Histoire de la littérature dramatique, Volume 4Michel Lévy frères, 1854 |
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... siècle éclatant de lumières ! S'il était fou à ses heures , il aimait le bon sens chez les autres ; si parfois il s'emportait au delà de toutes les limites , il aimait sur- tout à s'adresser à des gens calmes , et par conséquent tout ...
... siècle éclatant de lumières ! S'il était fou à ses heures , il aimait le bon sens chez les autres ; si parfois il s'emportait au delà de toutes les limites , il aimait sur- tout à s'adresser à des gens calmes , et par conséquent tout ...
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... siècle , lorsque Diderot eut enseigné au bourgeois qu'il n'était pas seulement fait pour le ridicule et pour l'éclat de rire , qu'il était fait encore pour les douleurs , et qu'il avait droit tout d'abord , à cette égalité de la douleur ...
... siècle , lorsque Diderot eut enseigné au bourgeois qu'il n'était pas seulement fait pour le ridicule et pour l'éclat de rire , qu'il était fait encore pour les douleurs , et qu'il avait droit tout d'abord , à cette égalité de la douleur ...
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... siècle , quand pour la première fois on se sentit ému et intéressé dans une salle de compagnie . Tartufe , il est vrai , est un drame terrible et plein d'intérêt , qui se passe aussi dans une salle de compagnie ; mais Tartufe , chose ...
... siècle , quand pour la première fois on se sentit ému et intéressé dans une salle de compagnie . Tartufe , il est vrai , est un drame terrible et plein d'intérêt , qui se passe aussi dans une salle de compagnie ; mais Tartufe , chose ...
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... siècle passé . D'ailleurs à quoi bon démontrer que Diderot savait faire ou ne savait pas faire un drame ? A peine s'il se doute à quel labeur il s'est condamné quand il entreprend cette œuvre énorme ; il se ser- vait du théâtre comme il ...
... siècle passé . D'ailleurs à quoi bon démontrer que Diderot savait faire ou ne savait pas faire un drame ? A peine s'il se doute à quel labeur il s'est condamné quand il entreprend cette œuvre énorme ; il se ser- vait du théâtre comme il ...
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... siècle . Prodigue de son temps et de ses loisirs , d'un accès facile , toujours à la disposition du premier venu , voilà comme il s'est peint dans sa comédie ! Acceptons - le tout simplement , comme il se présente à son peuple , et ne ...
... siècle . Prodigue de son temps et de ses loisirs , d'un accès facile , toujours à la disposition du premier venu , voilà comme il s'est peint dans sa comédie ! Acceptons - le tout simplement , comme il se présente à son peuple , et ne ...
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 337 - Ceux que vous oubliez ne vous oublieront pas. * Car vous êtes pour nous l'ombre de l'amour même, Vous êtes l'oasis qu'on rencontre en chemin! Vous êtes, ô vallon, la retraite suprême Où nous avons pleuré nous tenant par la main! "Toutes les passions s'éloignent avec l'âge, L'une emportant son masque et l'autre son couteau, Comme un essaim chantant d'histrions en voyage Dont le groupe décroît derrière le coteau.
Page 276 - II faut fléchir au temps sans obstination, Et c'est une folie à nulle autre seconde De vouloir se mêler de corriger le monde.
Page 276 - Et je suis, quelque ardeur qu'elle m'ait pu donner, Le premier à les voir, comme à les condamner. Mais, avec tout cela...
Page 324 - Toute ma vie l'Orient avait été le rêve de mes jours de ténèbres dans les brumes d'automne et d'hiver de ma vallée natale. Mon corps, comme mon âme, est fils du soleil; il lui faut la lumière; il lui faut ce rayon de vie que cet astre darde, non pas du sein déchiré de nos nuages d'Occident, mais du...
Page 323 - ... l'automne , Vallons que tapissait le givre du matin, Saules dont l'émondeur effeuillait la couronne, Vieilles tours que le soir dorait dans le lointain, Murs noircis par les ans, coteaux, sentier rapide, Fontaine où les pasteurs accroupis tour à tour Attendaient goutte à goutte une eau rare et limpide, Et, leur urne à la main, s'entretenaient du jour, Chaumière où du foyer étincelait la flamme...
Page 323 - Montagnes que voilait le brouillard de l'automne, Vallons que tapissait le givre du matin, Saules dont l'émondeur effeuillait la couronne, Vieilles tours que le soir dorait dans le lointain, Murs noircis par les ans, coteaux, sentier rapide, Fontaine où les pasteurs accroupis tour à tour Attendaient goutte à goutte une eau rare et limpide, Et, leur urne à la main, s'entretenaient du jour, Chaumière...
Page 333 - Tu converseras doucement et honnestement avecque les poètes de ton temps; tu honoreras les plus vieux comme tes pères, tes pareils comme tes frères, les moindres comme tes enfants, et leur communiqueras tes escrits...
Page 351 - Ah ! c'est un beau spectacle à ravir la pensée Que l'Europe ainsi faite et comme il l'a laissée! Un édifice, avec deux hommes au sommet, Deux chefs élus auxquels tout roi né se soumet...
Page 10 - Derrière le Commandeur, un peu plus près du feu, Germeuil est assis négligemment dans un fauteuil, un livre à la main. Il en interrompt de temps en temps la lecture pour regarder tendrement Cécile, dans les moments où elle est occupée de son jeu, et où il ne peut en être aperçu.
Page 337 - Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ; Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie : Emportez-moi comme elle, orageux aquilons ! 31.