Histoire de la diplomatie du Gouvernement: ptie. Du 31 octobre au 20 décembre 1870Amyot, 1872 |
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... militaires sur l'attitude de M. de Bismarck . - - Avant de reprendre la suite des événements sur les- quels s'est fermée la première partie de cette Histoire , il convient de remonter à quelques semaines en arrière et d'exposer ...
... militaires sur l'attitude de M. de Bismarck . - - Avant de reprendre la suite des événements sur les- quels s'est fermée la première partie de cette Histoire , il convient de remonter à quelques semaines en arrière et d'exposer ...
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... militaires lui avaient imposés . Néanmoins , le Gouvernement , meilleur juge de cette situation et comprenant tout ce qu'elle avait d'anormal pour le pays , s'attachait , contre l'évidence , à l'espoir qu'elle ne durerait pas longtemps ...
... militaires lui avaient imposés . Néanmoins , le Gouvernement , meilleur juge de cette situation et comprenant tout ce qu'elle avait d'anormal pour le pays , s'attachait , contre l'évidence , à l'espoir qu'elle ne durerait pas longtemps ...
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... militaires qui lui defendaient toute communication sur l'époque et le mode d'attaque projets contre la forteresse de Paris . Au sujet de la seconde , il invoquait les usages de la guerre qui interdisent l'entrée ou la sortie de toute ...
... militaires qui lui defendaient toute communication sur l'époque et le mode d'attaque projets contre la forteresse de Paris . Au sujet de la seconde , il invoquait les usages de la guerre qui interdisent l'entrée ou la sortie de toute ...
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... militaires susceptibles de rompre l'investissement par une percée hardie . M. le général Trochu entretenait ces ... militaire à l'ambassade de Russie . Le gouvernement anglais ayant paru croire que le voyage de cet officier se rattachait ...
... militaires susceptibles de rompre l'investissement par une percée hardie . M. le général Trochu entretenait ces ... militaire à l'ambassade de Russie . Le gouvernement anglais ayant paru croire que le voyage de cet officier se rattachait ...
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... militaire . Le négociateur français constate , au contraire , dans son Mémorandum aux Puissances , que lors de sa ... militaires , et il fut convénu d'en remettre au lendemain la solution définitive . Le jeudi 3 novembre , M. Thiers ...
... militaire . Le négociateur français constate , au contraire , dans son Mémorandum aux Puissances , que lors de sa ... militaires , et il fut convénu d'en remettre au lendemain la solution définitive . Le jeudi 3 novembre , M. Thiers ...
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Histoire de la diplomatie du Gouvernement: ptie. Du 31 octobre au 20 ... Jules Joseph Valfrey Affichage du livre entier - 1872 |
Histoire de la diplomatie du Gouvernement: ptie. Du 31 octobre au 20 ... Jules Joseph Valfrey Affichage du livre entier - 1872 |
Histoire de la diplomatie du gouvernement de la défense nationale ..., Volume 2 Jules J. Valfrey Affichage du livre entier - 1872 |
Expressions et termes fréquents
12 novembre 31 octobre Affaires étrangères allemand armées armistice Assemblée nationale avaient cabinet de Londres cabinet de Saint-Pétersbourg capitale Chancelier chargé d'affaires circonstances communication comte de Bismarck comte de Chaudordy conditions Confédération du Nord conférence Conseil fédéral Conseil fédéral Suisse consentir considérations convocation d'une Assemblée Corps diplomatique décembre déclaration Défense nationale Délégation de Tours DÉLÉGUÉ DU MINISTRE démarche dépêche devoir élections Excellence Faucigny Gambetta gare de Luxembourg général Burnside général Trochu Gouver Grand-Duché guerre impérial j'ai Jules Favre l'Allemagne du Nord l'ambassadeur l'Angleterre l'armée l'armistice l'Empereur l'Europe Loire lord Granville lord Lyons Luxembourg luxembourgeois Majesté ment mer Noire militaires Ministre des Affaires Monsieur n'avait négociations d'armistice nement neutralité novembre Odo Russell officielle paix pays politique pont de Sèvres pourparlers prendre présenter prince Gortschakoff province Prusse Puissances neutres quartier général prussien question ravitaillement Russie s'était Saint-Pétersbourg Savoie sentiment serait Signé situation Suisse télégramme territoire Thiers tion traité de 1856 Versailles
Fréquemment cités
Page 210 - Russies et le sultan, ayant conclu une convention à l'effet de déterminer la force et le nombre des bâtiments légers, nécessaires au service de leurs côtes, qu'elles se réservent d'entretenir dans la mer Noire, cette convention est annexée au présent traité, et aura même force et valeur que si elle en faisait partie intégrante. Elle ne pourra être ni annulée ni modifiée sans l'assentiment des puissances signataires du présent traité.
Page 178 - Ils le consomment froidement, s'étonnant que nous ne soyons pas leurs complices, en nous abandonnant aux détaillanccs que leur diplomatie nous conseille. Engagée dans cette voie, la Prusse ferme l'oreille à l'opinion du monde. Sachant qu'elle froisse tous les sentiments justes, qu'elle alarme tous les intérêts conservateurs, elle se fait un système de l'isolement, et se dérobe ainsi à la condamnation que l'Europe, si elle était admise à discuter sa conduite, ne manquerait pas de lui infliger....
Page 201 - Certes, si ces concessions accordées à une des nationalités chrétiennes de l'Orient étaient résultées d'une entente générale entre les Cabinets et la Porte, en vertu d'un principe applicable à l'ensemble des populations chrétiennes de la Turquie, le cabinet Impérial n'aurait pu qu'y applaudir. Mais elles ont été exclusives.
Page 202 - À mesure que s'affaiblissaient ainsi les gages offerts par le Traité et notamment les garanties d'une neutralité effective de la mer Noire, l'introduction des bâtiments cuirassés, inconnus et non prévus lors de la conclusion du Traité de 1856, augmentait pour la Russie les dangers d'une guerre éventuelle , en accroissant , dans des proportions considérables, l'inégalité déjà patente des forces navales respectives.
Page 200 - La mer Noire est neutralisée : ouverts à la marine marchande de toutes les nations, ses eaux et ses ports sont, formellement et à perpétuité, interdits au pavillon de guerre soit des Puissances riveraines, soit de toute autre Puissance, sauf les exceptions mentionnées aux articles 14 et 19 du présent Traité.
Page 165 - Confédération du Nord s'empressait de traiter avec l'envoyé extraordinaire de la République française. Ces observations préliminaires franchies, nous avons fait un premier examen sommaire des questions que soulevait la proposition des Puissances neutres : 1° Principe de l'armistice, ayant pour but essentiel d'arrêter l'effusion du sang, et de fournir à la France le moyen de constituer un gouvernement reposant sur le vœu exprimé de la nation ; 2°...
Page 164 - France de constituer, par des élections librement faites, un gouvernement régulier avec lequel on pût traiter valablement. Cet objet était d'autant mieux indiqué, que plusieurs fois la diplomatie prussienne avait prétendu que, dans la situation des choses en France, elle ne savait à qui s'adresser pour entamer des négociations.
Page 167 - Bismarck avait dû en référer aux généraux prussiens, réunis et présidés par SM le Roi; et, tout examiné, voici ce qui nous a paru équitable de part et d'autre, et le plus conforme aux usages adoptés dans tous les cas semblables. Les armées belligérantes seraient tenues de s'arrêter là même où elles se trouveraient le jour de la...
Page 178 - Puissances neutres l'Angleterre, la Russie, l'Autriche et l'Italie, ayant pour objet la convocation d'une Assemblée nationale. Elle a ainsi prouvé, une fois de plus, qu'elle continuait la guerre dans un but étroitement personnel, sans se préoccuper du véritable intérêt de ses sujets et surtout de celui des Allemands qu'elle entraine à sa suite.
Page 167 - ... français, voisines de nos frontières, et allemandes, disait-il, d'origine et de langage. J'ai répondu à l'instant même que l'armistice, si on voulait le conclure promptement, ainsi que c'était le désir général, devait ne préjuger aucune des questions qui pouvaient être agitées à l'occasion d'un traité de paix définitif; que, pour ma part, je me refusais en ce moment à en aborder aucune, et qu'en agissant ainsi j'obéissais à mes instructions et à mes sentiments personnels. M....