Chefs-d'œuvre dramatiques de Voltaire..De l'Imprimerie de Mame, Frères, Rue du Pot-de-Fer, N0 14., 1810 |
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Chefs-d'oeuvre dramatiques de Voltaire: avec les observations des ..., Volume 1 Voltaire Affichage du livre entier - 1824 |
Expressions et termes fréquents
acte affreux aime ALBIN Allez amant amour ARASPE ARONS assez bras BRUTUS CEDIPE CHATILLON cher CHOEUR chrétiens ciel cœur CORASMIN Corneille courroux Crébillon crime cruel d'OEdipe d'Orosmane déja destin Dieu dieux digne DIPE dire douleur ÉGINE époux esclave FATIME fils funeste fureur gloire GRAND-PRÊTRE Hélas héros heureux homme hymen ICARE indigne j'ai jamais JOCASTE jour l'amour l'horreur Laïus larmes liberté LICTEURS lieux long-temps Lusignan m'en madame mains maître malheureux mérite MESSALA moi-même mont Cithéron mort mortel Motte Nérestan OEdipe OROSMANE ouvrage parler passions patrie père personnages peuple peut-être PHILOCTÈTE Phocide Phorbas pièce pleurs poëte Polybe porte Quirinale prince PROCULUS qu'OEdipe qu'un rime rois Romains Rome sais sang sauver SCÈNE secret seigneur sénat sentiments sérail serait seul Solyme Sophocle sort soudan soupçons sujet Tarquin tendresse théâtre Thébains Thèbes TITUS tragédie trahir tremble trépas triste trône TULLIE tyrans VALÉRIUS vertu veux vois voix Voltaire yeux Zaïre
Fréquemment cités
Page 165 - II n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Page 85 - A mon noir ascendant tu n'as pu résister : Je tombais dans le piège, en voulant l'éviter. Un dieu plus fort que toi m'entraînait vers le crime ; Sous mes pas fugitifs il creusait un abîme ; Et j'étais, malgré moi, dans mon aveuglement, D'un pouvoir inconnu l'esclave et l'instrument.
Page 20 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : .ii nos juge aux enfers tous les pâles humains.
Page 310 - C'est là que de sa tombe il rappela sa vie. Tu ne saurais marcher dans cet auguste lieu, Tu n'y peux faire un pas sans y trouver ton Dieu; Et tu n'y peux rester sans renier ton père, Ton honneur qui te parle, et ton Dieu qui t'éclaire. Je te vois dans mes bras et pleurer et frémir; Sur ton front pâlissant Dieu met le repentir...
Page 287 - Je le vois trop ; les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance. J'eusse été près du Gange esclave des faux dieux, Chrétienne dans Paris, musulmane en ces lieux.
Page 22 - II reçoit cette force heureuse Qui l'élève au plus haut degré. Telle , dans des canaux pressée, Avec plus de force élancée, L'onde s'élève dans les airs ; Et la règle , qui semble austère, N'est qu'nn art plus certain de plaire , Inséparable des beaux vers.
Page 67 - Nos prêtres ne sont point ce qu'un vain peuple pense: Notre crédulité fait toute leur science.
Page 164 - Anglais surtout ont donné des spectacles effroyables, voulant en donner de terribles, nous autres Français, aussi scrupuleux que vous avez été téméraires, nous nous arrêtons trop, de peur de nous emporter ; et quelquefois nous n'arrivons pas au tragique, dans la crainte d'en passer les bornes.
Page 117 - Dieux, que ne suis-je assise à l'ombre des forêts! Quand pourrai-je, au travers d'une noble poussière , Suivre de l'œil un char fuyant dans la carrière ! Insensée, où suis-je, et qu'ai-je dit?
Page 14 - Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli.