Mercure de France, Volume 53 |
Avis des internautes - Rédiger un commentaire
Aucun commentaire n'a été trouvé aux emplacements habituels.
Table des matières
| 3 | |
| 8 | |
| 49 | |
| 97 | |
| 118 | |
| 136 | |
| 149 | |
| 193 | |
| 337 | |
| 343 | |
| 345 | |
| 352 | |
| 363 | |
| 385 | |
| 391 | |
| 397 | |
| 222 | |
| 240 | |
| 246 | |
| 256 | |
| 289 | |
| 295 | |
| 299 | |
| 305 | |
| 316 | |
| 403 | |
| 433 | |
| 481 | |
| 499 | |
| 535 | |
| 546 | |
| 583 | |
| 592 | |
| 603 | |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
aime amour anglais armée arrivée assez aurait auteurs avaient avant baron beau belle bonheur brillant cæur caractère cause charme cher chercher choses corps cour d'autres demande dernier devant dire doit donner doute enfin facile femme figures fille fils fond force forme général génie genre goût Grecs guerre heureux hommes j'ai jeune jouir jour journaux jugement l'amour l'armée l'auteur l'ennemi l'un laisse lettres Levis lieu livre loin main manière marche mère mieux monde mort Moscou mouvement moyens n'en Natalie nature nombre nouveau nouvelle ouvrages parler passer peine pendant pensée père personne peuple peut-être pièces place poésie poëte port position pourrait pouvait premier présente prince pris public qu'à qu'un raison rapport regards remarquer rendre reste réunies rien Rose Russes s'est s'il seconde semble sentiment serait seul siècle sort souvent succès suite suivi sujet tableau tems terre tête traits trouve vérité vive voit vrai yeux
Fréquemment cités
Page 545 - Jusqu'au 6 novembre le temps a été parfait , et le mouvement de l'armée s'est exécuté avec le plus grand succès. Le froid a commencé le 7. Dès ce moment chaque nuit nous avons perdu plusieurs centaines de chevaux , qui mouraient au bivouac. Arrivés à Smolensk, nous avions déjà perdu bien des chevaux de cavalerie et d'artillerie.
Page 39 - Soldats! voilà la bataille que vous avez tant désirée; désormais, la victoire dépend de vous; elle nous est nécessaire; elle nous donnera l'abondance, de bons quartiers d'hiver et un prompt retour dans la patrie.
Page 214 - Voltaire, il voulut finir sa visite par un coup de génie, et lui dit en tournant doucement son chapeau entre ses doigts : « Aujourd'hui, monsieur, je ne suis venu voir qu'Homère ; je viendrai voir un autre jour Euripide et Sophocle, et puis Tacite, et puis Lucien, etc.
Page 39 - A sept heures le maréchal duc d'Elchingen se met en mouvement, et, sous la protection de soixante pièces de canon , que le général Foucher avait placées la veille contre le centre de l'ennemi, se porte sur le centre. Mille pièces de canon vomissent de part et d'autre la mort. » A huit heures les positions de l'ennemi sont enlevées , ses redoutes prises, et notre artillerie couronne ses mamelons. L'avantage de position , qu'avaient...
Page 255 - Lorsque vous peignez des héros, vous faites ce que vous voulez. Ce sont des portraits à plaisir, où l'on ne cherche point de ressemblance ; et vous n'avez qu'à suivre les traits d'une imagination qui se donne l'essor, et qui souvent laisse le vrai pour attraper le merveilleux. Mais lorsque vous peignez les hommes, il faut peindre d'après nature. On veut que ces portraits ressemblent; et vous n'avez rien fait si vous n'y faites reconnaître les gens de votre siècle.
Page 399 - Il inventa, dit-on, la morale; d'autres, avant lui, l'avaient mise en pratique; il ne fit que dire ce qu'ils avaient fait; il ne fit que mettre en leçons leurs exemples. Aristide avait été juste avant que Socrate eût dit ce que c'était que la justice.
Page 444 - Nos pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu'une femme en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
Page 531 - Précis de la géographie universelle, ou description de toutes les parties du monde, sur un plan nouveau, d'après les grandes divisions naturelles du globe; précédée de l'histoire de la géographie chez les peuples anciens et...
Page 545 - L'ennemi, qui voyait sur les chemins les traces de cette affreuse calamité qui frappait l'armée française , chercha à en profiter. Il enveloppait toutes les colonnes par ses Cosaques , qui enlevaient, comme les Arabes dans les déserts, les trains et les voitures qui s'écartaient. Cette méprisable cavalerie, qui ne fait que du bruit et n'est pas capable d'enfoncer une compagnie de voltigeurs...
Page 55 - Et la palme qui luit sur sa tête guerrière Le place au rang des dieux. La palme suit de près un espoir magnanime; Le doute des succès déjà touche aux revers. Accourez , combattez ; la France vous anime ; Les prix vous sont offerts. L'entendez-vous gémir , cette auguste patrie ? Elle vous tend les bras , et ses yeux sont en pleurs : Ses lauriers sont épars ; sa guirlande flétrie Implore des vengeurs.