Ces tête-à-tête variés et multipliés nous amusaient tellement, que nous étions impatients de sortir de table où nous nous parlions , pour venir nous écrire. Quand il arrivait par hasard des étrangers , nous ne pouvions supporter d'interrompre... Oeuvres inédites de Mme la baronne de Staël - Page 138de Madame de Staël (Anne-Louise-Germaine) - 1821Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Madame de Staël (Anne-Louise-Germaine) - 1821 - 448 pages
...charmant air qu'a composé la reine de Hollande, et dont le refrain est : Fais ce que dois, advienne gue pourra. Après dîné, nous avions imaginé de nous...monotonie de la solitude. Un jour, un gentilhomme des en virons, qui n'avoit pensé de sa vie qu'à la chasse, vint pour emmener mes fils dans ses bois :... | |
| Madame de Staël (Anne-Louise-Germaine) - 1821 - 454 pages
...deSalabeiry. V réunion si intime, ce séjour si solitaire, cette occupation si douce des beaux arts, ne faisoient de mal à personne. Nous chantions souvent...toujours son train. Les habitans de la ville voisine s'étounoient un peu de ces manières nouvelles, et les prenoient pour de la pédanterie, tandis qu'il... | |
| Anne-Louise-Germaine Necker de Staël-Holstein (baronne) - 1821 - 294 pages
...pous venir nous écrire. Quand il arrivait par hasard des étrangers , nous ne pouvions sup— porter d'interrompre nos habitudes; et notre petite poste ( c'est ainsi que nous l'appelions ) allait toujours son train. Les habitans de la ville voisine s'étonnaient un peu de ces maniérée... | |
| Madame de Stael (Anne-Louise-Germaine) - 1845 - 682 pages
...étions impatients de sortir de table où nous nous parlions , pour venir nous écrire. Quand il arrivait par hasard des étrangers , nous ne pouvions supporter...notre petite poste (c'est ainsi que nous l'appelions) allait toujours son train. Les habitants de la ville voisine s'étonnaient un peu de ces manières... | |
| Jeanne Françoise Julie Adélaïde Bernard Récamier - 1859 - 520 pages
...pour venir nous écrire. Quand il arrivait « par hasard des étrangers, nous ne pouvions sup« porter d'interrompre nos habitudes, et notre petite « poste, c'est ainsi que nous l'appelions, allait tou« jours son train. « Un jour, un gentilhomme des environs, qui « n'avait de sa vie pensé... | |
| Jeanne Françoise Julie Adélaïde Bernard Récamier - 1859 - 506 pages
...pour venir nous écrire. Quand il arrivait « par hasard des étrangers, nous ne pouvions sup« porter d'interrompre nos habitudes, et notre petite « poste, c'est ainsi que nous l'appelions, allait tou« jours son train. « Un jour, un gentilhomme des environs , qui « n'avait de sa vie pensé... | |
| Revue nationale et étrangère - 1862 - 668 pages
...étions impatients de sortir de table, où nous parlions, pour venir nous écrire. Quand il arrivait par hasard des étrangers, nous ne pouvions supporter...notre petite poste (c'est ainsi que nous l'appelions) allait toujours son train. Les habitants de la ville voisine s étonnaient un peu de ces manières... | |
| 1862 - 686 pages
...de table, 1. Coppetet Weimar, p. 121. où nous parlions, pour venir nous écrire. Quand il arrivait par hasard des étrangers, nous ne pouvions supporter...notre petite poste (c'est ainsi que nous l'appelions) allait toujours son train. Les habitants de la ville voisine s étonnaient un peu de ces manières... | |
| Jules Loiseleur - 1863 - 408 pages
...étions impatients de sortir de table, où nous nous parlions, pour venir nous écrire. Quand il arrivait par hasard des étrangers, nous ne pouvions supporter d'interrompre nos habitudes, et noire petite poste (c'est ainsi que nous l'appelians), allait toujours son train. Les habilants de... | |
| Jeanne Françoise Julie Adélaïde Bernard Récamier - 1876 - 544 pages
...pour venir nous écrire. Quand il arrivait « par hasard des étrangers, nous ne pouvions sup« porter d'interrompre nos habitudes, et notre petite « poste, c'est ainsi que nous l'appelions, allait tou« jours son train. « Un jour, un gentilhomme des environs, qui « n'avait de sa vie pensé... | |
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