Œuvres de Frédéric le Grand ...R. Decker, 1855 |
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Expressions et termes fréquents
27 septembre Adieu affaires amitié août armée arrivé assurant Autrichiens avez avons avril b Voyez Baireuth bataille bataillons Berlin Bohême bonne bonté Breslau Brunswic Camp campagne cent cher frère choses cœur comte corps cour de Vienne crois daignez Daun décembre demain donner Dresde embrasse envoyé fera février Frédéric au prince Freyberg Fürstenwalde général guerre Henri à Frédéric hussards J'ai reçu j'en j'espère janvier jours juillet juin l'armée l'Elbe l'Empereur l'ennemi l'estime l'Impératrice Leitmeritz lettre Loudon Lusace m'en MADAME mande margrave Meissen ment mille hommes mois mort n'ai nouvelles novembre obligé octobre paix parfaite tendresse passé penser Pétersbourg plaisir Potsdam pourra prendre présent Prince de Prusse prince Ferdinand prince Henri princesse régiment Reine reste Rheinsberg rien Russie santé saurais Saxe Schönhausen Schönwalde Schwedt Schweidnitz sentiments septembre sera Seydlitz Silésie sœur Amélie souhaite soyez persuadé sûr tendresse infinie Torgau très-cher frère troupes trouve Turcs vœux Voilà XXIV Zittau
Fréquemment cités
Page 355 - L'honneur des événements que nous prévoyons, lui écrit-il, vous sera dû , mon cher frère, car c'est vous qui avez placé le premier la pierre angulaire de cet édifice ; et sans vous je n'aurais pas cru pouvoir former de tels projets, ne sachant pas bien, avant votre voyage de Pétersbourg, dans quelles dispositions cette cour se trouvait en ma faveur.
Page 180 - Si je suis tué, il faut sur-le-champ que toutes les armées prêtent le serment de fidélité à mon neveu. 2° Il faut continuer d'agir avec tant d'activité que l'ennemi ne s'aperçoive d'aucun changement dans le commandement. 3...
Page 344 - Autrichiens; car, en vérité , elles ne sont pas acceptables. Ce qui regarde la Valachie, ne peut en aucune façon s'ajuster avec le système autrichien; premièrement, ils ne quitteront jamais l'alliance de la France, et, en second lieu, ils ne souffriront jamais les Russes dans leur voisinage. Vous pouvez regarder cette pièce comme une déclaration de guerre. On se moque de nous en nous donnant un tel leurre ; pour moi , qui ne puis en aucune façon me compromettre par complaisance pour la Russie,...
Page 181 - ... campagne, l'ennemi, las, fatigué et épuisé par la guerre, sera le premier à désirer la paix; je me flatte que l'on y parviendra pendant le cours de cet hiver. Voilà tout ce que je puis vous dire des affaires, en gros; quant au détail, ce sera...
Page 227 - Peut-êlre croirez-vous que M. Loudon me rend grognard et fâcheux; je ne disconviens pas qu'il en pourrait Être quelque chose, et que, si nous l'avions bien battu, je m'adoucirais pour le genre humain... » Tout cela est spirituel et gaiement dit, pour être écrit dans un camp, et surtout si l'on se reporte aux circonstances. Et toutefois il n'ya pas une de ces lettres qui soit, à proprement parler, agréable : il y en a de vraies, de fortes...
Page 321 - ... ce que vous pourrez de l'admiration qu'elle inspire à tout le monde, enfin tout ce qu'il faut. Vous aurez le temps, en voyage, de recueillir un magasin de louanges dont vous pourrez vous servir dans l'occasion. Si elle veut vous donner son ordre, il faut l'accepter. Enfin, je m'en rapporte bien, au reste, sur votre bon esprit qui tirera parti de toutes les occasions qui se présenteront là-bas. Je suis bien fâché de n'avoir pas su cela plus tôt; j'aurais pu vous mettre au fait de bien des...
Page 349 - Prusse polonaise eu vaudrait la peine, quand même Danzig n'y serait pas compris, car nous aurions la Vistule et la communication libre avec le royaume, ce qui ferait un article important.
Page 165 - Mon cher cœur, aujourd'hui un mois du jour de votre gloire, j'ai été assez heureux de traiter les Autrichiens ici de même.
Page xvi - J'aurai de grandes considérations pour la reine, ma mère, je la rassasierai d'honneurs, mais je ne souffrirai point qu'elle se mêle de mes affaires, et si elle le fait, elle trouvera à qui parler. » Je tombai de mon haut en entendant tout cela ; je ne savois si je dormois ou si je veillois.
Page 182 - J'ai tourné les Russes toute cette matinée; je les ai attaqués à neuf heures; nous sommes restés dans un feu épouvantable jusqu'à sept heures du soir. La bataille du poste de Quartschen fut gagnée à deux heures, après quoi nous avons été sur le point d'être battus totalement; et par trois succès différents, où je n'ai pas toujours trouvé tout le secours possible dans l'infanterie , je les ai battus. Je suis très- content de la cavalerie.