La peau de chagrinLévy, 1888 - 308 pages |
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... voulait un regard ne l'obtint même pas . Un vase inestimable en porphyre antique et dont les sculptures circulaires représentaient de toutes les priapées romaines la plus grotesquement licencieuse , délice de quelque Corinne , eut à ...
... voulait un regard ne l'obtint même pas . Un vase inestimable en porphyre antique et dont les sculptures circulaires représentaient de toutes les priapées romaines la plus grotesquement licencieuse , délice de quelque Corinne , eut à ...
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... nière suivante : لو ملكننى سلكت الكل ولكن عمرک ملکی واراد الله هكذا الطلب ومتسال مطالبك لكن قسن مطالبك على عمرك دسی هاها نيكل مرام استتزل ايامك أتريد في الله سيبك آمین Ce qui voulait dire en français : SI TU ME LA PEAU DE CHAGRIN 55.
... nière suivante : لو ملكننى سلكت الكل ولكن عمرک ملکی واراد الله هكذا الطلب ومتسال مطالبك لكن قسن مطالبك على عمرك دسی هاها نيكل مرام استتزل ايامك أتريد في الله سيبك آمین Ce qui voulait dire en français : SI TU ME LA PEAU DE CHAGRIN 55.
Page 36
Honoré de Balzac. Ce qui voulait dire en français : SI TU ME POSSÈDES , TU POSSÉDERAS TOUT . MAIS TA VIE M'APPARTIENDRA . DIEU L'A VOULU AINSI . Désire , et tes DÉSIRS SERONT ACCOMPLIS . MAIS RÈGLE TES SOUHAITS SUR TA VIE . ELLE EST LA ...
Honoré de Balzac. Ce qui voulait dire en français : SI TU ME POSSÈDES , TU POSSÉDERAS TOUT . MAIS TA VIE M'APPARTIENDRA . DIEU L'A VOULU AINSI . Désire , et tes DÉSIRS SERONT ACCOMPLIS . MAIS RÈGLE TES SOUHAITS SUR TA VIE . ELLE EST LA ...
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... voulait se précipiter naguère , les prédictions du vieillard étaient accomplies , l'heure de sa mort se trouvait déjà fatale- ment retardée . - Et nous te regrettions vraiment ! dit son ami pour- suivant toujours sa thèse . Il s'agit d ...
... voulait se précipiter naguère , les prédictions du vieillard étaient accomplies , l'heure de sa mort se trouvait déjà fatale- ment retardée . - Et nous te regrettions vraiment ! dit son ami pour- suivant toujours sa thèse . Il s'agit d ...
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... voulait que je fissc mon Droit en conscience ; j'allais en même temps à l'École et chez un avoué ; mais les lois du ... voulais lui manifester un sentiment doux et tendre , il me recevait en enfant qui va dire une sottise LA PEAU DE ...
... voulait que je fissc mon Droit en conscience ; j'allais en même temps à l'École et chez un avoué ; mais les lois du ... voulais lui manifester un sentiment doux et tendre , il me recevait en enfant qui va dire une sottise LA PEAU DE ...
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Expressions et termes fréquents
amant âme amou amour assez belle blanc bonheur cachemire canard canard siffleur cent cher cheveux choses cœur comtesse contempler coup délicieux devant Dieu dit-elle douce doute Émile enfant êtes femme figure fleurs Fodora Fœdora fortune froid gens geste humaine intelli j'ai j'avais j'étais Japhet jeta jeune fille jeune homme joie jolie Jonathas joueurs jour l'âme l'amour L'Auberge rouge l'inconnu laissant lord Byron luxe madame main malade ment mille misère monde monsieur le marquis mont Dore mort mourir mouvement onagre paroles passer passion Pauline pauvre Peau de chagrin pendant pensée peut-être phaël plaisir plaisirs Planchette poëte pont des Arts Porriquet Rastignac regard rente répondit Raphaël reprit reprit-il resta réveiller riant riche rien rire rouge rue de Varennes s'écria Raphaël s'écria-t-il sais salon savant science semblait sentiment seul silence soir sorte sourire talisman tête trouva Valentin veux vieillard vieux vin de Champagne visage voix voulait yeux
Fréquemment cités
Page 103 - ... sur les cours des maisons voisines, par les fenêtres desquelles passaient de longues perches chargées de linge. Rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs jaunes et sales, qui sentait la misère et appelait son savant. La toiture s'y abaissait régulièrement et les tuiles disjointes laissaient voir le ciel. Il y avait place pour un lit, une table, quelques chaises, et sous l'angle aigu du toit je pouvais loger mon piano.
