Histoire de l'unité politique et territoriale de la France, Volume 3Hachette et cie, 1880 |
Autres éditions - Tout afficher
Histoire de l'unité politique et territoriale de la France, Volume 3 Jean Baptiste Paquier Affichage du livre entier - 1880 |
Histoire de l'unité politique et territoriale de la France, Volume 3 Jean Baptiste Paquier Affichage du livre entier - 1880 |
Histoire de l'unité politique et territoriale de la France, Volume 3 Jean Baptiste Paquier Aucun aperçu disponible - 1880 |
Expressions et termes fréquents
abus administrative affaires alliés armée assemblées avaient Boisguillebert Bonaparte C'était cent citoyens civile classes clergé commerce complète conseil Constitution de 1791 Constitution de l'an Consulat Convention Corps législatif décret départements despotisme devait Directoire dix-huitième siècle ecclésiastiques économique établi États féodal financière général gouvernement guerre hommes idées impôts institutions justice l'administration l'ancien l'Angleterre l'Assemblée l'Autriche l'empereur l'Empire l'État l'Europe l'impôt l'industrie l'œuvre liberté Louis XIV Louis XVI lutte membres ment mesures militaire mille millions ministre monarchie n'avait n'était Napoléon Napoléon Ier nation nationale noblesse nouveau nouvelle numéraire OCEAN ATLANTIQUE paix partout peuple pouvait pouvoir exécutif Premier Consul prince principe privilèges propriété provinces Prusse publique puissance reconstituer réformes régime réorganisation République reste Révolution française révolutionnaire Rhin richesse royal royaume ruine s'était seule situation sociale société surtout système Talleyrand tard territoire tion traité traité de Campo-Formio traité de Presbourg traités de Bâle traités de Lunéville tribunaux trouvait Turgot UNITÉ POLITIQUE Unité territoriale
Fréquemment cités
Page 103 - La Révolution française n'est que l'avant-courrière d'une autre révolution bien plus grande, bien plus solennelle, et qui sera la dernière.
Page 200 - N'y at-il pas des motifs particuliers qui doivent plus fortement nous attacher à Napoléon I", notre empereur? — R. Oui, car il est celui que Dieu a suscité dans les circonstances difficiles pour rétablir le culte public de la religion sainte de nos pères, et pour en être le protecteur. Il a ramené et conservé l'ordre public par sa sagesse profonde et active ; il défend...
Page 177 - SM l'empereur et Roi, tant en son nom qu'en' celui de l'empire Germanique, consent à ce que la république Française possède désormais, en toute souveraineté et propriété, les pays et domaines situés à la rive...
Page 232 - Toutefois j'embarquai fort mal toute cette affaire, je le confesse; l'immoralité dut se montrer par trop patente, l'injustice par trop cynique, et le tout demeure fort vilain, puisque j'ai succombé; car l'attentat ne se présente plus que dans sa hideuse nudité, privé de tout le grandiose, et des nombreux bienfaits qui remplissaient mon intention. La postérité l'eût préconisé pourtant si j'avais réussi...
Page 96 - Cette opération faite , vous verrez le capitaliste qui désire un roi , parce qu'il a un roi pour débiteur, et qu'il craint de perdre sa créance si son débiteur n'est pas rétabli , désirer la République , qui sera devenue sa débitrice , parce qu'il craindra de perdre son capital en la perdant.
Page 104 - Disparaissez enfin, révoltantes distinctions de riches et de pauvres, de grands et de petits, de maîtres et de valets, de gouvernants et de gouvernés.
Page 195 - Une sorte d'inspiration surnaturelle anime toutes leurs pensées : un mouvement irrésistible est donné à toutes leurs entreprises. La multitude les cherche encore au milieu d'elle, et ne les trouve plus ; elle lève les yeux en haut, et voit, dans une sphère éclatante de lumière et de gloire, celui qui ne semblait qu'un téméraire aux yeux de l'ignorance et de l'envie.
Page 63 - ... à un revenu égal à la valeur locale de deux cents journées de travail, ou d'être locataire d'une...
Page 159 - Que chacun oc»cupe son poste dans le mouvement national et » militaire qui se prépare. Les jeunes gens combattront, les hommes mariés forgeront les ar«mes, transporteront les bagages et l'artillerie, «prépareront les subsistances ; les femmes...
Page 241 - Tout est consommé ; j'ai apposé hier, plus mort que vif, mon nom à ce fatal traité. J'avais juré de ne pas le faire , et je l'avais dit au roi ; ce malheureux prince m'a conjuré , en fondant en larmes, de ne pas l'abandonner , et dès ce moment je n'ai pas hésité.