Un maître doit former ses disci- MALEBRANCHE. Endroit de M. de gètes, se rend à la suite de Sci pion, III, 410. MARCELLE (Sainte). Belle parole de cette' sainte, III, 99. MARINE. Elle était interdite aux La cédémoniens, III, 304. MARIUS. Ses belles qualités, III, 105. Ses vices, 107. Ses guerres civiles avec Sylla, 108. Sa mort, 109. MASCARON. Caractère de son éloquence, II, 47 et suiv. MASINISSA, ami et allié des Romains, presse Scipion de passer en Afrique, III, 413. Il vient le joindre, 414. MASSIEUX, sa remarque sur le bou clier de Scipion, I, 42. Son opinion réfutée, ibid. MATHÉMATIQUES. Leur utilité, IV, 190. MATIÈRE. Divisibilité de la matière, IV, 201. MECENE. Avec quelle liberté il parlait à Auguste, II, 143. L'avis qu'il donna à ce prince lorsqu'il voulut se démettre de la souveraine autorité, IV, 126. MÉLANIE (Ste). Son humilité, III, 99. Son voyage à Nole pour visiter saint Paulin, 100. MÉMOIRE. Ce que c'est, I, 334. Nécessité et manière de la cultiver, ibid. Ce que pense Quintilien sur la mémoire artificielle, ibid. Usage qu'en faisait un curé du Languedoc, 337. Comment on peut surmonter la difficulté naturelle de la mémoire des enfants, ibid. et suiv. Réflexion sur le choix et le discernement dont on doit user en cultivant la mémoire, 342. MÉNECRATE, médecin. Sa vanité, III, 73. MENSONGE. Précautions dont il faut user en le punissant dans les enfants, IV, 275. Il faut leur donner une grande horreur de ce vice, 287. MER. Causes de son flux et reflux, lesquels il rend compte de ses études, I, 236. Il refuse la charge d'avocat-général que le roi voulait lui donner, et pourquoi, III, 97. MESSIE. L'attente du Messie; caractère spécial du peuple de Dieu, III, 115. MESURES du temps, IV, 160; itinéraires, 161; des monnaies, 163. METAPHORE. Sa nature, II, 171 et suiv. Comment on peut en faire sentir la force et la beauté, 172. On ne doit point dans la métaphore passer d'une image à une autre, 174. Belles métaphores tirées de l'Écriture, 394 et suiv. MILAN. Voy. DésintéressEMENT. MILTON. Jugement sur son Paradis perdu, I, 374. MINUCIUS, général de la cavalerie, essaie de décrier la conduite de Fabius, III, 397. Il reconnaît sa faute et la répare, 398. MIRACLES. Ils sont la première preuve de la certitude de la révélation divine, III, 108. Caractères des miracles, ibid. MOEURS. Comment on doit les former, I, 32. Attention des païens sur ce point, 33. Moïse. Explication de son cantique, après le passage de la mer Rouge, II, 416 et suiv. Voy. HERSAN (M.). MOLÉ (Le premier président) arrête par sa présence une populace mutinée, III, 69. MONGAULT (L'abbé de). Traduction de deux lettres de Pline, I, 216. MONNAIE. Celle que Lycurgue introduisit, III, 289. Monnaies anciennes, IV, 162. Monnaies grecques, 163; romaines, ibid. MONTAUSIER (Madame de). Avec quelle constance elle souffrit sa longue maladie, II, 41. MORT. Idées des païens touchant la récompense des vertus et la punition des vices après la mort, I, 493. Voyez PAÏENS. Mors. Il faut en remarquer la pro priété dans les auteurs, I, 303. Combien le choix des mots donne de grace aux pensées, II, 148; l'habitude le rend facile, 151. Exemples de Juvenal et de Boileau pour exprimer le mot coiffure, 149. L'arrangement des mots plaît, et pourquoi, 157. Gradation de mots où les expressions vont toujours en augmentant, 166. Symétrie dans leur correspondance mutuelle, ibid. Tome XXVIII. Tr. des Étud. N NARRATION. Si l'on doit faire entrer les grands mouvements dans la narration, II, 217. Exemples de narrations : du supplice de Gavius, 218; de l'aventure de Canius, 65; du combat des Horaces et des Curiaces, 114 et suiv. NATURE. Elle plaît en tout, et doit régner sur-tout dans les ouvrages d'esprit, II, 92. La nature est perfectionnée par les préceptes dans l'éloquence, 5. NEPTUNE. La rapidité de sa marche décrite par Homère, I, 437. Traduction du même endroit par Boileau, 438. NERON. Comment, par