Page 260 - Ce docteur était l'illustre Brisset, le chef des organistes, le successeur des Cabanis et des Bichat, le médecin des esprits positifs et matérialistes, qui voient en l'homme un être fini, uniquement sujet aux lois de sa propre organisation, et dont l'état normal ou les anomalies délétères s'expliquent par des causes évidentes.
Page 101 - Je me souviens d'avoir quelquefois trempé gaiement mon pain dans mon lait, assis auprès de ma fenêtre en y respirant l'air, en laissant planer mes yeux sur un paysage de toits bruns, grisâtres, rouges, en ardoises, en tuiles, couverts de mousses jaunes ou vertes. Si d'abord cette vue me parut monotone, j'y découvris bientôt de singulières beautés. Tantôt le soir des raies lumineuses, parties de volets mal fermés, nuançaient et animaient les noires profondeurs de ce pays original.
Page 10 - Il existe je ne sais quoi de grand et d'épouvantable dans le suicide. Les chutes d'une multitude de gens sont sans danger , comme celles des enfants qui tombent de trop bas pour se blesser; mais quand un grand homme se brise, il doit venir de bien haut, s'être élevé jusqu'aux cieux, avoir entrevu quelque paradis inaccessible.
Page 104 - ... piano... Je vécus dans ce sépulcre aérien pendant près de trois ans, travaillant nuit et jour, sans relâche, avec tant de plaisir que l'étude me semblait être le plus beau thème, la plus heureuse solution de la vie humaine. Le calme et le silence nécessaires au savant ont je ne sais quoi de doux et d'enivrant comme l'amour...
Page 307 - ... ondine ou sylphide, cette fluide créature voltigeait dans les airs comme un mot vainement cherché qui court dans la mémoire sans se laisser saisir; elle se promenait entre les îles, elle agitait sa tête à travers les hauts peupliers ; puis, devenue gigantesque, elle faisait ou resplendir...
Page 24 - Cuvier n'est-il pas le plus grand poète de notre siècle ? Lord Byron a bien reproduit par des mots quelques agitations morales; mais notre immortel naturaliste a reconstruit des mondes avec des os blanchis, a rebâti comme Cadmus des cités avec des dents...
Page 271 - Le monde abhorre les douleurs et les mfortunes , il les redoute à l'égal des contagions, il n'hésite ja'mais entre elles et les vices : le vice est un luxe. Quelque majestueux que soit un malheur , la société sait l'amoindrir, le ridiculiser par...
Page 104 - L'exercice de la pensée, la recherche des idées, les contemplations tranquilles de la Science nous prodiguent d'ineffables délices, indescriptibles comme tout ce qui participe de l'intelligence dont les phénomènes sont invisibles à nos sens extérieurs. Aussi sommesnous toujours forcés d'expliquer les mystères de l'esprit par des comparaisons matérielles. Le plaisir de nager dans un lac d'eau pure, au milieu des rochers, des bois et des fleurs, seul et caressé par une brise tiède, donnerait...
Page 296 - Prenez mon bras, monsieur. — Non. Le sentiment que l'homme supporte le plus difficilement est la pitié, surtout quand il la mérite. La haine est un tonique, elle fait vivre, elle inspire la vengeance; mais la pitié tue, elle affaiblit encore notre faiblesse.