Œuvres, Volume 41805 |
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Page 10
... séjour Au tumulte pompeux d'Athène et de la cour ? Quel péril , ou plutôt quel chagrin vous en chasse ? HIPPOLYTE . Cet heureux tems n'est plus . Tout a changé de face , Depuis que sur ces bords les dieux ont envoyé La 10 PHEDRE .
... séjour Au tumulte pompeux d'Athène et de la cour ? Quel péril , ou plutôt quel chagrin vous en chasse ? HIPPOLYTE . Cet heureux tems n'est plus . Tout a changé de face , Depuis que sur ces bords les dieux ont envoyé La 10 PHEDRE .
Page 95
... cour , le roi lui - même , qui en avait été touché , n'ayant pu refu- ser à tout ce qu'il y a de plus grands seigneurs de les y mener , et ayant eu la satisfaction de voir , par le plaisir qu'ils y ont pris , qu'on se peut aussi - bien ...
... cour , le roi lui - même , qui en avait été touché , n'ayant pu refu- ser à tout ce qu'il y a de plus grands seigneurs de les y mener , et ayant eu la satisfaction de voir , par le plaisir qu'ils y ont pris , qu'on se peut aussi - bien ...
Page 106
... cour ; Et même ses bienfaits , dans toutes ses provinces , Invitèrent le peuple aux noces de leurs princes . Hélas ! durant ces jours de joie et de festins , Quelle était en secret ma honte et mes chagrins ! Esther , disais - je ...
... cour ; Et même ses bienfaits , dans toutes ses provinces , Invitèrent le peuple aux noces de leurs princes . Hélas ! durant ces jours de joie et de festins , Quelle était en secret ma honte et mes chagrins ! Esther , disais - je ...
Page 131
... cour . HYDASPE . Aman à votre porte a devancé le jour . ASSUÉRUS . Qu'il entre . Ses avis m'éclaireront peut - être . SCÈNE V. ASSUÉRUS , AMAN , HYDASPE , ASAPH . ASSUÉRUS . Approche , heureux appui du trône de ton maître , Ame de mes ...
... cour . HYDASPE . Aman à votre porte a devancé le jour . ASSUÉRUS . Qu'il entre . Ses avis m'éclaireront peut - être . SCÈNE V. ASSUÉRUS , AMAN , HYDASPE , ASAPH . ASSUÉRUS . Approche , heureux appui du trône de ton maître , Ame de mes ...
Page 138
... . ESTHER . Suis - moi , Thamar . Et vous , troupe jeune et timide Sans craindre ici les yeux d'une profane cour , A l'abri de ce trône attendez mon retour . SCÈNE IX . Cette scène est partie déclamée et partie 138 ESTHER .
... . ESTHER . Suis - moi , Thamar . Et vous , troupe jeune et timide Sans craindre ici les yeux d'une profane cour , A l'abri de ce trône attendez mon retour . SCÈNE IX . Cette scène est partie déclamée et partie 138 ESTHER .
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Expressions et termes fréquents
ABNER AMAN âme amour ARICIE ASAPH ASSUÉRUS ATHALIE autels AZARIAS Baal bras cacher chante Chantons charmes cher chercher CHEUR CHŒUR ciel cieux cœur colère courroux craint crime cruel d'Assuérus d'Esther d'horreur d'Ochozias David dessein devant Dieu dieux douleur Éliacin ÉLISE en-vain enfans enfant ennemis Enone ESTHER éternelle fille fils front funeste fureur gloire grand-prêtre haîne Hélas heureux HIPPOLYTE horreur HYDASPE innocent ISMAEL ISMÈNE ISRA ÉLITE ISRAELITE j'ai jamais Jéhu Jézabel JOAD JOAS Joram JOSABET jour Juifs l'amour l'innocence l'univers laisse larmes lévites lieux long-tems Madame main malheureux Mardochée MATHAN méchans mère moi-même monstre mort mortels NABAL Ochozias paix PANOPE par-tout père perfide peuple PHÈDRE pleurs prêtres prince profane reine rois rois de Juda sacré saint sais SALOMITH sang sans-doute secret seigneur Sion sœur soin songe soupirs superbe temple tems THÉRAMÈNE THÉSÉE traître tremble Trézène triste trône trouble veux vœux vois VOIX seule vous-même yeux ZACHARIE zèle
Fréquemment cités
Page 38 - Je l'aime, non point tel que l'ont vu les enfers, Volage adorateur de mille objets divers Qui va du dieu des morts déshonorer la couche; Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche, Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi, Tel qu'on dépeint nos dieux, ou tel que je vous voi. 640 Il avait votre port, vos yeux, votre langage, Cette noble pudeur colorait son visage, Lorsque de notre Crète il traversa les flots, Digne sujet des vœux des filles de Minos.
Page 61 - Examinez ma vie, et songez qui je suis. Quelques crimes toujours précèdent les grands crimes ; Quiconque a pu franchir les bornes légitimes, Peut violer enfin les droits les plus sacrés. Ainsi que la vertu, le crime a ses degrés ; Et jamais on n'a vu la timide innocence Passer subitement à l'extrême licence.
Page 35 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche , et ne me trouve plus : Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune; Je ne me souviens plus des leçons de Neptune ; Mes seuls gémissements font retentir les bois , Et mes coursiers oisifs ont oublié ma voix.
Page 6 - Ce que je puis assurer, c'est que je n'en ai point fait où la vertu soit plus mise en jour que dans celle-ci; les moindres fautes y sont sévèrement punies : la seule pensée du crime y est regardée avec autant d'horreur que le crime même...
Page 179 - Et quel temps fut jamais si fertile en miracles ? Quand Dieu par plus d'effets montra-t-il son pouvoir? Auras-tu donc toujours des yeux pour ne point voir, Peuple ingrat? Quoi? toujours les plus grandes merveilles Sans ébranler ton cœur frapperont tes oreilles ? Faut-il, Abner, faut-il vous rappeler le cours no Des prodiges fameux accomplis en nos jours?
Page 209 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Eliacin, vous avez su me plaire ; Vous n'êtes point, sans doute, un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis Reine, et n'ai point d'héritier ; Laissez là cet habit, quittez ce vil métier ; Je veux vous faire part de toutes mes richesses, Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Page 76 - Prenez garde, seigneur: vos invincibles mains Ont de monstres sans nombre affranchi les humains ; Mais tout n'est pas détruit, et vous en laissez vivre Un... Votre fils, seigneur, me défend de poursuivre.
Page 38 - Que faisiez-vous alors ? Pourquoi , sans Hippolyte , Des héros de la Grèce assembla-t-il l'élite ? Pourquoi , trop jeune encor , ne pûtes-vous alors Entrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bords ? Par vous aurait péri, le monstre de la Crète , Malgré tous les détours de sa vaste retraite : Pour en développer l'embarras incertain Ma sœur du fil fatal eût armé votre main.
Page 49 - Je connais mes fureurs, je les rappelle toutes. Il me semble déjà que ces murs, que ces voûtes Vont prendre la parole, et prêts à m'accuser, Attendent mon époux pour le désabuser.
Page 201 - J'entre : le peuple fuit, le sacrifice cesse, Le grand prêtre vers moi s'avance avec fureur : Pendant qu'il me parlait, ô surprise, ô terreur! J'ai vu ce même enfant dont je suis menacée, Tel qu'un songe effrayant l'a peint à ma pensée. Je l'ai vu : son même air, son même habit de lin, Sa démarche, ses yeux, et tous ses traits enfin ; C'est lui-même.