ou babyloniennes de 0,4629. Une des faces inclinées ou apothème de la pyramide =333,33 = 185,185 400 coudées grecques Système grec déduit de la longueur de la face inclinée ou apothème de la pyramide. Le stade olympique la longueur de l'apothème =400 coudées.... Un centième du stade olympique = le pas grec double 4 coudées grecques..... m 1,85185 0.9259 0.462962 0,308642 Un deux centième le pas simple 2 coudées= Un quatre centième la coudée grecque ou ba du mille marin.... 120 marin Un centième du stade nautique (166,66) donne la brasse (à très-peu près).... 1851,8 = 15,432 1,624 La hauteur est égale à 266,6 coudées de 0,5555 ou à 400 coudées romaines de 0,37037 = 148,148. Système romain déduit de la hauteur de la pyramide. Le stade italique ou pythique la hauteur de la = m 148,148 1,48148 m la lieue gauloise de. 2222,22 = le mille allemand ou = 7407,4 Un mille romain le berri turc (à très-peu près)... = 1476,00 seconde présente un sens religieux très-facile à saisir, je me suis décidé à donner une courte description de cette petite figure commémorative, pour en faire l'objet d'une communication à l'Académie. La figurine du cabinet de M. Dufresne a la forme d'une de ces caisses de momie, plus ou moins ornées, qui renfermaient les restes des défunts et donnaient, pour les grands personnages, la reproduction des traits de leur visage. Elle a les bras croisés sur la poitrine, et l'inscription descend du point de jonction des poignets, jusque sur les pieds où se trouve le déterminatif dont j'ai parlé plus haut. Ce qui est remarquable dans cette statuette et ce qui donne bien la mesure de toute l'importance que les artistes égyptiens attachaient aux règles de la symétrie, c'est qu'à partir des poignets, l'inscription se bifurque et se double par deux signes identiques, mais en sens opposé,, pour remonter sur chaque épaule par deux autres signes,, dans les mêmes conditions de symétrie, en sorte que le nom peut se lire dans son entier, en descendant, à partir de l'une ou l'autre épaule, à volonté. Je lis ce nom : ? 우 MeRi S MeS ARi WeNT? ANKH S eN HiSi Le signe, Mes, qui se trouve au-dessous des deux poignets, est très-reconnaissable, bien que défectueux, Ă; en effet, la ligne courbe supérieure n'est pas à sa place, elle devrait faire corps avec la partie inférieure et, de plus, elle manque de la petite ligne médiale qui doit la partager en deux. Le signe, que je lis WeNT, est celui qui me paraît incertain, aussi l'ai-je noté avec un point de doute? Je ne vois, du reste, aucun caractère hiéroglyphique auquel je puisse l'assimiler, si ce n'est celui qui représente une tête de veau et qui emporte d'ordinaire la signification de nez, narines, phonétique GT, nazus. (G., p. 95; Diction., p. 171.) Le déterminatif final ne permet pas de se tromper sur le sexe de la personne représentée; c'est le même, exactement, qui vient après le nom de la princesse, WIV HiSi eM KHouVe et, après celui de sa fille, HAV HONT To Ti toutes deux de la famille du roi PINeT'eM'. Dans ces deux noms, la fleur remplace, comme déterminatif, la figure d'une femme. ANKH La deuxième partie du nom de notre statuette, ANKH S eN HiSi, se traduit sans difficulté « Sa vie vient d'Isis », expression que j'ai été bien aise de rencontrer, parce qu'elle présente une forme tout à fait analogue à celle qu'on remarque dans le nom de la reine S eN AMON, sa vie vient d'Amon. Le nom de cette reine, épouse d'AMON TOU ANKH, l'un des rois usurpateurs de la dix-huitième dynastie, nous montre la coutume constante de respect en usage chez les lapicides et les peintres égyptiens. Toutes les fois que ces artistes avaient à re 'De Rouge. Inscription d'Ahmes, p. 117-118. Étude sur une stèle égyptienne, p. 199, note, et p. 200. |