Cours théorique et pratique de grammaire française1828 - 80 pages |
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... regarder comme ne faisant qu'une seule et même famille , les hommes ne se lient que pour se tromper les uns et les autres . Les corps célestes s'at- tirent les uns et les autres , en raison de leur masse et de leur distance . A dire ...
... regarder comme ne faisant qu'une seule et même famille , les hommes ne se lient que pour se tromper les uns et les autres . Les corps célestes s'at- tirent les uns et les autres , en raison de leur masse et de leur distance . A dire ...
Page 287
... regarder quelqu'un avec une tendre affec- tion ( familier ) . Le feu couve sous la cendre , Couvrir quel- qu'un ou quelque chose de boue , de sang , de poussière , etc. Se couvrir ( mettre son chapeau ) devant quelqu'un . Craindre ...
... regarder quelqu'un avec une tendre affec- tion ( familier ) . Le feu couve sous la cendre , Couvrir quel- qu'un ou quelque chose de boue , de sang , de poussière , etc. Se couvrir ( mettre son chapeau ) devant quelqu'un . Craindre ...
Page 308
... regarder fixement une personne , et non pas fixer une personne . Se fixer à une chose , s'y arrêter . Flatter la vanité , les passions . Tout le monde me flatte d'un heureux succès . Je me flatte que vous viendrez . Je me flatte d ...
... regarder fixement une personne , et non pas fixer une personne . Se fixer à une chose , s'y arrêter . Flatter la vanité , les passions . Tout le monde me flatte d'un heureux succès . Je me flatte que vous viendrez . Je me flatte d ...
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... regarder fixement une personne , et non pas fixer une personne . Se fixer à une chose , s'y arrêter . Flatter la vanité , les passions . Tout le monde me flatte d'un heureux succès . Je me 1897 9 flatte que vous viendrez . Je me flatte ...
... regarder fixement une personne , et non pas fixer une personne . Se fixer à une chose , s'y arrêter . Flatter la vanité , les passions . Tout le monde me flatte d'un heureux succès . Je me 1897 9 flatte que vous viendrez . Je me flatte ...
Page 339
... Regarder quelqu'un . Regarder devant soi , derrière soi , à travers une haie , par la fente d'une porté . Regarder quelqu'un de haut en bas , de travers , de côté , de mau- vais œil , avec mépris , en pitié , en face , entre deux yeux ...
... Regarder quelqu'un . Regarder devant soi , derrière soi , à travers une haie , par la fente d'une porté . Regarder quelqu'un de haut en bas , de travers , de côté , de mau- vais œil , avec mépris , en pitié , en face , entre deux yeux ...
Expressions et termes fréquents
action adjectifs adjectifs démonstratifs Adjectifs indéfinis adjectifs possessifs adverbe affaire aimé ou aimée arbre aurait avant avez cheval chose cœur conduite conjonction Conjuguez consonne crainte devant Dieu dire discours doit douleur écrire employer enfans ennemis esprit êtes eussiez excepté EXERCICE exprime familier féminin femme Féraud fini frère gens gloire goût h aspirée homme honneur infinitif J'ai J'aime jamais l'Académie l'adjectif l'autre l'infinitif Laveaux lettre long-temps lorsqu'il main maison malheureux marque masculin ment mérite monde mort mots mourir négative nombre nombre cardinal ouvrage parler pauvre pense père personne peuple phrase pied plaisir plaisirs pluriel PLUS-QUE-PARFAIT précédé première conjugaison prendre préposition présent prince pronom pronom indéfini pronom relatif pronoms personnels prononce propre qu'un quelquefois reçu régime direct rendu rien s'emploie s'est sens serait seul signifie singulier sommes sorti subjonctif substantif suivi sujet terre tion tombé ou tombée Trévoux usage vaisseau verbe vertu vice vigogne Voltaire voyelle
Fréquemment cités
Page 500 - Quel plaisir de penser, et de dire en vous-même : « Partout , en ce moment , on me bénit , on m'aime : On ne voit point le peuple à mon nom s'alarmer ; Le Ciel dans tous leurs pleurs ne m'entend point nommer, Leur sombre inimitié ne fuit point mon visage ; Je vois voler partout les cœurs à mon passage !
Page 404 - C'est de là que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de parler aux yeux, Et, par les traits divers de figures tracées, Donner de la couleur et du corps aux pensées.
Page 145 - Un cordonnier, en faisant des souliers, ne saurait gâter un morceau de cuir, qu'il n'en paye les pots cassés ; mais ici l'on peut gâter un homme sans qu'il en coûte rien. Les bévues ne sont point pour nous, et c'est toujours la faute de celui qui meurt. Enfin le bon de cette profession est qu'il ya parmi les morts une honnêteté, une discrétion la plus grande du monde ; et jamais on n'en voit se plaindre du médecin qui l'a tué.
Page 242 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 200 - Jean s'en alla comme il était venu , Mangea le fonds avec le revenu , Tint les trésors chose peu nécessaire. Quant à son temps , bien le sut dispenser : Deux parts en fit, dont il soûlait' passer L'une à dormir, et l'autre à ne rien faire.
Page 366 - On peut dire que les vices nous attendent dans le cours de la vie, comme des hôtes chez qui il faut successivement loger; et je doute que l'expérience nous les fît éviter s'il nous était permis de faire deux fois le même chemin.
Page 7 - Traduisez : le mien le tien le sien le nôtre le vôtre le leur la mienne la tienne la sienne la nôtre la vôtre la leur les miens les tiens...
Page 376 - Que dis-je ? cet aveu que je te viens de faire , Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire? Tremblante pour un fils que je n'osais trahir, Je te venais prier de ne le point haïr : Faibles projets d'un cœur trop plein de ce qu'il aime ! Hélas!
Page 14 - Je reçois. Tu reçois. Il reçoit. Nous recevons. Vous recevez. Ils reçoivent. IMPARFAIT. Je recevais. Tu recevais. Il recevait. Nous recevions. Vous receviez. Ils recevaient. PASSÉ DÉFINI.
Page 501 - Le bien de la fortune est un bien périssable ; Quand on bâtit sur elle, on bâtit sur le sable; Plus on est élevé, plus on court de dangers; Les grands pins sont en butte aux coups de la tempête, Et la rage des vents brise plutôt le faîte Des maisons de nos rois, que les toits des bergers.