Histoire de la littérature dramatique, Volume 4Michel Lévy frères, 1854 |
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... mère qui se meurt pour ses enfants qui se perdent , il se soit passé plus d'une tragédie ? - Il est vrai ! cela aussi est facile à comprendre , qu'on ait fait autrefois , des larmes et des douleurs , le partage exclusif des maîtres du ...
... mère qui se meurt pour ses enfants qui se perdent , il se soit passé plus d'une tragédie ? - Il est vrai ! cela aussi est facile à comprendre , qu'on ait fait autrefois , des larmes et des douleurs , le partage exclusif des maîtres du ...
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... Mère coupable . Dans ces déclamations , le père de famille se montre un homme bon et faible . Tout à l'heure , à force de générosité , il n'avait pas d'argent pour payer ses ouvriers , et voici qu'au lieu d'aller voir Sophie chez elle ...
... Mère coupable . Dans ces déclamations , le père de famille se montre un homme bon et faible . Tout à l'heure , à force de générosité , il n'avait pas d'argent pour payer ses ouvriers , et voici qu'au lieu d'aller voir Sophie chez elle ...
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... mère d'un tout petit enfant pour qui elle implore vainement une pension . « Tout ce qu'il est possible de mettre de protection à mon affaire , je l'ai vainement employé : des princes , des ducs , des évêques , des prètres , des ...
... mère d'un tout petit enfant pour qui elle implore vainement une pension . « Tout ce qu'il est possible de mettre de protection à mon affaire , je l'ai vainement employé : des princes , des ducs , des évêques , des prètres , des ...
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... mère ! Combien de baisers nous nous sommes envoyés , ren- voyés , elle du fond de la voiture , et moi du dehors , tandis que sa mère dormait ! Combien de fois nos yeux et nos bras se sont élevés vers le ciel ! C'était autant de serments ...
... mère ! Combien de baisers nous nous sommes envoyés , ren- voyés , elle du fond de la voiture , et moi du dehors , tandis que sa mère dormait ! Combien de fois nos yeux et nos bras se sont élevés vers le ciel ! C'était autant de serments ...
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... mère qui jette des hauts cris . << Qui l'aurait cru ? Une enfant aussi timide et aussi innocente ? -- « Mères , pauvres mères , veillez bien sur vos enfants ! ... Mais Crancey veut que je signe un dédit ; est - il fou ? Ce n'est plus à ...
... mère qui jette des hauts cris . << Qui l'aurait cru ? Une enfant aussi timide et aussi innocente ? -- « Mères , pauvres mères , veillez bien sur vos enfants ! ... Mais Crancey veut que je signe un dédit ; est - il fou ? Ce n'est plus à ...
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Expressions et termes fréquents
acte admirable aimait âme amoureux beau beauté belle c'était Casimir Delavigne chanson chante charmant Chépy chose ciel cœur comédie comédien Corneille coup courtisane Crancey d'Hernani Dame aux Camélias diable Diderot Dieu dire disait docteur Faust dramatique drame duel élégante enfant esprit eût Faust femme fête fille de marbre fortune Frédérick Lemaître gens Gil Blas gloire Goethe Hardouin Hélas héros heure heureux honnête honte jeune homme jeunesse joie jour l'amour l'art l'heure laisse Lamartine larmes livre lui-même madame mademoiselle mademoiselle Mars main maison maître malheureux Marion Delorme misère Molière monde monsieur mort Népomucène Lemercier Neveu de Rameau parler passé passions pauvre peine petite pieds Piron pitié Pixérécourt plaisir plein pleure poëme poésie poëte poétique premier prince royal reine Rétif rêve rien rire roman Ruy-Blas Sage savait scène Sedaine seul siècle sourire terrible tête théâtre tragédie vaudeville vice Victor Ducange Victor Hugo Vidocq vieux voilà Voltaire vrai Werther
Fréquemment cités
Page 337 - Ceux que vous oubliez ne vous oublieront pas. * Car vous êtes pour nous l'ombre de l'amour même, Vous êtes l'oasis qu'on rencontre en chemin! Vous êtes, ô vallon, la retraite suprême Où nous avons pleuré nous tenant par la main! "Toutes les passions s'éloignent avec l'âge, L'une emportant son masque et l'autre son couteau, Comme un essaim chantant d'histrions en voyage Dont le groupe décroît derrière le coteau.
Page 276 - II faut fléchir au temps sans obstination, Et c'est une folie à nulle autre seconde De vouloir se mêler de corriger le monde.
Page 276 - Et je suis, quelque ardeur qu'elle m'ait pu donner, Le premier à les voir, comme à les condamner. Mais, avec tout cela...
Page 324 - Toute ma vie l'Orient avait été le rêve de mes jours de ténèbres dans les brumes d'automne et d'hiver de ma vallée natale. Mon corps, comme mon âme, est fils du soleil; il lui faut la lumière; il lui faut ce rayon de vie que cet astre darde, non pas du sein déchiré de nos nuages d'Occident, mais du...
Page 323 - ... l'automne , Vallons que tapissait le givre du matin, Saules dont l'émondeur effeuillait la couronne, Vieilles tours que le soir dorait dans le lointain, Murs noircis par les ans, coteaux, sentier rapide, Fontaine où les pasteurs accroupis tour à tour Attendaient goutte à goutte une eau rare et limpide, Et, leur urne à la main, s'entretenaient du jour, Chaumière où du foyer étincelait la flamme...
Page 323 - Montagnes que voilait le brouillard de l'automne, Vallons que tapissait le givre du matin, Saules dont l'émondeur effeuillait la couronne, Vieilles tours que le soir dorait dans le lointain, Murs noircis par les ans, coteaux, sentier rapide, Fontaine où les pasteurs accroupis tour à tour Attendaient goutte à goutte une eau rare et limpide, Et, leur urne à la main, s'entretenaient du jour, Chaumière...
Page 333 - Tu converseras doucement et honnestement avecque les poètes de ton temps; tu honoreras les plus vieux comme tes pères, tes pareils comme tes frères, les moindres comme tes enfants, et leur communiqueras tes escrits...
Page 351 - Ah ! c'est un beau spectacle à ravir la pensée Que l'Europe ainsi faite et comme il l'a laissée! Un édifice, avec deux hommes au sommet, Deux chefs élus auxquels tout roi né se soumet...
Page 10 - Derrière le Commandeur, un peu plus près du feu, Germeuil est assis négligemment dans un fauteuil, un livre à la main. Il en interrompt de temps en temps la lecture pour regarder tendrement Cécile, dans les moments où elle est occupée de son jeu, et où il ne peut en être aperçu.
Page 337 - Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ; Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie : Emportez-moi comme elle, orageux aquilons ! 31.