d'anthropologie de Paris - 1889 - 818 pages
...se mouvoir à sa surface. La peau qui unit ces doigts à leur base contracte, par ces écartements des doigts sans cesse répétés, l'habitude de s'étendre;...qui unissent les doigts des canards, des oies, etc., etc., se sont formées telles que nous le voyons. » des effets de l'usage ou des défauts d'usage... | |
| Société d'anthropologie de Paris - 1889 - 816 pages
...se mouvoir à sa surface. La peau qui unit ces doigts à leur base contracte, par ces écartetnents des doigts sans cesse répétés, l'habitude de s'étendre;...qui unissent les doigts des canards, des oies, etc., etc., se sont formées telles que nous le voyons. » des effets de l'usage ou des défauts d'usage... | |
| Société d'anthropologie de Paris - 1868 - 1442 pages
...répété, l'habitude de s'élen« dre ; ainsi,avec le temps, les larges membranes qui unissent les doigts a des canards, des oies, etc., se sont formées telles que nous les voyons, » Mais, pour recevoir ceci comme une preuve, il faudrait aussi admettre : 1° que des oiseaux qui... | |
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