... sur les cours des maisons voisines, par les fenêtres desquelles passaient de longues perches chargées de linge. Rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs jaunes et sales, qui sentait la misère et appelait son savant. La toiture s'y... La peau de chagrin - Page 103de Honoré de Balzac - 1888 - 308 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Honoré de Balzac - 1839 - 380 pages
...voisines , par les fenêtres desquelles passaient de longues perches chargées de linge. Rien n'etait plus horrible que cette mansarde aux murs jaunes et...misère et appelait son savant. La toiture s'y abaissait irrégulièrement et les tuiles disjointes laissaient voir le ciel. Il y avait place pour un lit, une... | |
| Honoré de Balzac - 1845 - 510 pages
...maisons voisines, par les fenêtres desquelles passaient de longues perches chargées de linge. Rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs...laissaient voir le ciel. Il y avait place pour un lit, une tabie, quelques chaises, et sous l'angle aigu du toit je pouvais loger mon piano. N'étant pas assez... | |
| Honoré de Balzac - 1852 - 656 pages
...fenêtres desquelles passaient de longues perches chargées de linge. Rien n'était plus horrible que celte tranc elles tuiles disjointes laissaient voir le ciel. Il y avait place pour un lit, une labié, quelques... | |
| Honoré de Balzac - 1855 - 518 pages
...maisons voisines, par les fenêtres desquelles passaient de longues perches chargées de linge. Rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs...pas assez riche pour meubler cette cage digne des plombs de Venise, la pauvre femme n'avait jamais pu la louer. Ayant précisément excepté de la vente... | |
| 1858 - 872 pages
...maisons voisines, par les fenêtres desquelles passaient de longues perches chargées de linge; rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs...sous l'angle aigu du toit je pouvais loger mon piano — Je vécus dans ce sépulcre aérien pendant près de trois ans. travaillant nuit et jour, sans... | |
| 1858 - 336 pages
...maisons voisines, par les fenêtres desquelles passaient de longues perches chargées de linge; rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs jaunes et sales, qui sontait la misère et appelait son savant. La toiture s'y abaissait régulièrement, et les tuiles... | |
| Théophile Gautier - 1859 - 414 pages
...maisons voisines, par les fenêtres desquelles passaient de longues perches chargées de linge ; rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs...sous l'angle aigu du toit je pouvais loger mon piano. . . Je vécus dans ce sépulcre aérien pendant près de trois ans, travaillant nuit et jour, sans... | |
| Edmond Werdet - 1859 - 418 pages
...maisons voisines, par les fenêtres desquelles passaient de longues perches chargées de linge ; rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs...sales, qui sentait la misère et appelait son savant. l'angle aigu du toit, je pouvais loger mon piano.. « Je vécus dans ce sépulcre aérien pendant près... | |
| Edmond Werdet - 1859 - 436 pages
...maisons voisines, par les fenêtres desquelles passaient de longues perches chargées de linge ; rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs jaunes et sales, qui sentait la misèr^ et appelait son savant. l'angle aigu du toit, je pouvais loger mon piano.. « Je vécus dans... | |
| Honoré de Balzac - 1869 - 700 pages
...maisons voisines, par les fenêtres desquelles passaient de longues perches chargées de linge. Rien n'était plus horrible que cette mansarde aux murs...place pour un lit, une table, quelques chaises, et sousi'angle aigu du toit je pouvais loger mon piano. iVétant pas assez riche pour meubler cette cage... | |
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