Le lecteur français, ou choix de morceaux en prose et en vers des plus célèbres écrivains français, par W. Lundy1858 |
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... voix , la discorde et la guerre cessent de faire retentir leurs clameurs orgueilleuses . Dieu de bonté , auteur de tous les êtres , vos regards paternels embrassent tous les objets de la création ; mais l'homme est votre être de choix ...
... voix , la discorde et la guerre cessent de faire retentir leurs clameurs orgueilleuses . Dieu de bonté , auteur de tous les êtres , vos regards paternels embrassent tous les objets de la création ; mais l'homme est votre être de choix ...
Page 6
... voix et dit : Je vais dresser une potence , et je servirai de bourreau . Vous fré- missez d'indignation . Eh bien , mes frères , chacun de vous est cet homme inhuman . Il n'y a plus de Juif , aujourd'hui pour crucifier Jésus - Christ ...
... voix et dit : Je vais dresser une potence , et je servirai de bourreau . Vous fré- missez d'indignation . Eh bien , mes frères , chacun de vous est cet homme inhuman . Il n'y a plus de Juif , aujourd'hui pour crucifier Jésus - Christ ...
Page 13
... le désert paraît encore muet de terreur , et l'on dirait qu'il n'a osé rompre le silence depuis qu'il a entendu la voix de l'Eternel . Chateaubriand . DISCOURS ET MORCEAUX ORATOIRES . XVII . MORT DE TURENNE LE LECTEUR FRANÇAIS . 13.
... le désert paraît encore muet de terreur , et l'on dirait qu'il n'a osé rompre le silence depuis qu'il a entendu la voix de l'Eternel . Chateaubriand . DISCOURS ET MORCEAUX ORATOIRES . XVII . MORT DE TURENNE LE LECTEUR FRANÇAIS . 13.
Page 15
... voix haute et d'un air gai : ઃઃ " Voyez maintenant , sages Indiens , une preuve incon- testable de ma bonne foi . Vous , guerrier , qui tenez mon arme tranchante , frappez de toute votre force loin de séparer ma tête de mon corps ...
... voix haute et d'un air gai : ઃઃ " Voyez maintenant , sages Indiens , une preuve incon- testable de ma bonne foi . Vous , guerrier , qui tenez mon arme tranchante , frappez de toute votre force loin de séparer ma tête de mon corps ...
Page 19
... voix qui vous fut connue , vous met- trez fin à tous ses discours . Au lieu de déplorer la mort des autres , grand prince , dorénavant je veux apprendre de vous à rendre la mienne sainte : heureux si , averti par ces cheveux blancs du ...
... voix qui vous fut connue , vous met- trez fin à tous ses discours . Au lieu de déplorer la mort des autres , grand prince , dorénavant je veux apprendre de vous à rendre la mienne sainte : heureux si , averti par ces cheveux blancs du ...
Expressions et termes fréquents
Achab Adieu Agamemnon amour Andromaque Athalie avez beaux yeux belle marquise Béranger Berceau Bossuet Bourgeois Gentilhomme bras Brut Buffon Calchas Cés César charmant pays CHŒUR.-Aux armes chose ciel cieux Cinna citoyens Clé cœur combat crime Cris Crispin cruelle d'amour d'arm Dieu Dieux dire discours dois tant chérir éclairez l'univers enfin Est-ce êtes Fénélon fesait fille flots frère fureur génie Gér gloire guerre Hélas héros heureuse enfance Homère homme j'ai Jours de triomphe L'exilé partout Laquais long-temps m'en main maître à danser Maître de musique malheur Massillon Misanthrope mœurs Molière monde Monsieur le philosophe mort mourir d'amour Oronte Oros parle partout est seul père peuple phil pleurez Polyclète prose qu'un quitter c'est mourir Racine regards révère rien rois Rome sang Scène Scru siècle soupirs sublime Tartuffe temple terre Turenne vertu veux Voilà vois voit voix voix des morts Voltaire voulez-vous Zaï Zaïre zèle
Fréquemment cités
Page 62 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte.
Page 67 - Fille d'Agamemnon, c'est moi qui, la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de père; C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux, Et pour qui, tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.
Page 52 - J'aime mieux ma mie. La rime n'est pas riche, et le style en est vieux; Mais ne voyez-vous pas que cela vaut bien mieux Que ces colifichets dont le bon sens murmure, Et que la passion parle là toute pure? Si le roi m'avait donné Paris, sa grand'villc, Et qu'il me fallût quitter L'amour de ma mie ! Je dirais au roi Henri : Reprenez votre Paris; J'aime mieux ma mie, à gué I J'aime mieux ma mie.
Page 69 - Et moi, qui l'amenai triomphante, adorée, Je m'en retournerai seule et désespérée ! Je verrai les chemins encor tout parfumés Des fleurs dont sous ses pas on les avait semés ! Non, je ne l'aurai point amenée au supplice, Ou vous ferez aux Grecs un double sacrifice.
Page 77 - Ciel ! à qui voulez-vous désormais que je fie Les secrets de mon âme et le soin de ma vie ? Reprenez le pouvoir que vous m'avez commis, Si, donnant des sujets, il ôte les amis ; Si tel est le destin des grandeurs souveraines, Que leurs plus grands bienfaits n'attirent que des haine» Et si votre rigueur les condamne à chérir Ceux que vous animez à les faire périr.
Page 66 - Mon père, Cessez de vous troubler, vous n'êtes point trahi. Quand vous commanderez, vous serez obéi. Ma vie est votre bien. Vous voulez le reprendre : Vos ordres sans détour pouvaient se faire entendre.
Page 88 - Allons, enfants de la patrie, Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé ! Entendez-vous, dans les campagnes, Mugir ces féroces soldats ? Ils viennent jusque dans nos bras Égorger vos fils, vos compagnes.
Page 76 - En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres : Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
Page 63 - Faut-il, Abner, faut-il vous rappeler le cours Des prodiges fameux accomplis en nos jours ? Des tyrans d'Israël les célèbres disgrâces, Et Dieu trouvé fidèle en toutes ses menaces ; L'impie Achab détruit, et de son sang trempé Le champ que par le meurtre il avait usurpé...
Page 79 - Rome qui t'a vu naître, et que ton coeur adore, Rome enfin que je hais parce qu'elle t'honore! Puissent tous ses voisins ensemble conjurés Saper ses fondements encore mal assurés! Et si ce n'est assez de toute l'Italie, Que l'Orient contre elle à l'Occident s'allie ; Que cent peuples unis des bouts de l'univers Passent pour la détruire et les monts et les mers...