Histoire de France d'Anquetil: continuée, depuis la révolution de 1789 jusqu'à celle de 1830, Volume 4Bureau central de l'histoire de France, 1845 |
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... Grecs pour aïeux ; puis les chefs- • d'œuvre de Raphaël , de Titien , de Paul Véro- » nèse , de Rubens , et tant de tableaux pré- » cieux » Les étrangers n'exemptèrent pas même du pillage le palais de leur propre allié Louis XVIII . C ...
... Grecs pour aïeux ; puis les chefs- • d'œuvre de Raphaël , de Titien , de Paul Véro- » nèse , de Rubens , et tant de tableaux pré- » cieux » Les étrangers n'exemptèrent pas même du pillage le palais de leur propre allié Louis XVIII . C ...
Page 837
... Grecs , laquelle , après s'être manifestée dans les deux principautés moldave et valaque , venait de s'étendre dans toute la Grèce méridionale . Les bornes de cet ouvrage ne me permettant pas de parler plus longtemps des révolutions de ...
... Grecs , laquelle , après s'être manifestée dans les deux principautés moldave et valaque , venait de s'étendre dans toute la Grèce méridionale . Les bornes de cet ouvrage ne me permettant pas de parler plus longtemps des révolutions de ...
Page 864
... Grèce ; et la France a frémi , parce que les victoires des Grecs sont nos victoires , parce que leurs désastres seraient nos désastres , parce que tous les cœurs français palpitent pour la cause sacrée de la religion , de la liberté et ...
... Grèce ; et la France a frémi , parce que les victoires des Grecs sont nos victoires , parce que leurs désastres seraient nos désastres , parce que tous les cœurs français palpitent pour la cause sacrée de la religion , de la liberté et ...
Page 869
... Grecs , qui excitait tant de sympathie dans tous les cœurs généreux ; celle des républiques américaines du Sud , dont l'opinion libérale réclamait la recon- naissance dans l'intérêt du commerce français ; et enfin la secousse que donna ...
... Grecs , qui excitait tant de sympathie dans tous les cœurs généreux ; celle des républiques américaines du Sud , dont l'opinion libérale réclamait la recon- naissance dans l'intérêt du commerce français ; et enfin la secousse que donna ...
Page 872
... Grèce occidentale : les Grecs étaient maîtres de Misso- longhi d'un côté , et de Navarin à l'autre extré- mité : leurs flottes ne cessaient de faire du mal à leurs ennemis ; et , ce qu'il y avait de plus heureux pour la cause de ce ...
... Grèce occidentale : les Grecs étaient maîtres de Misso- longhi d'un côté , et de Navarin à l'autre extré- mité : leurs flottes ne cessaient de faire du mal à leurs ennemis ; et , ce qu'il y avait de plus heureux pour la cause de ce ...
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Histoire de France d' Anquetil: continuée, depuis la révolution de ..., Volume 4 Louis-Pierre Anquetil Affichage d'extraits - 1837 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 783 - Déclarent solennellement que le présent acte n'a pour objet que de manifester à la face de l'univers leur détermination inébranlable de ne prendre pour règle de leur conduite, soit dans l'administration de leurs États respectifs, soit dans leurs relations politiques avec tout autre gouvernement, que les préceptes de cette religion sainte , préceptes de justice...
Page 736 - Soldats ! venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef. Son existence ne se compose que de la vôtre : ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres : son intérêt, son honneur, sa gloire ne sont autres que votre intérêt, votre honneur et votre gloire.
Page 767 - Bellérophon de me recevoir ainsi que ma suite, n'a voulu que tendre une embûche, il a forfait à l'honneur et flétri son pavillon. « Si cet acte se consommait, ce serait en vain que les Anglais voudraient parler...
Page 713 - Le Sénat conservateur, Considérant que, dans une monarchie constitutionnelle, le monarque n'existe qu'en vertu de la constitution ou du pacte social; Que Napoléon Bonaparte, pendant quelque temps d'un gouvernement ferme et prudent, avait donné à la nation des sujets de compter pour l'avenir sur des actes de sagesse et de justice; mais qu'ensuite il a déchiré le pacte qui l'unissait au peuple français...
Page 930 - Si de coupables manœuvres suscitaient à mon gouvernement des obstacles que je ne peux pas, que je ne veux pas prévoir, je trouverais la force de les surmonter, dans ma résolution de maintenir la paix publique, dans la juste confiance des Français et dans l'amour qu'ils ont toujours montré pour leurs rois.
Page 717 - LES Puissances alliées ayant proclamé que l'Empereur NAPOLÉON était le seul obstacle au rétablissement de la Paix en Europe , l'Empereur NAPOLÉON, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers , aux Trônes de France et d'Italie , et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 719 - Généraux, officiers, sous-officiers et soldats de ma vieille garde, je vous fais mes adieux : depuis vingt ans je suis content de vous ; je vous ai toujours trouvés sur le chemin de la gloire. « Les puissances alliées ont armé toute l'Europe contre moi ; une partie de l'armée a trahi ses devoirs, et la France elle-même a voulu d'autres destinées.
Page 617 - J'ai assez, je pense, prouvé au monde que je ne redoute aucune des chances de la guerre; elle ne m'offre d'ailleurs rien que je doive redouter.
Page 930 - ... la Charte a placé les libertés publiques sous la sauve-garde des droits de ma couronne ; ces droits sont sacrés ; mon devoir envers mon peuple est de les transmettre intacts à mes successeurs.
Page 932 - ... fait du concours permanent des vues politiques de votre gouvernement avec les vœux de votre peuple la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas.