Notices et portraits, historiques et littéraires, Volume 1 |
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... devait trouver sa gloire ; mais il eut le singulier courage d'y renoncer pour se livrer à des travaux arides et obscurs pendant les plus belles et les plus fécondes années de la jeunesse . Il retint son ardeur à l'aide de cette volonté ...
... devait trouver sa gloire ; mais il eut le singulier courage d'y renoncer pour se livrer à des travaux arides et obscurs pendant les plus belles et les plus fécondes années de la jeunesse . Il retint son ardeur à l'aide de cette volonté ...
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... devaient assurer sa modeste indépendance . « Je suis , disait - il spirituellement à un ami qui lui re- prochait d ... devait couvrir sa fière indépendance , il partit pour Paris avec des tra- vaux préparés , des habitudes faites , une ...
... devaient assurer sa modeste indépendance . « Je suis , disait - il spirituellement à un ami qui lui re- prochait d ... devait couvrir sa fière indépendance , il partit pour Paris avec des tra- vaux préparés , des habitudes faites , une ...
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... devait à cette école d'être restée pure , l'esprit na- tional de conserver sa simplicité et sa grâce . Au point où elle était parvenue , elle avait comme épuisé les sujets que l'antiquité a fournis à toutes les na- tions , les belles ...
... devait à cette école d'être restée pure , l'esprit na- tional de conserver sa simplicité et sa grâce . Au point où elle était parvenue , elle avait comme épuisé les sujets que l'antiquité a fournis à toutes les na- tions , les belles ...
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... devait être arrêtée par la mort . Au calme de l'homme de bien se joignaient les satisfactions du citoyen qui croyait sa patrie parve- nue enfin au terme de ses épreuves , et les espé- rances de l'esprit étendu qui sentait marcher son ...
... devait être arrêtée par la mort . Au calme de l'homme de bien se joignaient les satisfactions du citoyen qui croyait sa patrie parve- nue enfin au terme de ses épreuves , et les espé- rances de l'esprit étendu qui sentait marcher son ...
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... devait naître dans le pays où la bienveillance des sentiments et la politesse des ha- bitudes commandaient de juger en louant , a donné des modèles exquis . Vous les avez étudiés sans les imiter , et vous venez d'apprécier avec goût ces ...
... devait naître dans le pays où la bienveillance des sentiments et la politesse des ha- bitudes commandaient de juger en louant , a donné des modèles exquis . Vous les avez étudiés sans les imiter , et vous venez d'apprécier avec goût ces ...
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Notices et portraits, historiques et littéraires, Volume 1 Mignet (M., François-Auguste-Marie-Alexis) Affichage du livre entier - 1854 |
Notices et portraits historiques et littéraires, Volume 1 François-Auguste Mignet Affichage du livre entier - 1854 |
Notices et portraits, historiques et littéraires, Volume 1 Mignet (M., François-Auguste-Marie-Alexis) Affichage du livre entier - 1854 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 300 - Il proposa ensuite la dissolution de cette puissante commune qui avait dominé les gouvernements et les assemblées, et qui fut décomposée en douze commissions séparées et indépendantes les unes des autres. Mais ce qui était plus difficile, c'était de fermer la société des Jacobins, dans laquelle se conservaient les maximes et les regrets du régime détruit, et dont les séances provoquaient dans Paris une guerre journalière. Les trois comités de salut public, de sûreté générale et...
Page 74 - Nous avons trois questions à nous faire : 1* Qu'est-ce que le tiers état ? — Tout. 2° Qu'at-il été jusqu'à présent dans l'ordre politique? — Rien. 3° Que demande-t-il ? — A y devenir quelque chose.
Page 83 - Je l'ai pressé, conjuré, supplié au nom de l'amitié dont il m'honore, au nom de l'amour de la patrie, ce sentiment bien autrement énergique et sacré de nous doter de ses idées , de ne pas laisser cette lacune dans la constitution : il m'a refusé, je vous le dénonce. Je vous conjure , à mon tour , d'obtenir son avis, qui ne doit pas être un secret; d'arracher enfin au découragement un homme dont je regarde le silence et l'inaction comme une calamité publique.
Page 63 - ... doit être fort obligé à un homme tel que lui, quand il veut bien, pour l'utilité publique, faire quelque chose qui ne soit pas de génie.
Page 82 - ... ouvrage , que l'homme qui a révélé au monde les véritables principes du gouvernement représentatif, se condamnant lui-même à un silence que je déplore , que je trouve coupable , à quelque point que ses immenses services...
Page 80 - Arrête que tous les membres de cette assemblée prêteront, à l'instant, serment solennel de ne jamais se séparer, et de se rassembler partout où les circonstances l'exigeront, jusqu'à ce que la constitution du royaume soit établie et affermie sur des fondements solides ; et que, ledit serment étant prêté, tous les membres, et chacun d'eux en particulier, confirmeront par leur signature cette résolution inébranlable.
Page 293 - ... l'ordre commun. Le comité décida, dès lors, que les premiers et les seconds devaient être abolis sans indemnité, parce qu'ils provenaient de l'usurpation et de la violence, en faveur desquelles le temps ne saurait amener la prescription, selon la belle maxime de Sieyès...
Page 185 - C'est à cette grande école que M. de Talleyrand s'instruisit dans l'art de pénétrer les hommes, de juger les circonstances , de saisir les à-propos , de s'aider du temps sans le devancer , de se servir des volontés sans les contraindre.
Page 374 - C'était M. de Tracy qui, dans ce costume, et à l'âge de soixante-seize ans, s'engagea avec une curiosité patriotique et périlleuse au milieu des barricades de 1830. M. de Tracy a eu beaucoup d'amis qu'il savait choisir et garder : il n'en a jamais perdu aucun que par la mort. Il se plaisait avec les jeunes gens, et ceux qui donnaient des espérances par leurs talents rencontraient le solide appui de ses conseils et de son attachement. Il pratiquait sa philosophie, et très-peu de...