son mauvais gout, il gâta une belle statue de Lysippe, II, 70. NEWTON. Comment on a célébré ses obsèques en Angleterre, IV, 158. NICOLE. Ses essais de morale, I, 179. Jugement de cet auteur sur Sénèque, II, 145. NIGER, empereur d'Orient, refuse nombre et l'harmonie du discours, NUMA POMPILIUS. Avec quelle répugnance il accepte la royauté, III, 58, 364. Son portrait, 365. Il inspire aux Romains l'amour de l'agriculture, 367. Il adoucit leurs mœurs, 370. Son règne tranquille et pacifique, 371. Il s'applique à donner à la religion du lustre et de la majesté, ibid. OBÉISSANCE. La science d'obéir et de commander est la plus belle de toutes, III, 308. OCHLOCRATIE. Ce que c'est, IV, 87. OCTAVIUS. Il hérite des biens et du nom de César, IV, 116. Comment il gagne Cicéron, ibid. et suiv. Il est obsédé par les flatteurs, 118. Il se ligue avec Lépidus et Antoine, 124. Il consent à la proscription de Cicéron, ibid. Portrait abrégé de son gouvernement, 126. ODE. Pourquoi le début sublime convient à l'ode, II, 64. OISEAUX. Leur industrie merveilleuse, IV, 218. Diversité de leur chant, de leur plumage, et de leurs inclinations, 221. OLIGARCHIE. Ce que c'est, IV, 86. ORNEMENTS. Dans quels discours on peut les étaler, II, 84 et suiv. Il faut les varier, 85. Différence des ornements vrais et naturels d'avec ceux qui sont faux ou étrangers, 88. L'orateur chrétien ne doit ni les trop rechercher ni les trop négliger, 331 et suiv. ORPHÉE. Son retour des enfers décrit par Virgile, I, 404. Sa mort, 408. Le même sujet rendu par Ovide, 409. ORTHOGRAPHE. Diverses remarques sur le soin qu'on doit prendre de la cultiver, et sur les règles qu'on y doit suivre, I, 171. OSSAT (Arnaud d'), cardinal. Son adresse dans les négociations, III, 40. Sa modestie et son abstinence, ibid. Il reçoit le chapeau de cardinal pour récompense de son mẻrite, 69. OSTRACISME. Ce que c'était, III, 276. Ce que l'on doit penser de cette sorte de jugement, 277. OVIDE. Utilité qu'on peut retirer de la lecture de ce poëte dans les classes, I, 417. OUVRAGES D'ESPRIT. Principes pour en juger sainement, I, 423. OUVRAGES (Extraits d'). Ceux qui seraient utiles aux jeunes gens. Voyez ABRÉGÉS. P PACUVIUS. Voyez PÉROLLA. PAIENS. Leur délicatesse dans la lecture des poëtes, I, 335. PALAVICIN. Mot de ce cardinal au sujet des ouvrages de Sénèque, II145. PANTHÉE, femme d'Abradate. Généreuse reconnaissance de cette princesse envers Cyrus, III, 224. PAPEBROCH, jésuite; sa modération dans la dispute, III, 74. PARALLÈLES. Exemple dans le parallèle de M. de Turenne et de son parent le cardinal de Bouillon, II, 40. PARENTS (Pères et mères). Comment Homère apprend à les respecter, I, 467. Du devoir des parents par rapport à l'éducation de leurs enfants, IV, 402 et sniv. PARRHASIUS, peintre célèbre, III, 283. PARTICULES. Leur usage, I, 314. PASCAL. Extrait de ses Pensées sur la connaissance de l'homme, IV, 201. PASSAGES obscurs; comment il les faut éclaircir, I, 318. PASSIONS DANS LE DISCOURS. Leur nature, II, 215. Comment on peut les exciter, ibid. Quelle est proprement leur place, 216. Sentiments qui ne consistent que dans un seul trait, ou dans un seul mot, 221. Passions douces. Voy. Éthos. PATIENCE. Jusqu'où les jeunes Lace démoniens la portaient, III, 294. PATRIE. Effets que l'amour de la patrie produisait sur les Romains. Voy. ROMAINS. PATROCLE. Douleur des chevaux d'Achille à la mort de Patrocle, I, 436. Comment Antiloque annonce cette mort à Achille, 451. PAUL. (S.). Quelle était l'éloquence de cet apôtre, II, 341. PAUL (L. Ém.), consul, IV, 400. Il est blessé à mort à la bataille de Cannes, 402. PAUL (Émile), vainqueur de Persée. Soin qu'il prenait de l'éducation de ses enfants, I, 28. Son bon goût à ordonner une fête, 71. Discours de ce romain qui peuvent apprendre à un prince comment il doit soutenir sa mauvaise fortune, IV, 17. Son désintéressement, 18. PAUSANIAS, roi de Lacédémone. Il commande