La France et sa civilisation de la révolution à nos joursH. Holt, 1923 - 296 pages |
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... victoire du 10 août . Il se montra digne de cette faveur et ne choisit comme représentants que des gens instruits Les députés , tous bourgeois et tous républicains , étaient pourtant divisés par des haines furieuses . Les Girondins ...
... victoire du 10 août . Il se montra digne de cette faveur et ne choisit comme représentants que des gens instruits Les députés , tous bourgeois et tous républicains , étaient pourtant divisés par des haines furieuses . Les Girondins ...
Page 35
... victoire de Jemmapes , la Hollande , la Russie , la Sardaigne , Naples , l'Espagne , le Portugal se joignirent à la Prusse et à l'Autriche . La France fut entourée d'un monde d'ennemis . Pour faire face au péril , la Convention vota la ...
... victoire de Jemmapes , la Hollande , la Russie , la Sardaigne , Naples , l'Espagne , le Portugal se joignirent à la Prusse et à l'Autriche . La France fut entourée d'un monde d'ennemis . Pour faire face au péril , la Convention vota la ...
Page 37
... victoire avait été insuffisante . Par milliers les révoltés provinciaux furent mitraillés à Lyon , jetés dans la Loire à Nantes . Girondins et Vendéens furent écrasés . Carnot et Jourdan remportèrent sur les Autrichiens la victoire . de ...
... victoire avait été insuffisante . Par milliers les révoltés provinciaux furent mitraillés à Lyon , jetés dans la Loire à Nantes . Girondins et Vendéens furent écrasés . Carnot et Jourdan remportèrent sur les Autrichiens la victoire . de ...
Page 39
... victoire de Fleurus , la Terreur parut horrible , et Robespierre s'aperçut lui - même qu'il fallait l'abolir . Mais aupara- vant , il voulut se débarrasser de ses collègues du Comité , Carnot et Cambon , ainsi que " d'une poignée de ...
... victoire de Fleurus , la Terreur parut horrible , et Robespierre s'aperçut lui - même qu'il fallait l'abolir . Mais aupara- vant , il voulut se débarrasser de ses collègues du Comité , Carnot et Cambon , ainsi que " d'une poignée de ...
Page 41
... victoire de Jourdan à Fleurus , la Belgique , puis la rive gauche du Rhin furent reprises ; le général Pichegru , envahissant la Hollande , enleva avec sa cavalerie l'escadre hollandaise bloquée dans les glaces . Par les traités de Bâle ...
... victoire de Jourdan à Fleurus , la Belgique , puis la rive gauche du Rhin furent reprises ; le général Pichegru , envahissant la Hollande , enleva avec sa cavalerie l'escadre hollandaise bloquée dans les glaces . Par les traités de Bâle ...
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La France et sa civilisation de la révolution à nos jours René Lanson,Jules Desseignet Affichage du livre entier - 1923 |
La France et sa civilisation de la révolution à nos jours René Lanson,Jules Desseignet Affichage d'extraits - 1926 |
Expressions et termes fréquents
Académies administrateurs Allemands alliés armée artistes avaient bataille Bonaparte bourgeois budget Carnot catholiques Chambre CHAPITRE Charles X civile Clemenceau clergé coloniale colonies combattants commerce congrégations conquête Conseil Constitution Convention culte département députés écoles Émile de Girardin établissements évêques fonctionnaires fortune française Gambetta général Girondins gouvernement Grande-Bretagne guerre Histoire hommes impôts indigènes Joffre journaux juges Jules Ferry l'Académie l'Allemagne l'Angleterre l'armée l'Assemblée l'Autriche l'Empereur l'empire l'enseignement l'État l'Institut l'Italie l'Université LAVISSE et RAMBAUD législation libéral liberté loi Falloux lois Louis XVI Louis-Philippe Mac-Mahon Maroc ment militaire milliards et demi millions ministre monarchie Napoléon Napoléon Bonaparte Napoléon III nation nationaux officiers organisation ouvriers paix Pape pays paysans pendant peuple Pie IX Pie X politique Président prêtres primaire principe Prix de Rome provoqua recrutés régime républicains reste Révolution révolutionnaire royalistes Russie Sénat service seulement socialistes soldats surveiller Thiers tiers état tion tribunaux troisième République troupes victoire voter XIXe siècle XVIIIe siècle
Fréquemment cités
Page 19 - Cependant, pour éviter toute équivoque et tout délai, allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple, et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes.
Page 105 - Nous proclamons, par les présentes, à jamais inviolable le droit des Alsaciens et des Lorrains de rester membres de la nation française et nous jurons, tant pour nous que pour nos commettants, nos enfants et leurs descendants, de le revendiquer éternellement, par toutes les voies, envers et contre tous usurpateurs.
Page 84 - Majesté le roi a refusé de recevoir l'ambassadeur français et lui a fait dire par l'aide de camp de service que Sa Majesté n'avait plus rien à communiquer à l'ambassadeur.
Page 72 - ... voir l'assemblée unique dégénérer en Convention rendit les orléanistes partisans d'un pouvoir exécutif fort. Les républicains aboutirent à la même conclusion pour ce motif doctrinal qu'il fallait donner à ce pouvoir une base électorale très étendue. L'Assemblée décida de le conférer à un président de la République, élu pour quatre ans au suffrage universel. Il nommerait, révoquerait les ministres et disposerait de la force armée. Quelques esprits clairvoyants avaient mis...
Page 182 - XI, a décidé que l'Institut serait composé de quatre académies : l'Académie française, l'Académie des inscriptions et belles-lettres, l'Académie des sciences, l'Académie des beaux-arts.
Page 181 - L'Institut est une des créations les plus glorieuses de la Révolution , une chose tout à fait propre à la France. Plusieurs pays ont des académies qui peuvent rivaliser avec les nôtres par l'illustration des personnes qui les composent et par l'importance de leurs travaux; la France seule a un Institut, où tous les efforts de l'esprit humain sont comme liés en faisceau, où le poète, le philosophe, l'historien, le philologue, le critique, le mathématicien, le physicien, l'astronome, le...
Page 50 - NAPOLÉON, Empereur des Français, roi d'Italie, protecteur de la Confédération du Rhin, médiateur de la Confédération suisse, etc., etc., etc.
Page 160 - Les officiers seront nommés par le Président de la République, sur la présentation du Ministre de la guerre, et d'après les propositions du Gouverneur général.
Page 246 - On me remit ensuite une poire à poudre vide en signe de paix, et je leur donnai mon pavillon. Mais alors tous les chefs voulurent en avoir un qu'ils frottèrent contre le premier; et bientôt toute la flottille oubendji fut pavoisée de nos couleurs.
Page 84 - SM le Roi, là-dessus, a refusé de recevoir encore l'ambassadeur français et lui a fait dire, par l'aide de camp de service, que SM n'avait plus rien à communiquer à l'ambassadeur.