Histoire de la littérature dramatique, Volume 4Michel Lévy frères, 1854 |
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... toucher sa corde favorite , aussitôt le voilà parti ; tout d'une ha- leine , à travers toutes sortes d'obstacles et de dangers , il allait frappant à grands coups de sa massue , et frappant comme un sourd à droite , à gauche , et sur ...
... toucher sa corde favorite , aussitôt le voilà parti ; tout d'une ha- leine , à travers toutes sortes d'obstacles et de dangers , il allait frappant à grands coups de sa massue , et frappant comme un sourd à droite , à gauche , et sur ...
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... toucher . » > < - Entre la Bastille et le château de Vincennes , il était semblable à cet esclave de Sparte qui voulait bien obéir en toutes les choses honorables , et qui se brisa la tête contre un mur , plutôt que de porter un vase d ...
... toucher . » > < - Entre la Bastille et le château de Vincennes , il était semblable à cet esclave de Sparte qui voulait bien obéir en toutes les choses honorables , et qui se brisa la tête contre un mur , plutôt que de porter un vase d ...
Page 41
... toucher . Comment donc , vous voudriez prendre une baleine avec l'hameçon qui vous sert à prendre une ablette ! Piscis non hic est omnium . Il n'appartient pas à tous les esprits de se mêler à ces joutes sombres , de des- cendre en ces ...
... toucher . Comment donc , vous voudriez prendre une baleine avec l'hameçon qui vous sert à prendre une ablette ! Piscis non hic est omnium . Il n'appartient pas à tous les esprits de se mêler à ces joutes sombres , de des- cendre en ces ...
Page 82
... toucher à Marguerite , je ne veux pas toucher au chef - d'œuvre ; il faut avouer cependant qu'entre Mar- guerite et le docteur Faust , le diable est de trop ; on n'a que faire « de sa présence réelle , » on le devine quand on ne le voit ...
... toucher à Marguerite , je ne veux pas toucher au chef - d'œuvre ; il faut avouer cependant qu'entre Mar- guerite et le docteur Faust , le diable est de trop ; on n'a que faire « de sa présence réelle , » on le devine quand on ne le voit ...
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... Toucher à la finance , ô Jupiter ! était - ce possible ? Ces messieurs , mais en vain , employèrent toutes leurs forces pour échapper à cette galère , ils ne furent pas plus heu- reux dans leurs gabelles , que Tartufe en sa sacristie ...
... Toucher à la finance , ô Jupiter ! était - ce possible ? Ces messieurs , mais en vain , employèrent toutes leurs forces pour échapper à cette galère , ils ne furent pas plus heu- reux dans leurs gabelles , que Tartufe en sa sacristie ...
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 337 - Ceux que vous oubliez ne vous oublieront pas. * Car vous êtes pour nous l'ombre de l'amour même, Vous êtes l'oasis qu'on rencontre en chemin! Vous êtes, ô vallon, la retraite suprême Où nous avons pleuré nous tenant par la main! "Toutes les passions s'éloignent avec l'âge, L'une emportant son masque et l'autre son couteau, Comme un essaim chantant d'histrions en voyage Dont le groupe décroît derrière le coteau.
Page 276 - II faut fléchir au temps sans obstination, Et c'est une folie à nulle autre seconde De vouloir se mêler de corriger le monde.
Page 276 - Et je suis, quelque ardeur qu'elle m'ait pu donner, Le premier à les voir, comme à les condamner. Mais, avec tout cela...
Page 324 - Toute ma vie l'Orient avait été le rêve de mes jours de ténèbres dans les brumes d'automne et d'hiver de ma vallée natale. Mon corps, comme mon âme, est fils du soleil; il lui faut la lumière; il lui faut ce rayon de vie que cet astre darde, non pas du sein déchiré de nos nuages d'Occident, mais du...
Page 323 - ... l'automne , Vallons que tapissait le givre du matin, Saules dont l'émondeur effeuillait la couronne, Vieilles tours que le soir dorait dans le lointain, Murs noircis par les ans, coteaux, sentier rapide, Fontaine où les pasteurs accroupis tour à tour Attendaient goutte à goutte une eau rare et limpide, Et, leur urne à la main, s'entretenaient du jour, Chaumière où du foyer étincelait la flamme...
Page 323 - Montagnes que voilait le brouillard de l'automne, Vallons que tapissait le givre du matin, Saules dont l'émondeur effeuillait la couronne, Vieilles tours que le soir dorait dans le lointain, Murs noircis par les ans, coteaux, sentier rapide, Fontaine où les pasteurs accroupis tour à tour Attendaient goutte à goutte une eau rare et limpide, Et, leur urne à la main, s'entretenaient du jour, Chaumière...
Page 333 - Tu converseras doucement et honnestement avecque les poètes de ton temps; tu honoreras les plus vieux comme tes pères, tes pareils comme tes frères, les moindres comme tes enfants, et leur communiqueras tes escrits...
Page 351 - Ah ! c'est un beau spectacle à ravir la pensée Que l'Europe ainsi faite et comme il l'a laissée! Un édifice, avec deux hommes au sommet, Deux chefs élus auxquels tout roi né se soumet...
Page 10 - Derrière le Commandeur, un peu plus près du feu, Germeuil est assis négligemment dans un fauteuil, un livre à la main. Il en interrompt de temps en temps la lecture pour regarder tendrement Cécile, dans les moments où elle est occupée de son jeu, et où il ne peut en être aperçu.
Page 337 - Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ; Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie : Emportez-moi comme elle, orageux aquilons ! 31.