l'armée des Grecs à la bataille de Platée. III, 246. Deux traits particuliers de son équité et de sa modération, ibid. et suiv. Son orgueil rend le gouverne païens sur le péché origirrel, I, 54 et suiv. PÉDARÈTE. Sentiments nobles de ce Lacédémonien, III, 295. PELLETIER (M. le ), contrôleur-général des finances. Son désintéressement, III, 98. PÉLOPIDAS. Parallèle de ce Thébain avec Épaminondas, III, 326. Services importants qu'il rendit à sa patrie, 328 et suiv. Sa mort, 329. PENSÉES. Elles sont comme le corps du discours, II, 112. En quoi consiste la justesse des pensées, 121 et suiy. Comment on relève une pensée commune, 125. Pensées nobles, ibid. Pensées agréables, 127. Pensées délicates, 130. Pensées brillantes, 133. Usage légitime qu'on doit faire des pensées brillantes, 135. Elles dominent dans les ouvrages de Sénèque, 136. Jugement de M. Nicole sur Sénèque, qui renferme d'excellentes règles sur les pensées, 145. PÈRES ET MÈRES. Comment Homère apprend à les respecter, I, 467. Voyez PARENTS. PÈRES DE L'ÉGLISE. Combien les prédicateurs doivent les étudier, II, 370. Extraits des Pères, 346. PERICLES. Son éducation et son ca ractère, III, 254. Son adresse à manier les esprits, 255. Son autorité dans Athènes, et d'où elle ve nait principalement, 258. Son désintéressement, ibid. Il était aussi grand capitaine que bon politique, 259. Il embellit la ville d'Athènes par un grand nombre de beaux ouvrages, 260. Son mérite excite la jalousie contre lui, 262. Réflexions sur le caractère et sur la conduite de Périclès, 266. Son administration a été blâmée par Platon, I, 35. Il ne parlait jamais au peuple qu'il ne s'y fût beaucoup préparé, II, 336. PÉROLLA. Discours de Pacuvius à son fils Pérolla, pour le détourner d'assassiner Annibal, II, 107 et suiv. PERORAISONS. C'est sur-tout à celles de Cicéron qu'il faut recourir, II, 215. PERSÉE. Guerre de ce prince contre les Romains, III, 436. Réflexions sur la conduite et sur le caractère de Persée, IV, 10. PERSES. Excellence des mœurs et des coutumes des Perses, III, 205 et suiv. Ordre et réglements qui s'observaient dans leurs écoles, ibid. Leurs ragoûts et leur boisson, 219. PHALANGE MACÉDONIENNE, III, 438. PHARAON. Il choisit Joseph pour son premier ministre, III, 142. Il lui ordonne de faire venir sa famille en Égypte, 151. PHARNABAZE rend hommage à la simplicité d'Agésilas en l'imitant, III, 39. PHIDIAS, célèbre sculpteur, III, 261, 283. PHILIPPE, père d'Alexandre. Com ment ce prince fit sentir à un médecin le ridicule de sa vanité, III, 73. Il était peu délicat dans le choix des moyens qui peuvent attirer de la gloire, 77. PHILIPPE, roi de Macédoine, embrasse le parti d'Annibal, III, 422. Il est vaincu à Cynocéphales, et pense à faire la paix avec les Romains, 423 et suiv. Réflexions sur la conduite et sur le caractère de ce prince, IV, 9. PHILOPEMEN. Usage qu'il faisait des dépouilles et du butin qu'il avait pris sur l'ennemi, III, 21. Aventure qui lui arriva chez un de ses amis, 36. PHILOSOPHIE. Combien elle con tribua à former l'éloquence de Cicéron, II, 293. La philosophie peut beaucoup servir au réglement des mœurs, IV, 171; à perfectionner la raison, à orner l'esprit, et à inspirer un grand respect pour la religion, 194. PHYSIQUE DES SAVANTS, IV, 195; DES ENFANTS, 202. PIERRE (Eustache de S.), bourgeois de Calais. Il se sacrifie pour le salut de sa patrie, III, 90. PIÉTÉ. Avantages de la piété, III, 132 et suiv. Comment on peut l'inspirer aux autres, I, 61. PIRATE. Réponse spirituelle d'un pirate à Alexandre-le-Grand, III, 63. PLANTES. Réflexions sur la structure, la fécondité, etc., des plantes, IV, " 210. PLATON. Juge Périclès et Thémisto cle, I, 35. Pourquoi il bannit Homère de sa république, 352. Instructions qu'il donna à Denys le jeune, III, 335 et suiv. Belle maxime de ce philosophe sur le gouvernement, 371. PLINE L'ANCIEN. Passage de cet au teur, dans lequel il fait sentir la |