De l'esprit des lois, Volume 1P. Didot et Firmin Didot, an xii, 1803 |
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... générale sur les principes du gouvernement qui rend les peuples plus attachés à ce qu'ils doivent ai- mer . Ceux qui ont si indécemment attaqué cet ou- vrage lui doivent peut - être plus qu'ils ne s'imagi- nent . L'ingratitude au reste ...
... générale sur les principes du gouvernement qui rend les peuples plus attachés à ce qu'ils doivent ai- mer . Ceux qui ont si indécemment attaqué cet ou- vrage lui doivent peut - être plus qu'ils ne s'imagi- nent . L'ingratitude au reste ...
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... général , c'est - à - dire sous celui qui est uniquement relatif à leur nature et à leur principe . Envisagés de cette ... générale est de faire aux vaincus le moins de mal qu'il est possible . Les républiques peuvent moius conquérir que ...
... général , c'est - à - dire sous celui qui est uniquement relatif à leur nature et à leur principe . Envisagés de cette ... générale est de faire aux vaincus le moins de mal qu'il est possible . Les républiques peuvent moius conquérir que ...
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... générale , il n'avoit pu les envisager que par rapport au mal qu'ils peuvent se faire : ici il les envisage par rapport aux secours mutuels qu'ils peuvent se donner ; er ces secours sont prin- cipalement fondés sur le commerce . Si l ...
... générale , il n'avoit pu les envisager que par rapport au mal qu'ils peuvent se faire : ici il les envisage par rapport aux secours mutuels qu'ils peuvent se donner ; er ces secours sont prin- cipalement fondés sur le commerce . Si l ...
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... générale , il n'avoit pu les envisager que par rapport au mal qu'ils peuvent se faire : ici il les envisage par rapport aux secours mutuels qu'ils peuvent se donner ; er ces secours sont prin- cipalement fondés sur le commerce . Si l ...
... générale , il n'avoit pu les envisager que par rapport au mal qu'ils peuvent se faire : ici il les envisage par rapport aux secours mutuels qu'ils peuvent se donner ; er ces secours sont prin- cipalement fondés sur le commerce . Si l ...
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... générale , mais très informe et très imparfaite , de l'ouvrage de M. de Montesquieu . Nous l'avons séparée du reste de son éloge , pour ne pas trop interrompre la suite de notre récit . AVERTISSEMENT DE L'AUTEUR . POUR l'intelligence ...
... générale , mais très informe et très imparfaite , de l'ouvrage de M. de Montesquieu . Nous l'avons séparée du reste de son éloge , pour ne pas trop interrompre la suite de notre récit . AVERTISSEMENT DE L'AUTEUR . POUR l'intelligence ...
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De l'esprit des lois, Volume 1 Charles Louis de Secondat Montesquieu (Barón de) Affichage du livre entier - 1834 |
Expressions et termes fréquents
1817 LIBRARIES Antoine de Bourbon Aristote Athenes auroit avoient avoit blique c'étoit Carthage censure CHAP CHAPITRE Charles de Secondat Chine choses citoyen civiles climat commerce connoître constitution corps crainte crimes démocratie desirs devoit différentes doit doivent donner esclaves espece ESPR établi états despotiques étoient étoit femmes foiblesse force fortune frugalité gens gloire gouver gouvernement despotique gouvernement monarchique guerre hommes juge l'amour l'aristocratie l'auteur l'égalité l'Esprit des lois l'état l'honneur Lacédémone législateur Lettres persanes liberté lois somptuaires luxe magistrats magistrature maniere MICHIGAN modération mœurs monarchie monarque Montesquieu n'avoit nation nature nobles ouvrage Papier vélin par-tout parcequ'il parceque patrie pays peines peuple philosophe Platon Plutarque politique pourroit pouvoir premiere président à mortier prince principe du gouvernement prit des lois puissance punir rapport religion répu républicain république Romains Rome sénat sénateurs sent seroient seroit seul sujet sur-tout tion Tite-Live toyens tribunal tributs UNIV UNIVERSITY vertu vouloit
Fréquemment cités
Page 10 - Elles doivent être relatives au physique du pays, au climat glacé, brûlant ou tempéré; à la qualité du terrain, à sa situation, à sa grandeur, au genre de vie des peuples, laboureurs, chasseurs ou pasteurs; elles doivent se rapporter au...
Page 64 - Pour former un gouvernement modéré, il faut combiner les puissances, les régler, les tempérer, les faire agir; donner pour ainsi dire, un lest à l'une pour la mettre en état de résister à une autre : c'est un chef-d'œuvre de législation que le hasard fait rarement, et que rarement on laisse faire à la prudence2.
Page 18 - L'ambition dans l'oisiveté, la bassesse dans l'orgueil, le désir de s'enrichir sans travail, l'aversion pour la vérité, la flatterie, la trahison, la perfidie, l'abandon de tous ses engagements, le mépris des devoirs du citoyen, la crainte de la vertu du prince, l'espérance de ses faiblesses...
Page 134 - Le principe de la démocratie se corrompt, non seulement lorsqu'on perd l'esprit d'égalité, mais encore quand on prend l'esprit d'égalité extrême, et que chacun veut être égal à ceux qu'il choisit pour lui commander.
Page 153 - Dans une grande république , il ya de grandes fortunes , et par conséquent peu de modération dans les esprits : il ya de trop grands dépôts à mettre entre les mains d'un citoyen; les intérêts se particularisent : un homme sent d'abord qu'il peut être heureux , grand, glorieux, sans sa patrie; et bientôt qu'il peut être seul grand sur les ruines de sa patrie.
Page 8 - Considérés comme vivant dans une société qui doit être maintenue , ils ont des lois dans le rapport qu'ont ceux qui gouvernent avec ceux qui sont gouvernés ; et c'est le DROIT POLITIQUE. Ils en ont encore dans le rapport que tous les citoyens ont entre eux ; et c'est le DROIT CIVIL.
Page 31 - Il ya donc une raison primitive; et les lois sont les rapports qui se trouvent entre elle et les différents êtres, et les rapports de ces divers êtres entre eux.
Page 68 - Mais Platon parle d'une république fondée sur la vertu, et nous parlons d'une monarchie. Or, dans une monarchie où, quand les charges ne se...
Page 27 - Les vertus qu'on nous y montre sont toujours moins ce que l'on doit aux autres, que ce que l'on se doit à soi-même : elles ne sont pas tant ce qui nous appelle vers nos concitoyens, que ce qui nous en distingue.
Page 10 - Elles doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites, que c'est un très grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre.