Comme nous avions déjà fait cinq ou six pas du côté de la Savonnerie*, et que nous étions, par conséquent, plus proches du spectacle, je commençai à entrevoir quelque chose, et ce qui m'en parut fut une longue procession de fantômes noirs, qui... Mémoires - Page 135de Jean François Paul de Gondi (card. de Retz.) - 1825Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Mme. Gabrielle de Paban - 1819 - 266 pages
...croyais que tout le monde avait perdu le sens, 11 me répondit: Effectivement, je crois que ce pourrait bien être des diables Comme nous avions déjà fait!...qui me donna d'abord plus d'émotion qu'elle n'en avait donnée à M. de Turenne ; mais qui, par la réflexion que je fis, que j'avais long-temps cherché... | |
| Jean François Paul de Gondi de Retz - 1820 - 598 pages
...Effectivement je crois que ce pourraient bien être des diables. Comme nous avions déjà fait cinq à six pas du côté de la Savonnerie, et que nous étions...qui me donna d'abord plus d'émotion qu'elle n'en avait donnée à M. de Turenne, mais qui, par la réflexion que je fis , que j'avais long-temps cherché... | |
| Jean François Paul de Gondi de Retz - 1820 - 578 pages
...Effectivement je crois que ce pourraient bien être des diables. Comme nous avions déjà fait cinq à six pas du côté de la Savonnerie , et que nous étions par conséquent plus proche» du spectacle, je commençai à entrevoir quelque chose ; et ce qui m'en parut , fut une longue... | |
| 1835 - 488 pages
...Effectivement , je crois que ce pourraient bien être des diables. Comme nous avions déjà fait cinq a six pas du côté de la Savonnerie^ et que nous étions...qui me donna d'abord plus d'émotion qu'elle n'en avait donné à M. de Turenne j mais qui, par la réflexion que je fis que j'avais long-temps cherché... | |
| Joseph Fr. Michaud - 1837 - 642 pages
...monde eust perdu le sens. Il me respondit: « Effectivement, » je crois que ce pourroit bien estre des diables. » Comme nous avions déjà fait cinq ou six pas du costé de la Savonnerie, et que nous estions par conséquent plus proches du spectacle, je commençai... | |
| Jacques Albin S. Collin de Plancy - 1844 - 616 pages
...me répondit : « Effectivement , je crois que со pourraient bien êlre des diables. » — Connue nous avions déjà fait cinq ou six pas du côté...qui me donna d'abord plus d'émotion qu'elle n'en avait donné à M. do Turenne, mais qui par la réflexion que je fis que j'avais long-temps cherché... | |
| Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy - 1844 - 672 pages
...Il me répondit : a Effeclivement , je crois que ce pourraient bien êlre des diables. » — Commo nous avions déjà fait cinq ou six pas du côté...qui me donna d'abord plus d'émotion qu'elle n'en avait donné à M. du Turenne , mais qui par la réflexion que je fis que j'avais long-temps cherché... | |
| François Lélut - 1846 - 402 pages
...que tout le monde avait perdu le sens. Il me répondit : « Effectivement, je crois que ce pourraient bien être des diables. » Comme nous avions déjà...Savonnerie , et que nous étions par conséquent plus proche du spectacle, je commençai à entrevoir quelque chose , et ce qui m'en parut fut une longue... | |
| François Lélut - 1846 - 472 pages
...répondit : « Effectivement, je crois que ce pourraient bien être des diables. » Comme nous auons déjà fait cinq ou six pas du côté de la Savonnerie , et que nous étions par conséquent plus proche du spectacle, je commençai à entrevoir quelque chose , et ce qui m'en parut fut une longue... | |
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