Histoire des Celtes et particulièrement des Gaulois et des Germains depuis les temps fabuleux jusqu'à la prise de Rome par les Gauloischez Isaac Beauregard, 1740 - 574 pages |
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Histoire des Celtes et particulièrement des Gaulois et des ..., Volume 1 Simon Pelloutier Aucun aperçu disponible - 1740 |
Expressions et termes fréquents
affez Ainfi anciens habitans apud Athen atque auffi avoient avoit Baftarnes barbares C'eft Cæfar Celtes étoient Celtiberes Celtique chaffe CHAP chofe Cimbres conftant coûtume cùm Danube demeuroient Diod Diodore Diodore de Sicile Dionyf Editio effe enfuite etiam étoient étoit Excerpta faifoient faifoit fans feftins felon fent feroces fervir feulement fignifie Florus foit font fous fuam fuffent fuivant fujet funt Galli Gaules Gaulois gentes Germ Germanie Getes Grecs guerre habent Halic Herodot Hift Idem inter jufqu'à Juftin Jules-Céfar Langue Livius Mela n'avoient n'eft n'étoit nation Note paffage paffer païs Pelafges Perfes perfonne peuples Celtes ples Plin plufieurs Plutarch Polyb portoient prémiere Ptolem quæ quàm quod raifon refte remarque Romains Sarmates Scythes Sicanes Sicile Sicules Solin Steph Stra Strabo VII Sueves Tacit Tacite Thraces toûjours Tufces ufage verò voifins Voyez auffi Voyez ci-deffus
Fréquemment cités
Page 81 - Pelloutier les attribue au fait que la langue grecque conserve un très-grand nombre de mots qui viennent originairement de l'ancien scythe, dont le gaulois, le tudesque et le thrace étaient des dialectes.
Page 400 - Romaines : ils n'en différent , difentils , qu'en ce que les peuples du Nord , ayant d'abord gravé leurs lettres fur le bois & fur la pierre , trouvèrent qu'il étoit plus facile & plus commode de tracer toutes les lettres en lignes droites, & d'éviter tous les contours ou les arrondiflfements.
Page 461 - Diane ; il y en a qui offrent à cette déesse une bourse pleine d'argent qu'ils ont amassé durant le cours de l'année. Ils y mettent pour chaque lièvre qu'ils ont pris deux oboles...
Page 77 - CL ) ils offraient leurs sacrifices et faisaient leurs dévotions autour d'une colonne, d'une pierre, ou de quelque grand arbre, particulièrement d'un chêne, pour lequel ils avaient une vénération singulière. J'indiquerai ailleurs l'origine de cette superstition. La connaissance du vrai Dieu s'altéra insensiblement chez les Gaulois.
Page 9 - ... les défendoient avec la même fureur , que pourroit le faire un de ces avares , à qui l'on arracheroit la vie plutôt que leur tréfor. Les Arimajpes ( i ) , hominem immolari gentium earum more folitum : quod paulùm à jnandendo abeft.
Page 241 - Au furplus, je ne disconviens pas que dans des temps de famine , & dans d'autres cas de néce£ fîté , les Scythes & les Celtes n'ayent pu être réduits à manger de la chair humaine ;, mais on trouvera de Semblables exemples chez tous les autres peuples.
Page 239 - Celtes par tant d'autres endroits , qu'il ne feroit pas furprenant que l'on trouvât encore ce trait de conformité entre les anciens 8c les nouveaux Barbares.
Page 508 - Quand une armée commençait à plier, elles couraient comme des furieuses au-devant des fuyards , et les contraignaient par des prières , des reproches , des menaces et même des coups, à retourner au combat , pour y chercher la mort ou la victoire (Tac. Germ. 7, 8). Les Ambrons, dit Plutarque, ayant été battus par Marius , furent poursuivis jusqu'à leurs charriots. L'armée victorieuse trouva là les femmes des Ambrons, qui armées d épées et de haches , jetaient des cris et résistaient...
Page 229 - ... qu'il promenoit en triomphe par toute l'armée , à la pointe d'une lance , ou à l'arçon de fa felle , afin que (74) chacun le félicitât , & bénît Dieu de la viétoire qu'il venoit de remporter.