Histoire de la littérature dramatique, Volume 4Michel Lévy frères, 1854 |
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... trouvé d'autre moyen pour faire comprendre les cruelles né- cessités de sa honte et pour sauver l'honneur de son goût , que de dire tout bas , en applaudissant tout haut : « Ah ! la mauvaise comédienne ! Ah ! que c'est bête ce qu'elle ...
... trouvé d'autre moyen pour faire comprendre les cruelles né- cessités de sa honte et pour sauver l'honneur de son goût , que de dire tout bas , en applaudissant tout haut : « Ah ! la mauvaise comédienne ! Ah ! que c'est bête ce qu'elle ...
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... trouvé , sans les chercher ... comme on trouve , une comédie , un drame , auxquels il a imprimé la grâce et le charme de son paisible et facile génie . Il a démontré le premier , par son exemple , que même dans un opéra - comique , il ...
... trouvé , sans les chercher ... comme on trouve , une comédie , un drame , auxquels il a imprimé la grâce et le charme de son paisible et facile génie . Il a démontré le premier , par son exemple , que même dans un opéra - comique , il ...
Page 52
... trouvé et • ne s'en serve ! Arlequin arrive avec sa valise , le machiniste ne le reconnaît pas , et le veut chasser du théâtre ; mais après quelques explications et quelques coups de latte : « Ah ! vous « êtes Arlequin ! dit le ...
... trouvé et • ne s'en serve ! Arlequin arrive avec sa valise , le machiniste ne le reconnaît pas , et le veut chasser du théâtre ; mais après quelques explications et quelques coups de latte : « Ah ! vous « êtes Arlequin ! dit le ...
Page 60
... trouver , ajoute la Correspondance , dans la réponse de M. Lemierre , de l'esprit et de l'originalité ; mais on y a encore trouvé infiniment de goût , de la grâce , peut - être même plus de douceur et d'harmonie qu'il n'en eut jamais ...
... trouver , ajoute la Correspondance , dans la réponse de M. Lemierre , de l'esprit et de l'originalité ; mais on y a encore trouvé infiniment de goût , de la grâce , peut - être même plus de douceur et d'harmonie qu'il n'en eut jamais ...
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... trouvé un seul passage qui ressemblât à ceci : « LE SORCIER : Je vais vous dire votre bonne aventure : je sais l'avenir , je vais vous dire le vôtre . « MARGOT : Ah ! monsieur , s'il y a du mal , ne me le dites pas ! « LE SORCIER : Je ...
... trouvé un seul passage qui ressemblât à ceci : « LE SORCIER : Je vais vous dire votre bonne aventure : je sais l'avenir , je vais vous dire le vôtre . « MARGOT : Ah ! monsieur , s'il y a du mal , ne me le dites pas ! « LE SORCIER : Je ...
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 337 - Ceux que vous oubliez ne vous oublieront pas. * Car vous êtes pour nous l'ombre de l'amour même, Vous êtes l'oasis qu'on rencontre en chemin! Vous êtes, ô vallon, la retraite suprême Où nous avons pleuré nous tenant par la main! "Toutes les passions s'éloignent avec l'âge, L'une emportant son masque et l'autre son couteau, Comme un essaim chantant d'histrions en voyage Dont le groupe décroît derrière le coteau.
Page 276 - II faut fléchir au temps sans obstination, Et c'est une folie à nulle autre seconde De vouloir se mêler de corriger le monde.
Page 276 - Et je suis, quelque ardeur qu'elle m'ait pu donner, Le premier à les voir, comme à les condamner. Mais, avec tout cela...
Page 324 - Toute ma vie l'Orient avait été le rêve de mes jours de ténèbres dans les brumes d'automne et d'hiver de ma vallée natale. Mon corps, comme mon âme, est fils du soleil; il lui faut la lumière; il lui faut ce rayon de vie que cet astre darde, non pas du sein déchiré de nos nuages d'Occident, mais du...
Page 323 - ... l'automne , Vallons que tapissait le givre du matin, Saules dont l'émondeur effeuillait la couronne, Vieilles tours que le soir dorait dans le lointain, Murs noircis par les ans, coteaux, sentier rapide, Fontaine où les pasteurs accroupis tour à tour Attendaient goutte à goutte une eau rare et limpide, Et, leur urne à la main, s'entretenaient du jour, Chaumière où du foyer étincelait la flamme...
Page 323 - Montagnes que voilait le brouillard de l'automne, Vallons que tapissait le givre du matin, Saules dont l'émondeur effeuillait la couronne, Vieilles tours que le soir dorait dans le lointain, Murs noircis par les ans, coteaux, sentier rapide, Fontaine où les pasteurs accroupis tour à tour Attendaient goutte à goutte une eau rare et limpide, Et, leur urne à la main, s'entretenaient du jour, Chaumière...
Page 333 - Tu converseras doucement et honnestement avecque les poètes de ton temps; tu honoreras les plus vieux comme tes pères, tes pareils comme tes frères, les moindres comme tes enfants, et leur communiqueras tes escrits...
Page 351 - Ah ! c'est un beau spectacle à ravir la pensée Que l'Europe ainsi faite et comme il l'a laissée! Un édifice, avec deux hommes au sommet, Deux chefs élus auxquels tout roi né se soumet...
Page 10 - Derrière le Commandeur, un peu plus près du feu, Germeuil est assis négligemment dans un fauteuil, un livre à la main. Il en interrompt de temps en temps la lecture pour regarder tendrement Cécile, dans les moments où elle est occupée de son jeu, et où il ne peut en être aperçu.
Page 337 - Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ; Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie : Emportez-moi comme elle, orageux aquilons ! 31.