Morceaux choisis des classiques français: prose et versHachette, 1878 - 324 pages |
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... sang lancent d'affreux éclairs , Et les rapides dards de leur langue brûlante S'agitent en sifflant dans leur gueule béante . Tout fuit épouvanté . Le couple monstrueux Marche droit au grand - prêtre ; et leur corps tortueux D'abord ...
... sang lancent d'affreux éclairs , Et les rapides dards de leur langue brûlante S'agitent en sifflant dans leur gueule béante . Tout fuit épouvanté . Le couple monstrueux Marche droit au grand - prêtre ; et leur corps tortueux D'abord ...
Page 13
... sang , le traîna sur l'arène . Je vois ses pieds encore et meurtris et percés Des indignes liens qui les ont traversés . Hélas ! qu'en cet état de lui - même il diffère ! Ce n'est plus cet Hector , ce guerrier tutélaire , Qui , des ...
... sang , le traîna sur l'arène . Je vois ses pieds encore et meurtris et percés Des indignes liens qui les ont traversés . Hélas ! qu'en cet état de lui - même il diffère ! Ce n'est plus cet Hector , ce guerrier tutélaire , Qui , des ...
Page 22
... sang coulait déjà à l'aile droite : la cavalerie était arrivée . L'assaut des barbares fut terrible . Plus d'une fois les Romains s'étaient mesurés avec eux en bataille rangée ; mais dans toutes les occasions précédentes ils avaient eu ...
... sang coulait déjà à l'aile droite : la cavalerie était arrivée . L'assaut des barbares fut terrible . Plus d'une fois les Romains s'étaient mesurés avec eux en bataille rangée ; mais dans toutes les occasions précédentes ils avaient eu ...
Page 23
... sang et à du feu . La plupart ne laissent croître leur barbe qu'au - dessus de la bouche , afin de donner à leurs lèvres plus de ressemblance avec le mufle des dogues et des loups . Les uns chargent leur main droite d'une lon- gue ...
... sang et à du feu . La plupart ne laissent croître leur barbe qu'au - dessus de la bouche , afin de donner à leurs lèvres plus de ressemblance avec le mufle des dogues et des loups . Les uns chargent leur main droite d'une lon- gue ...
Page 24
... sang , la main frémit sur l'épée . Les chevaux se cabrent , creusent l'arène , secouent leur crinière , frappent de leur bouche écumante leur poitrine enflammée , ou lèvent vers le ciel leurs naseaux brûlants pour respirer les sons ...
... sang , la main frémit sur l'épée . Les chevaux se cabrent , creusent l'arène , secouent leur crinière , frappent de leur bouche écumante leur poitrine enflammée , ou lèvent vers le ciel leurs naseaux brûlants pour respirer les sons ...
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Morceaux Choisis Des Classiques Français: Prose Et Vers (Classic Reprint) Augustin Pellissier Aucun aperçu disponible - 2017 |
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Expressions et termes fréquents
1er ordre AGAMEMNON âme ANDROMAQUE Bataille d'Andrinople beau beauté bonheur BOSSUET bras bruit CASIMIR DELAVIGNE chant charme CHATEAUBRIAND cher chose chrétienne ciel cieux Cinna CLASSE DE 3e cœur Corneille DELILLE Didier édit Dieu dieux dire donne doux enfants enfin ESOPE esprit Eustache Le Sueur FÉNELON fille fils fleurs flots FONTAINE front gens gloire goût Grecs HACHETTE HARPAGON heureux Homère hommes HORACE humain j'ai JACQUES jamais jeune jour Klephte l'âme l'art l'esprit l'homme l'univers laisse LAMARTINE larmes LOUIS RACINE main maître malheur mère Michel Lévy édit MOLIÈRE monde monsieur morale mort mourir nature NÉARQUE noble nuit orateur ouvrages passer passion pauvre pensée père peuple philosophe plaisir plaisirs pleurs poésie poëte POLYEUCTE qu'à qu'un RACINE rien rois Rousseau Saint Louis SAINT-MARC GIRARDIN sang seigneur sentiments sera seul siècle soir soleil sort Sosie talent terre tion tombe Trad triste vertu veux Virgile voilà voix VOLTAIRE yeux
Fréquemment cités
Page 288 - De sorte que toute la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un même homme qui subsiste toujours et qui apprend continuellement...
Page 170 - Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté et l'indépendance, est aussi le seul qui se glorifie de faire la loi aux rois, et de leur donner, quand il lui plaît, de grandes et de terribles leçons...
Page 172 - Un homme s'est rencontré d'une profondeur d'esprit incroyable, hypocrite raffiné autant qu'habile politique, capable de tout entreprendre et de tout cacher, également actif et infatigable dans la paix et dans la guerre, qui ne laissait rien à la fortune de ce qu'il pouvait lui ôter par conseil et par prévoyance; mais au reste si vigilant et si prêt à tout, qu'il n'a jamais manqué les occasions qu'elle lui a présentées ; enfui un de ces esprits remuants et audacieux, qui semblent être...
Page 222 - Tous les jours à la cour un sot de qualité ' Peut juger de travers avec impunité ; A Malherbe , à Racan , préférer Théophile , Et le clinquant du Tasse à tout l'or de Virgile.
Page 218 - Bientôt l'amour, fertile en tendres sentiments, S'empara du théâtre ainsi que des romans. De cette passion la sensible peinture Est pour aller au cœur la route la plus sûre.
Page 80 - Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie! La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie. Je ne dormirai point sous de riches lambris : Mais voit-on que le somme en perde de son prix?
Page 288 - ... d'où l'on voit avec combien d'injustice nous respectons l'antiquité dans ses philosophes ; car, comme la vieillesse est l'âge le plus distant de l'enfance, qui ne voit que la vieillesse dans cet homme universel ne doit pas être cherchée dans les temps proches de sa naissance, mais dans ceux qui en sont les plus éloignés?
Page 137 - Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle; Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage...
Page 217 - Mais lorsque vous peignez les hommes, il faut peindre d'après nature ; on veut que ces portraits ressemblent ; et vous n'avez rien fait, si vous n'y faites reconnaître les gens de votre siècle.
Page 171 - Vous verrez dans une seule vie toutes les extrémités des choses humaines, la félicité sans bornes aussi bien que les misères; une longue et paisible jouissance d'une des plus nobles couronnes de l'univers...