Madame la marquise de Pompadour |
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Madame la marquise de Pompadour Jean Baptiste Honoré Raymond CAPEFIGUE Affichage du livre entier - 1860 |
Madame la marquise de Pompadour Capefigue (M., Jean Baptiste Honoré Raymond) Affichage du livre entier - 1858 |
Madame la marquise de Pompadour Jean-Baptiste Honoré Raymond Capefigue Affichage du livre entier - 1860 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 194 - L'esprit que j'ai est un moule , on n'en tire jamais que les mêmes portraits : ainsi je ne vous dirais que ce que j'ai dit , et peutêtre plus mal que je ne l'ai dit.
Page 48 - Tournay foudroyant les murailles , II suspend les assauts pour courir aux batailles ; Quand , des bras de l'hymen s'élançant au trépas , Son fils , son digne fils , suit de si près ses pas ; Vous , heureux par ses lois et grands par sa vaillance . Français , vous garderiez un indigne silence ! Venez le contempler aux champs de Fontenoy.
Page 127 - Sous un monarque entre deux draps plaça. Sa vive allure est un vrai port de reine, Ses yeux fripons s'arment de majesté, Sa voix a pris le ton de souveraine, Et sur son rang son esprit s'est monté.
Page 197 - De Jésus la naissance • Fit grand bruit à la cour : Louis en diligence Fut trouver Pompadour : « Allons voir cet enfant, lui dit-il, ma mignonne, — Eh! non, dit la marquise au roi, Qu'on l'apporte tantôt chez moi :% Je ne vais voir personne.
Page 53 - J'avais mille ennemis avec très peu de gloire; Les honneurs et les biens pleuvent enfin sur moi Pour une farce de la foire.
Page 124 - L'Amour, entouré de ris, Jouoit avec la pomme accordée à sa mère Par l'équitable Pâris. Sa main folâtre et légère La jetoit, l'attrapoit, la rejetoit en l'air, Quand tout à coup l'oiseau qui porte le tonnerre S'élance, la saisit et fuit comme un éclair. L'Amour, désespéré, parcourt toute la terre; Vénus ne le verra jamais Qu'il n'ait trouvé le prix qu'obtiurent ses attraits.
Page 65 - Ainsi donc vous réunissez Tous les arts, tous les goûts, tous les talents de plaire; Pompadour, vous embellissez La Cour, le Parnasse et Cythère. Charme de tous les cœurs, trésor d'un seul mortel, Qu'un sort si beau soit éternel ! Que vos jours précieux soient marqués par des fêtes; Que la paix dans nos champs revienne avec Louis! Soyez tous deux sans ennemis, Et tous deux gardez vos conquêtes.
Page 124 - L'aigle, planant sur nos rivages, L'avait laissé tomber dans ces riants bocages Où nos rois ont fixé leur cour. Un héros parcourant cet auguste séjour La voit, la prend; il lit ces mots : A la plus belle! « Cette pomme, dit-il, regarde Pompadour; » II la lui porte devant elle; A l'instant se montre l'Amour.
Page 65 - Ainsi donc vous réunissez Tous les arts , tous les goûts , tous les talents de plaire : Pompadour, vous embellissez La cour, le Parnasse, et Cythère. Charme de tous les cœurs , trésor d'un seul mortel , Qu'un sort, si beau soit éternel ! Que vos jours précieux soient marqués par des fêtes ; Que la paix dans nos champs revienne avec Louis!
Page 6 - Tiens, serre ma pipe, Garde mon briquet ; Et si la Tulipe Fait le noir trajet, Que tu sois la seule, Dans le régiment, Qu'ait le brûle-gueule De son cher amant.