Chrestomathie française: morceaux choisis de prose et de poésie avec prononciation figurée à l'usage des étrangers, par Jean Passy et A. Rambeau, précédés d'une introduction sur la méthode phonétiqueH. Didier, 1926 - 246 pages |
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... nationale pendant les premiers jours du siège de Paris , Francisque SARCEY , 1828-1899 32. L'homme qui est « dans le mouvement » > , 1847-1916 . . Émile FAGUET , 33. Les trois sommations , Alphonse Daudet , 1840-1897 132 TROISIÈME ...
... nationale pendant les premiers jours du siège de Paris , Francisque SARCEY , 1828-1899 32. L'homme qui est « dans le mouvement » > , 1847-1916 . . Émile FAGUET , 33. Les trois sommations , Alphonse Daudet , 1840-1897 132 TROISIÈME ...
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... ici de la grammaire scientifique qui a son but et sa valeur à elle et n'a rien à faire avec l'acquisition d'une langue étrangère . b * véhicule et forme de la pensée nationale à laquelle le Coup d'œil sur nos principes XIX.
... ici de la grammaire scientifique qui a son but et sa valeur à elle et n'a rien à faire avec l'acquisition d'une langue étrangère . b * véhicule et forme de la pensée nationale à laquelle le Coup d'œil sur nos principes XIX.
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... nationale à laquelle le thème nous enchaîne . Felix Franke a très bien montré comment la traduction introduit dans l'opération de la parole des compli- cations inutiles qui la ralentissent et l'empêchent . Si en effet , dans notre ...
... nationale à laquelle le thème nous enchaîne . Felix Franke a très bien montré comment la traduction introduit dans l'opération de la parole des compli- cations inutiles qui la ralentissent et l'empêchent . Si en effet , dans notre ...
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... nationale.1 ) C'est aussi qu'il est la langue maternelle de l'un de nous et celle que l'autre a acquise . Nous avons toutefois cherché à normaliser notre prononciation sur quelques points où nous l'avons crue en contradiction avec celle ...
... nationale.1 ) C'est aussi qu'il est la langue maternelle de l'un de nous et celle que l'autre a acquise . Nous avons toutefois cherché à normaliser notre prononciation sur quelques points où nous l'avons crue en contradiction avec celle ...
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... nationale était troublée , et la France s'est demandé pendant un moment d'affreuse angoisse si elle existait encore . Cette crise n'a pas duré : la nation s'est vite recueillie , et présentement toutes les parties du pays affirment leur ...
... nationale était troublée , et la France s'est demandé pendant un moment d'affreuse angoisse si elle existait encore . Cette crise n'a pas duré : la nation s'est vite recueillie , et présentement toutes les parties du pays affirment leur ...
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Chrestomathie française: morceaux choisis de prose et de poésie, avec ... Jean Bénigne Passy,Adolphe Rambeau,Adolph Rambeau Affichage du livre entier - 1897 |
Expressions et termes fréquents
allemand amu:r anglais avek avɛ avɛk bɛl Chanson de Roland Chrestom consonnes dãz dévocalisation də filǝzǝfi di:r djø dɔne ekri Embabeh etɛ etɛt frã fra:s Französische grã Jean PASSY JOURDAIN kǝ:r kɛl ko:r Köthen kɔm lær langue mã:d MAITRE DE PHILOSOPHIE Mameluks mesjø məsjø mɛ:m mɛ:trǝ mjø mu'vmã muri:r nasjɔnal o'si Orthoepie pa'ri Paul PASSY petit-wazo Phonetik phonétique plyz prã prononciation RAMBEAU rantanplan sẽ sɛt syllabes trǝ trwa tu:s tuzu:r vocaliques voyelles vwaje wazo zu:r zurde
Fréquemment cités
Page 169 - France, du milieu des alarmes, La noble fille des Stuarts, Comme en ce jour qui voit ses larmes, Vers toi tournera ses regards. Mais, Dieu ! le vaisseau trop rapide Déjà vogue sous d'autres cieux ; Et la nuit, dans son voile humide, Dérobe tes bords à mes yeux ! Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu! te quitter c'est mourir.
Page 191 - Poète, c'est ainsi que font les grands poètes, Ils laissent s'égayer ceux qui vivent un temps ; Mais les festins humains qu'ils servent à leurs fêtes. Ressemblent la plupart à ceux des pélicans.
Page 241 - Jourdain. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 149 - J'attrape le bout de l'année ; Chaque jour amène son pain. Eh bien ! que gagnez-vous, dites-moi, par journée ? Tantôt plus, tantôt moins : le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes ; L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 151 - Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l'héritage Que nous ont laissé nos parents : Un trésor est caché dedans. Je ne sais pas l'endroit; mais un peu de courage Vous le fera trouver : vous en viendrez à bout. Remuez votre champ dès qu'on aura fait l'août *. Creusez, fouillez, bêchez; ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse.
Page 217 - Midi, roi des étés, épandu sur la plaine, Tombe en nappes d'argent des hauteurs du ciel bleu. Tout se tait. L'air flamboie et brûle sans haleine ; La terre est assoupie en sa robe de feu. L'étendue est immense, et les champs n'ont point d'ombre...
Page 147 - Et le financier se plaignait Que les soins de la Providence N'eussent pas au marché fait vendre le dormir Comme le manger et le boire. En son hôtel il fait venir Le chanteur, et lui dit: «Or ça, sire Grégoire, Que gagnez-vous par an ? — Par an ! ma foi, Monsieur...
Page 183 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur ? Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ? Quoi ! passés pour jamais ? quoi ! tout entiers perdus ? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus?
Page 243 - D'amour mourir me font, belle marquise, vos beaux yeux. Ou bien: Vos yeux beaux d'amour me font, belle marquise, mourir. Ou bien: Mourir vos beaux yeux, belle marquise, d'amour me font. Ou bien: Me font vos yeux beaux mourir, belle marquise, d'amour. M. Jourdain. Mais, de toutes ces façons-là, laquelle est la meilleure? Le Maître de Philosophie. Celle que vous avez dite: Belle marquise, vos beaux yeux me font mourir d'amour.
Page 183 - Un soir, t'en souvient-il? nous voguions en silence; On n'entendait, au loin, sur l'onde et sous les cieux. Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux. Tout à coup des accents, inconnus à la terre, Du rivage charmé frappèrent les échos: Le flot fut attentif; et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots: « 0 temps! suspends ton vol; et vous, heures propices, Suspendez votre cours: Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours! Assez...