Oeuvres complètes, Volume 531792 |
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Expressions et termes fréquents
affez affure Agamemnon ainfi anges apôtres Arabes Arius auffi Boileau c'eft c'eſt caufe Céfar cents chap chofe chrétiens Clément d'Alexandrie compofé DIEU dieux difait difciple difpute efprit enfans enfuite ère vulgaire eſt Euripide Eusèbe évêque facré fage faint fang fans favans favant favoir fcène fe trouve fecond fefait felon femble femme fens fent fept ferait fervir feul fibylles fiècle fille foit foldat fommes fon fils font fous fouvent fubjugué fuivant fujet fur-tout Grecs hiftoire hommes Iphigénie jamais Jérufalem JESUS JESUS-CHRIST jufqu'à jufte juftice Juifs l'ame l'efprit l'Églife l'hiftoire l'inquifition laiffer livre livre de Job long-temps Mahomet manger mille Moife mort n'eft nations néceffaires paffage paffer parle Perfes perfonnages perfonne peuples philof philofophes plaifir plufieurs poëte préfent prefque premier prêtres puiffance qu'un Quinault raifon reffemble refte Romains s'eft Samaël St Clément St Jean St Paul St Pierre temple théâtre Thot tragédie tribu d'As verf
Fréquemment cités
Page 335 - L'Art poétique de Boileau est admirable, parce qu'il dit toujours agréablement des choses vraies et utiles, parce qu'il donne toujours le précepte et l'exemple, parce qu'il est varié, parce que l'auteur, en ne manquant jamais à la pureté de la langue, Sait d'une voix légère Passer du grave au doux, du plaisant au sévère.
Page 9 - Si les anciens avaient plus d'esprit que nous, c'est donc que les cerveaux de ce temps-là étaient mieux disposés, formés de fibres plus fermes ou plus délicates, remplis de plus d'esprits animaux ; mais en vertu de quoi les cerveaux de ce temps-là auraient-ils été mieux disposés ? Les arbres auraient donc été aussi plus grands et plus beaux ; car si la nature était alors plus jeune et plus vigoureuse, les arbres aussi bien que les cerveaux des hommes auraient dû se sentir de cette vigueur...
Page 319 - Mais, sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable Comédie, avec lui terrassée, En vain d'un coup si rude espéra revenir Et sur ses brodequins ne put plus se tenir. Tel fut chez nous le sort du théâtre comique.