Causeries guernesiaisesLe Lièvre, 1869 - 414 pages |
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Page xix
... juste et l'âme trop élevée pour me garder rancune de ma franchise , et pour m'en vouloir longtemps de ce qu'au lieu de leur adresser de vains compliments à la manière des gens de mon pays , je leur ai indiqué la voie du progrès . PAUL ...
... juste et l'âme trop élevée pour me garder rancune de ma franchise , et pour m'en vouloir longtemps de ce qu'au lieu de leur adresser de vains compliments à la manière des gens de mon pays , je leur ai indiqué la voie du progrès . PAUL ...
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... juste ; et puis , quand on entend la Sonate pathé - tique ou la Symphonie en ut mineur , on dit aussi , mais plus froidement that's very pretty ! mot qui , appliqué à la musique de Beethoven , est à peu - près aussi juste que si ...
... juste ; et puis , quand on entend la Sonate pathé - tique ou la Symphonie en ut mineur , on dit aussi , mais plus froidement that's very pretty ! mot qui , appliqué à la musique de Beethoven , est à peu - près aussi juste que si ...
Page 24
... juste et dit vrai , donnez - moi la satisfaction de savoir que vous abondez dans mon sens . Je vous laisse la liberté la plus absolue de conscience d'abord , et puis la liberté la plus absolue aussi dans le choix de vos sujets . Que ...
... juste et dit vrai , donnez - moi la satisfaction de savoir que vous abondez dans mon sens . Je vous laisse la liberté la plus absolue de conscience d'abord , et puis la liberté la plus absolue aussi dans le choix de vos sujets . Que ...
Page 39
... juste ? Vous ne le pensez pas . Mais ne nous hâtons pas trop de dire que non . Examinons - la , si vous le voulez bien , avec calme , et permettez - moi , je vous en prie , la plus entière liberté de critique , puisqu'enfin il s'agit ...
... juste ? Vous ne le pensez pas . Mais ne nous hâtons pas trop de dire que non . Examinons - la , si vous le voulez bien , avec calme , et permettez - moi , je vous en prie , la plus entière liberté de critique , puisqu'enfin il s'agit ...
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... juste , non pas même un seul ; il n'y a personne qui fasse le bien , non pas même un seul . Leur gosier est un sépulcre ouvert ; ils usent de leur langue pour mentir ; il y a du venin d'aspic sous leurs lèvres . Leur bouche est pleine ...
... juste , non pas même un seul ; il n'y a personne qui fasse le bien , non pas même un seul . Leur gosier est un sépulcre ouvert ; ils usent de leur langue pour mentir ; il y a du venin d'aspic sous leurs lèvres . Leur bouche est pleine ...
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Fréquemment cités
Page 170 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 167 - Misérable ! et je vis ! et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel , tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher ' ? Fuyons dans la nuit infernale.
Page 321 - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Page 171 - O temps ! suspends ton vol ; et vous, heures propices ! Suspendez votre cours; Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! « Assez de malheureux ici-bas vous implorent, Coulez, coulez pour eux; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent, Oubliez les heureux.
Page 172 - Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux! Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés ! Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise :
Page 322 - Ils laissent s'égayer ceux qui vivent un temps; Mais les festins humains qu'ils servent à leurs fêtes Ressemblent la plupart à ceux des pélicans. Quand ils parlent ainsi d'espérances trompées, De tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées : Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant, Mais il y pend toujours quelque goutte de sang.
Page 90 - Des héros de la Grèce assembla-t-il l'élite? Pourquoi, trop jeune encor, ne pûtes-vous alors Entrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bords?
Page 90 - Oui , prince , je languis , je brûle pour Thésée : Je l'aime, non point tel que l'ont vu les enfers, Volage adorateur de mille objets divers , Qui va du dieu des morts déshonorer la couche; Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche, Charmant , jeune , traînant tous les cœurs après soi , Tel qu'on dépeint nos dieux , ou tel que je vous voi.
Page 171 - Mais je demande en vain quelques moments encore, Le temps m'échappe et fuit; Je dis à cette nuit: 'Sois plus lente'; et l'aurore Va dissiper la nuit. Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive, Hâtons-nous, jouissons ! L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive; II coule, et nous passons...
Page 321 - II pousse dans la nuit un si funèbre adieu, Que les oiseaux des mers désertent le rivage, Et que le voyageur attardé sur la plage, Sentant passer la mort, se recommande à Dieu.