| abbé Raynal (Guillaume-Thomas-François) - 1772 - 404 pages
...quatre ou cinq lieues. Les Arabes, les feuls qui s'y livrent, vont coucher chaque nuit dans l'ifle ou fur la côte , à moins que les vents ne les empêchent de gagner la terre. Autrefois ils payoient tous un droit à des galiotes établies pour le recevoir. Depuis le... | |
| abbé Raynal - 1781 - 420 pages
...quatre à cinq lieues. Les Arabes, les feuls qui s'y livrent, vont coucher chaque nuit dans l'ifle ou fur la côte , à moins que les vents ne les empêchent de gagner !a terre. Autrefois ils payoient tous un droit à des galliotes établies pour le recevoir. Depuis... | |
| Edme Mentelle - 1783 - 450 pages
...Elle eft renfermée dans l'efpace de quatre à cinq lieues. Les Arabes , les feuls qui s'y livrent , vont coucher. chaque nuit dans l'île ou fur la côte...à moins que les vents ne les empêchent de gagner la terre. Autrefois ils payoient tous un droit à des galiotes établies pour le recevoir. Depuis le... | |
| 1784 - 772 pages
...quatre à cinq lieues. Les arabes , les feuls qui s'y livrent , vont coucher chaque nuit dans l'ifle ou fur la côte , à moins que les vents ne les empêchent de gagner la terre. Autrefois ils payoient tous un droit à des galiotes établies pour les recevoir. Depuis... | |
| William Guthrie - 1799 - 788 pages
...4 à 5 lieues: Les Arabes , les seuls qui s'y livrent , vont coucher chaque' nuit dans l'ile ou sur la côte, à moins que les vents ne les empêchent de gagner la terre. Cette île a cela de particulier , que les autres bancs où l'on pêchoit les perles , tels... | |
| Jean François de La Harpe - 1780 - 548 pages
...pêche commence en avril & finit en oftobre; les Arabes, les feuls qui s'y livrent , vont coucher la nuit dans l'île ou fur la côte , à moins que les vents ne les empêchent de gagner la terre. Autrelois ils payaient un droit à des galiotes établies pour les recevoir. Depuis le dernier... | |
| Guillaume-Thomas-François Raynal - 1795 - 564 pages
...à cinq lieues. Les Arabes , les seuls qui s'y livrent , vont couchef chaque nuit dans l'isle ou sur la côte , à moins que les vents ne les empêchent de gagner la terre. Autrefois ils payoient tous un droit à des galiotes établies pour les recevoir. Depuis... | |
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