Petite bibliotheque des théatres: Chef-d'œuvres de Philippe PoissonAu bureau [de la Petite bibliotheque des théatres], 1785 |
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Page xiii
... savoir , son talent supérieur pour la belle déclamation de la Chaire ; qui fut , enfin , l'un des plus fameux Prédicateurs du siecle dernier , et dont on se rappelle encore l'onction b ij JUGEMENS ET ANECDOTES . xiij Loret, dans sa ...
... savoir , son talent supérieur pour la belle déclamation de la Chaire ; qui fut , enfin , l'un des plus fameux Prédicateurs du siecle dernier , et dont on se rappelle encore l'onction b ij JUGEMENS ET ANECDOTES . xiij Loret, dans sa ...
Page 7
... savoir où , par qui , ni pourquoi , ni comment > Vous penserent quasi gâter le jugement . D. JUAN . A quel propos , méchant ! viens - tu rouvrir ma plaie , Par le ressouvenir d'une perte trop vraie ? Ah ! frere non vengé ! Sœur qui m ...
... savoir où , par qui , ni pourquoi , ni comment > Vous penserent quasi gâter le jugement . D. JUAN . A quel propos , méchant ! viens - tu rouvrir ma plaie , Par le ressouvenir d'une perte trop vraie ? Ah ! frere non vengé ! Sœur qui m ...
Page 29
... savoir qui l'aura fait entrer , Sans venir demander si nous sommes visibles ? Les bourreaux de valets sont tous incorrigibles ! SCENE V I. LUCRECE , voilée , D. FERNAND , ISABELLE . MIADAME , D. FERNAND , à Lucrece . sans vous voir , et ...
... savoir qui l'aura fait entrer , Sans venir demander si nous sommes visibles ? Les bourreaux de valets sont tous incorrigibles ! SCENE V I. LUCRECE , voilée , D. FERNAND , ISABELLE . MIADAME , D. FERNAND , à Lucrece . sans vous voir , et ...
Page 31
... savoir bien des vers est chose de mérite . LUCRECE . Burgos est donc la ville où je reçus le jour ; Mais cette ville enfin vit naître mon amour , Et je dois l'abhorrer , et pour l'un et pour l'autre . Hélas ! fut - il jamais destin ...
... savoir bien des vers est chose de mérite . LUCRECE . Burgos est donc la ville où je reçus le jour ; Mais cette ville enfin vit naître mon amour , Et je dois l'abhorrer , et pour l'un et pour l'autre . Hélas ! fut - il jamais destin ...
Page 36
... savoir . D. FERNAND . S'entend en peu de mots . D. LOUIS . Vous vous souvenez bien des fêtes de Burgos , Pour le premier enfant qu'eut la grande Isabelle , Des royales vertus le plus parfait modele ? Un ami qui faisoit trop d'estime de ...
... savoir . D. FERNAND . S'entend en peu de mots . D. LOUIS . Vous vous souvenez bien des fêtes de Burgos , Pour le premier enfant qu'eut la grande Isabelle , Des royales vertus le plus parfait modele ? Un ami qui faisoit trop d'estime de ...
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Expressions et termes fréquents
ALVARE amour Ascagne assez avoit balcon BEATRIX beau belle Burgos chambre d'Isabelle cher chere Isabelle chose ciel cœur Comédie comique COMMANDEUR connoître Consuegre COURIER cousin d'Alvarade d'Isabelle déja DELET diable Dieu Don Alphonse Don Fernand Don Louis Don Roc Zurducaci ELVIRE épouse esprit estocade êtes ÉTIENNE étoit faisoit feu grégeois fille FOUCARA L.
D. JAPHET Foucaral frere gendre grace HARANGUEUR Hélas Histoire du Théatre homme hyménée I.
D. JAPHET ISABELLE j'ai j'avois j'en j'étois jamais Jean Vincent JODELE T.
D. Jodelet l'alcove l'amour l'honneur Léonore Llorente Riberos long-tems LUCRECE m'aime m'en vais Madame Madrid main maître malheur mandeur MARC-ANTOINE MARINE Matamore maudit Messieurs Monsieur mort n'ai n'étoit neveu niece nuit offense Orgas Palaiseau parler Pascal PAUL SCARRON PEDRO Pleurez portrait pourroit raison rien RODRIGUE sais SCARRON SCENE PREMIERE SCENE VIII seroit seulement Séville sœur sort tantôt tems Théatre François Torribio Poncil trouver valet veux vîte vois
Fréquemment cités
Page 26 - J'ai la vue assez bonne quoique les yeux gros; je les ai bleus, j'en ai un plus enfoncé que l'autre, du côté que je penche la tête. J'ai le nez d'assez bonne prise.
Page 81 - Il fait une grimace étrange, Et dit, la main sur le rognon, Fi, cela n'est point honorable. Que béni soyez-vous, Seigneur, Qui m'avez fait un misérable Qui préfère l'ail à l'honneur.
Page 13 - ALPHONSE. Jeune comme je suis, monsieur, je sais tout faire. Je rase, je blanchis, je couds, je sais saigner, Je sais noircir le poil, le couper, le peigner; Je travaille en parfums, je sais la médecine, J'entends bien les procès, et fais bien la cuisine; Je suis grand spadassin, excellent écuyer, Fort entendu chasseur et parfait jardinier; J'écris...
Page ii - Votre Majesté qu'elle ne se ferait pas grand tort si elle me faisait un peu de bien. Si elle me faisait un peu de bien , je serais plus gai que je ne suis ; si j'étais plus gai que je ne suis , je ferais des comédies enjouées ; si je faisais des comédies enjouées, Votre Majesté en serait divertie, et si elle en était divertie, son argent ne serait pas perdu.
Page 85 - Je me disais tantôt César ; je suis Pompée : César vint, vit, vainquit; et moi je suis venu, Je n'ai rien vu, l'on m'a battu, puis mis à nu. O noir amour ! LE COMMANDEUR. Ma foi ! ce fou me fait bien rire.
Page 34 - Foucaral peut-il, en vertu de sa mine, D'un esprit sans pareil et d'un corps sans égal, Multiplier par vous le nom de Foucaral ? MARINE. Le nom de Foucaral? qui, moi? laquais immonde, Assez de Foucarals sans moi sont dans le monde.
Page 75 - J'en veux dulcifier mon amoureux souci. FOUCARAL. Et si le commandeur entend votre musique? D. JAPHET. Foucaral, ta raison est assez énergique : Mais aussi j'irai perdre un ducat avancé ! FOUCARAL.
Page 6 - ... de descendre, Noé, qui sur les eaux fit flotter sa maison, Quand tout le genre humain but plus que de raison. Vous voyez qu'il n'est rien de plus net que ma race, Et qu'un cristal auprès paraîtrait plein de crasse. C'est de son second fils que je suis dérivé : Son sang, de père en fils jusqu'à moi conservé, Me rend en ce bas monde à moi seul comparable. L'empereur...
Page 78 - Irère alors qu'il le voudra ; Vous , seigneur don Louis , alors que l'on pourra , De vous couper la gorge avec don Juan même. D. LOUIS. Quant à moi , je ne puis , sans une peine extrême , Prendre ou donner parole à des gens comme toi. D. JUAN. Sachez que don Juan n'est pas autre que moi , Si ce n'est que bientôt don Juan vous assomme ; Vous savez si je suis ou puis être votre homme. D.
Page 101 - Mon crime est mon amour ; Je serai trop heureux quand je perdrai le jour. LE COMMANDEUR. Tu n'es qu'un imposteur. D. ALPHONSE. Je suis un misérable. LE COMMANDEUR. Et mon infâme nièce...