| Jean Baptiste Antoine Suard - 1803 - 408 pages
...à madame de la Fayette. Les Lettres de madame de Sévigné nous apprennent que sa maison était 1* rendez-vous de tout ce qu'il y avait de plus distingué à la cour et à la ville par le nom, l'esprit, les talens et la politesse. C'est au milieu de cette société choisie qu'il composa... | |
| Jean Baptiste Antoine Suard - 1806 - 592 pages
...vie à madame de la Fayette. Les Lettres de madame de Sévigné nous apprennent que sa maison était le rendez-vous de tout ce qu'il y avait de plus distingué à la cour et à la ville par le nom, l'esprit, les talens et la politesse. C'est au milieu de cette société choisie qu'il composa... | |
| Jean Baptiste A. Suard - 1806 - 410 pages
...vie à madame- de la Fayette. Les Lettres de madame de Sévigné nous apprennent que sa maison était le rendez-vous de tout ce qu'il y avait de plus distingué à la cour et à la ville par le nom , l'esprit , les talens et la politesse. C'est au milieu de cette société choisie qu'il composa... | |
| François-Xavier de Feller - 1824 - 628 pages
...transportant presque toujours la scène parmi le bas peuple et au village. 11 était cependant recherché de ce qu'il y avait de plus distingué à la cour et à la ville ; Louis XIV l'aimait. Lorsque ce prince devait assister àla comédie, d'Ancourt allait lui lire ses... | |
| Mme. Du Hausset - 1824 - 372 pages
...son mari, jeune, belle, aimable, et héritière d'une immense fortune, elle était l'objet des voeux de tout ce qu'il y avait de plus distingué à la cour. Le directeur de la mère de la comtesse d'Egmont entra un jour chez elle, et lui demanda un entretien... | |
| 1824 - 374 pages
...son mari, jeune, belle, aimable, et héritière d'une immense fortune, elle était l'objet des vœux de tout ce qu'il y avait de plus distingué à la cour. Le directeur de la mère de la comtesse d'Egmont entra un jour chez elle, et lui demanda un entretien... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1824 - 374 pages
...son mari, jeune, belle, aimable, et héritière d'une immense fortune, elle était l'objet des vœux de tout ce qu'il y avait de plus distingué à la cour. Le directeur de la mère de la comlegse d'Egmont entra un jour chez elle, et lui demanda un entretien... | |
| Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles - 1827 - 782 pages
...femmes , • il ne songea plus qu'à se livrer aux charmes de l'amitié et aux • plaisirs de l'esprit. Sa maison devint le rendez-vous de tout ce «qu'il...avait de plus distingué à la cour et à la ville pur la nais• sance, les talents et la politesse. Ce fut alors .qu'il composa son «livre des Maximes,... | |
| C. de Méry - 1828 - 472 pages
...charmes de l'amitié et les plaisirs de l'esprit. Ce fut au milieu de la société la plus polie, et de tout ce qu'il y avait de plus distingué à la cour et à la ville, qu'il composa ses Maximes (ou plutôt ses pensées) et ses Réflexions morales. Il mourut à Paris,... | |
| 1842 - 314 pages
...bénissait son union avec Hortense de Mancini , union consacrée par la présence de la famille royale et de tout ce qu'il y avait de plus distingué à la cour. Quels tendre regards l'époux jetait sur sa belle fiancée ! Comme , en dépit de ses efforts , la... | |
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