Notices et portraits, historiques et littéraires, Volume 1 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 13
Page 250
... maladies par genres , espèces , variétés , comme on classait les animaux ou les plantes , et il l'avait fait bien plus d'après leurs symptômes que d'après leur nature . Tout en cherchant à localiser les fièvres , ainsi que le démon ...
... maladies par genres , espèces , variétés , comme on classait les animaux ou les plantes , et il l'avait fait bien plus d'après leurs symptômes que d'après leur nature . Tout en cherchant à localiser les fièvres , ainsi que le démon ...
Page 251
... maladies essentielles soutenues dans leur réalité et augmentées dans leur nombre par celui - là même qui se prononcera exclusivement plus tard pour les maladies locales ; il faut y apercevoir déjà l'esprit pénétrant et hardi qui a ...
... maladies essentielles soutenues dans leur réalité et augmentées dans leur nombre par celui - là même qui se prononcera exclusivement plus tard pour les maladies locales ; il faut y apercevoir déjà l'esprit pénétrant et hardi qui a ...
Page 253
... maladies chroniques d'une ma- nière toute particulière . Lorsque je voulus chercher un guide parmi les auteurs les plus illustres et aux- quels la médecine confesse devoir ses plus grands progrès , je ne trouvai que confusion ; tout n ...
... maladies chroniques d'une ma- nière toute particulière . Lorsque je voulus chercher un guide parmi les auteurs les plus illustres et aux- quels la médecine confesse devoir ses plus grands progrès , je ne trouvai que confusion ; tout n ...
Page 254
... maladies chroniques étaient le résultat d'une inflammation aiguë mal guérie . L'inflammation devint pour lui le point de départ de la maladie . Il décrivit savam- ment la marche de cette stimulation excessive , qui appelait le sang en ...
... maladies chroniques étaient le résultat d'une inflammation aiguë mal guérie . L'inflammation devint pour lui le point de départ de la maladie . Il décrivit savam- ment la marche de cette stimulation excessive , qui appelait le sang en ...
Page 255
... maladies dont on plaçait le théâtre ailleurs , ou que l'on considérait comme générales . Il remplit une lacune dans la médecine , et il le fit avec tant de sûreté et de mesure , qu'en lisant ce bel ouvrage , on ne sait ce qu'il faut ...
... maladies dont on plaçait le théâtre ailleurs , ou que l'on considérait comme générales . Il remplit une lacune dans la médecine , et il le fit avec tant de sûreté et de mesure , qu'en lisant ce bel ouvrage , on ne sait ce qu'il faut ...
Autres éditions - Tout afficher
Notices et portraits, historiques et littéraires, Volume 1 Mignet (M., François-Auguste-Marie-Alexis) Affichage du livre entier - 1854 |
Notices et portraits historiques et littéraires, Volume 1 François-Auguste Mignet Affichage du livre entier - 1854 |
Notices et portraits, historiques et littéraires, Volume 1 Mignet (M., François-Auguste-Marie-Alexis) Affichage du livre entier - 1854 |
Expressions et termes fréquents
admirable assemblées avaient avez besoin bientôt Broussais célèbre cerveau choses citoyens civile clergé code comité Condillac conseil Convention corps Daunou députés devait devint Directoire doctrine école Égypte esprit établir États Généraux États-Unis fonder force forme François Ier général généreux gloire gouvernement guerre habile hommes humain idées jour justice l'Académie des sciences l'Angleterre l'Assemblée constituante l'Autriche l'avait l'empereur l'Empire l'esprit l'État l'Europe l'histoire l'homme l'intelligence l'un lative législation liberté Livingston lois Louis XVI Louisiane maladies membres ment Merlin Michaud modération monarchie monde Montesquieu MORALES ET POLITIQUES mort n'avait Napoléon nation nationale noble nommé Nouvelle-Orléans organes parole passé passions pays pensée peuple philosophie pouvait premier consul principes prison des Carmes prit Prusse publique puissance Raynouard réforme république reste Révolution Roederer s'était savant sciences morales sentiments seul siècle Sieyès sions social société sorte système talent Talleyrand tard teur théorie Tiers État tion Tracy traités de Bâle travaux vaste volonté
Fréquemment cités
Page 300 - Il proposa ensuite la dissolution de cette puissante commune qui avait dominé les gouvernements et les assemblées, et qui fut décomposée en douze commissions séparées et indépendantes les unes des autres. Mais ce qui était plus difficile, c'était de fermer la société des Jacobins, dans laquelle se conservaient les maximes et les regrets du régime détruit, et dont les séances provoquaient dans Paris une guerre journalière. Les trois comités de salut public, de sûreté générale et...
Page 74 - Nous avons trois questions à nous faire : 1* Qu'est-ce que le tiers état ? — Tout. 2° Qu'at-il été jusqu'à présent dans l'ordre politique? — Rien. 3° Que demande-t-il ? — A y devenir quelque chose.
Page 83 - Je l'ai pressé, conjuré, supplié au nom de l'amitié dont il m'honore, au nom de l'amour de la patrie, ce sentiment bien autrement énergique et sacré de nous doter de ses idées , de ne pas laisser cette lacune dans la constitution : il m'a refusé, je vous le dénonce. Je vous conjure , à mon tour , d'obtenir son avis, qui ne doit pas être un secret; d'arracher enfin au découragement un homme dont je regarde le silence et l'inaction comme une calamité publique.
Page 63 - ... doit être fort obligé à un homme tel que lui, quand il veut bien, pour l'utilité publique, faire quelque chose qui ne soit pas de génie.
Page 82 - ... ouvrage , que l'homme qui a révélé au monde les véritables principes du gouvernement représentatif, se condamnant lui-même à un silence que je déplore , que je trouve coupable , à quelque point que ses immenses services...
Page 80 - Arrête que tous les membres de cette assemblée prêteront, à l'instant, serment solennel de ne jamais se séparer, et de se rassembler partout où les circonstances l'exigeront, jusqu'à ce que la constitution du royaume soit établie et affermie sur des fondements solides ; et que, ledit serment étant prêté, tous les membres, et chacun d'eux en particulier, confirmeront par leur signature cette résolution inébranlable.
Page 293 - ... l'ordre commun. Le comité décida, dès lors, que les premiers et les seconds devaient être abolis sans indemnité, parce qu'ils provenaient de l'usurpation et de la violence, en faveur desquelles le temps ne saurait amener la prescription, selon la belle maxime de Sieyès...
Page 185 - C'est à cette grande école que M. de Talleyrand s'instruisit dans l'art de pénétrer les hommes, de juger les circonstances , de saisir les à-propos , de s'aider du temps sans le devancer , de se servir des volontés sans les contraindre.
Page 374 - C'était M. de Tracy qui, dans ce costume, et à l'âge de soixante-seize ans, s'engagea avec une curiosité patriotique et périlleuse au milieu des barricades de 1830. M. de Tracy a eu beaucoup d'amis qu'il savait choisir et garder : il n'en a jamais perdu aucun que par la mort. Il se plaisait avec les jeunes gens, et ceux qui donnaient des espérances par leurs talents rencontraient le solide appui de ses conseils et de son attachement. Il pratiquait sa philosophie, et très-peu de...