Histoire de France depuis les Gaulois jusqu'à la mort de Louis XVI, Volume 2Felix Locquin, 1845 |
Autres éditions - Tout afficher
Histoire de France depuis les Gaulois jusqu'à la mort de Louis XVI. Louis-Pierre Anquetil Affichage du livre entier - 1818 |
Histoire de France, depuis les Gaulois jusqu'à la mort de Louis XVI, Volume 2 Louis Pierre Anquetil Affichage du livre entier - 1825 |
Histoire de France, depuis les Gaulois jusqu'à la mort de Louis XVI, Volume 2 Louis Pierre Anquetil Affichage du livre entier - 1825 |
Expressions et termes fréquents
Anglais armée armes attaquer avaient bataille Bourbon Bourguignon c'était calvinistes capitaines cardinal cardinal de Lorraine Catherine catholiques chancelier chargé Charles VII Charles-Quint château chefs Coligni commandement comte confédérés connétable conseil cour couronne d'Amboise d'Angleterre dauphin déclara demanda dessein devait donner duc d'Anjou duc d'Orléans duc de Bourgogne duc de Bretagne duc de Guise duché duché de Milan Dunois enfans ennemis envoya épouse espérances états faisait Ferdinand fille fils firent force François frère garnison général gouvernement grace guerre Guyenne habitans Henri l'amiral l'armée l'empereur laissa ligue Lorraine Louis XII lui-même main maison maréchal mariage Maximilien ment Milan mille hommes ministres monarque Montmorenci mort n'avait n'était Navarre négociation paix pape passer pendant père peuple porter pouvait prince de Condé princesse prisonnier prit provinces reine reine-mère religion rendre reste royaume de Naples s'était secours seigneurs serait seulement Sforce siége sire soldats sorte Suisses tion traité trève troupes trouva Vénitiens villes voulait
Fréquemment cités
Page 627 - Eclate par soi-même, et moi par ma grandeur. Si du côté des dieux je cherche l'avantage, Ronsard est leur mignon et je suis leur image. Ta lyre, qui ravit par de si doux accords, Te soumet les esprits dont je n'ai que les corps ; Elle t'en rend le maître, et te fait introduire Où le plus fier tyran n'a jamais eu d'empire ; Elle amollit les cœurs et soumet la beauté : Je puis donner la mort, toi l'immortalité.
Page 551 - Le vieillard averti arrive, met la chaîne d'or et la boîte au cou de sa fille , prend l'enfant tout nu dans un pan de sa robe , et s'en va en disant : « Voilà qui est à vous , ma • fille, mais ceci est à moi.
Page 404 - Voyez-vous, mon frère, cette belle dame, » elle est d'avis que je ne vous laisse pas sortir de Paris que vous » n'ayez révoqué le traité de Madrid. » Charles fronça le sourcil, et répondit froidement : « Si l'avis est bon, il faut le suivre.
Page 85 - plaisir de Dieu, nous trouverons aucuns de notre sang qui » nous aideront mieux à maintenir et entretenir notre honneur » et seigneurie que vous n'avez fait jusques à ici (1).
Page 339 - Tu es bien heureuse, dit-il en s'adressant à son épée, d'avoir aujourd'hui, à un si beau et si puissant roi, donné l'ordre de la chevalerie; certes, ma bonne épée, vous serez comme reliques gardée, et sur toute autre honorée.
Page 85 - Par ma foi, beau-frère et beau-cousin, je vous v dois aimer par-dessus tous les autres princes de » ce royaume, et ma belle cousine votre femme; « car, si vous et elle ne fussiez , je fusse demeuré » à toujours au danger de mes adversaires, et n'ai » trouvé meilleur ami que vous.
Page 204 - ... les abus qui peuvent être échappés à sa connaissance , et que vous ne lui déguisiez aucun des maux qui affligent le peuple. Ne craignez pas que vos plaintes soient importunes. Le roi aura égard à vos remontrances. Et vous , princes qui m'écoutez, je vous supplie et vous adjure au nom de la patrie, notre mère commune , d'oublier tout esprit de parti et de laisser aux députés une pleine et entière liberté.
Page 65 - Je ne suis pas venue, répondit-elle, pour » faire des signes; mais conduisez-moi à Orléans, et je vous donnerai » des signes certains de ma mission.
Page 109 - ... afin d'éviter toute discussion, que l'abolition de la pragmatique était une résolution définitivement prise par le monarque , et dans la lettre qu'il lui écrivit à ce sujet, il disait: «En cela vous vous montrez un grand roi, qui ne se laisse pas gouverner, mais qui gouverne lui-même. Vous ne voulez pas mettre en délibération ce que vous savez devoir être fait ; c'est là véritablement être roi et bon roi.
Page 604 - Nous vous jurons que vous en au-' rez nouvelles; car nous y mènerons si bien les mains à tort et à travers, qu'il en sera mémoire à jamais.