Histoire de la littérature dramatique, Volume 4Michel Lévy frères, 1854 |
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... disait de Socrate , et il en tirail , à sa volonté , tout ce qui se pouvait tirer de ce siècle éclatant de lumières ! S'il était fou à ses heures , il aimait le bon sens chez les autres ; si parfois il s'emportait au delà de toutes les ...
... disait de Socrate , et il en tirail , à sa volonté , tout ce qui se pouvait tirer de ce siècle éclatant de lumières ! S'il était fou à ses heures , il aimait le bon sens chez les autres ; si parfois il s'emportait au delà de toutes les ...
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... disait comme le roi de Prusse : « Mon éloge , messieurs , c'est la terreur de mes voi- sins ! » et sa devise était : Sans quartier ! L'instant d'après , fallait - il sourire au talent naissant et saluer , le premier , un chef- d'œuvre ...
... disait comme le roi de Prusse : « Mon éloge , messieurs , c'est la terreur de mes voi- sins ! » et sa devise était : Sans quartier ! L'instant d'après , fallait - il sourire au talent naissant et saluer , le premier , un chef- d'œuvre ...
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... disait - il , que le sage soit en évidence , comme l'athlète en l'arène ! Aussi chacun l'approchait et l'écoutait ! Ah ! grand frère ! Il disait de lui - même : « Je suis un homme naturel ! » Et plus loin , naïvement , il ajoutait ...
... disait - il , que le sage soit en évidence , comme l'athlète en l'arène ! Aussi chacun l'approchait et l'écoutait ! Ah ! grand frère ! Il disait de lui - même : « Je suis un homme naturel ! » Et plus loin , naïvement , il ajoutait ...
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... contenus ces trois champions Molière , Voltaire et Diderot ! Le triple faisceau , funi- culus triplex , que nulle force humaine ne saurait briser ! - Il me « Pardon Messieurs ! disait Lamothe - 6 LITTÉRATURE DRAMATIQUE .
... contenus ces trois champions Molière , Voltaire et Diderot ! Le triple faisceau , funi- culus triplex , que nulle force humaine ne saurait briser ! - Il me « Pardon Messieurs ! disait Lamothe - 6 LITTÉRATURE DRAMATIQUE .
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Jules Janin. - Il me « Pardon Messieurs ! disait Lamothe - Houdard à son auditoire , je m'aperçois que j'imite un peu trop Pindare ! >> semble , à moi , que j'imite un peu trop Diderot , parlons plus sim- plement , et revenons au Père de ...
Jules Janin. - Il me « Pardon Messieurs ! disait Lamothe - Houdard à son auditoire , je m'aperçois que j'imite un peu trop Pindare ! >> semble , à moi , que j'imite un peu trop Diderot , parlons plus sim- plement , et revenons au Père de ...
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Expressions et termes fréquents
acte admirable aimait âme amoureux beau beauté belle c'était Casimir Delavigne chanson chante charmant Chépy chose ciel cœur comédie comédien Corneille coup courtisane Crancey d'Hernani Dame aux Camélias diable Diderot Dieu dire disait docteur Faust dramatique drame duel élégante enfant esprit eût Faust femme fête fille de marbre fortune Frédérick Lemaître gens Gil Blas gloire Goethe Hardouin Hélas héros heure heureux honnête honte jeune homme jeunesse joie jour l'amour l'art l'heure laisse Lamartine larmes livre lui-même madame mademoiselle mademoiselle Mars main maison maître malheureux Marion Delorme misère Molière monde monsieur mort Népomucène Lemercier Neveu de Rameau parler passé passions pauvre peine petite pieds Piron pitié Pixérécourt plaisir plein pleure poëme poésie poëte poétique premier prince royal reine Rétif rêve rien rire roman Ruy-Blas Sage savait scène Sedaine seul siècle sourire terrible tête théâtre tragédie vaudeville vice Victor Ducange Victor Hugo Vidocq vieux voilà Voltaire vrai Werther
Fréquemment cités
Page 337 - Ceux que vous oubliez ne vous oublieront pas. * Car vous êtes pour nous l'ombre de l'amour même, Vous êtes l'oasis qu'on rencontre en chemin! Vous êtes, ô vallon, la retraite suprême Où nous avons pleuré nous tenant par la main! "Toutes les passions s'éloignent avec l'âge, L'une emportant son masque et l'autre son couteau, Comme un essaim chantant d'histrions en voyage Dont le groupe décroît derrière le coteau.
Page 276 - II faut fléchir au temps sans obstination, Et c'est une folie à nulle autre seconde De vouloir se mêler de corriger le monde.
Page 276 - Et je suis, quelque ardeur qu'elle m'ait pu donner, Le premier à les voir, comme à les condamner. Mais, avec tout cela...
Page 324 - Toute ma vie l'Orient avait été le rêve de mes jours de ténèbres dans les brumes d'automne et d'hiver de ma vallée natale. Mon corps, comme mon âme, est fils du soleil; il lui faut la lumière; il lui faut ce rayon de vie que cet astre darde, non pas du sein déchiré de nos nuages d'Occident, mais du...
Page 323 - ... l'automne , Vallons que tapissait le givre du matin, Saules dont l'émondeur effeuillait la couronne, Vieilles tours que le soir dorait dans le lointain, Murs noircis par les ans, coteaux, sentier rapide, Fontaine où les pasteurs accroupis tour à tour Attendaient goutte à goutte une eau rare et limpide, Et, leur urne à la main, s'entretenaient du jour, Chaumière où du foyer étincelait la flamme...
Page 323 - Montagnes que voilait le brouillard de l'automne, Vallons que tapissait le givre du matin, Saules dont l'émondeur effeuillait la couronne, Vieilles tours que le soir dorait dans le lointain, Murs noircis par les ans, coteaux, sentier rapide, Fontaine où les pasteurs accroupis tour à tour Attendaient goutte à goutte une eau rare et limpide, Et, leur urne à la main, s'entretenaient du jour, Chaumière...
Page 333 - Tu converseras doucement et honnestement avecque les poètes de ton temps; tu honoreras les plus vieux comme tes pères, tes pareils comme tes frères, les moindres comme tes enfants, et leur communiqueras tes escrits...
Page 351 - Ah ! c'est un beau spectacle à ravir la pensée Que l'Europe ainsi faite et comme il l'a laissée! Un édifice, avec deux hommes au sommet, Deux chefs élus auxquels tout roi né se soumet...
Page 10 - Derrière le Commandeur, un peu plus près du feu, Germeuil est assis négligemment dans un fauteuil, un livre à la main. Il en interrompt de temps en temps la lecture pour regarder tendrement Cécile, dans les moments où elle est occupée de son jeu, et où il ne peut en être aperçu.
Page 337 - Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ; Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie : Emportez-moi comme elle, orageux aquilons ! 31.