OEuvres complètes avec des notes, et une notice sur la vie de Voltaire, Volume 2Didot, 1876 |
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... main dans une bataille . Toutes ses grandeurs , tous ses triomphes s'évanouirent ; son armée me nomma son capitaine par terre et par mer : alors je les menai à Constantinople , qui se mit en défense ; je mis le siége devant ses murs ...
... main dans une bataille . Toutes ses grandeurs , tous ses triomphes s'évanouirent ; son armée me nomma son capitaine par terre et par mer : alors je les menai à Constantinople , qui se mit en défense ; je mis le siége devant ses murs ...
Page 5
... main , malheureuse , et non pas des mains d'une bête . PHOCAS , en tendant les bras à Libia lorsqu'elle est prête à tomber du penchant de la montagne . Tu ne mourras pas ; je te soutiendrai , je serai l'Atlas du ciel de ta beauté : tu ...
... main , malheureuse , et non pas des mains d'une bête . PHOCAS , en tendant les bras à Libia lorsqu'elle est prête à tomber du penchant de la montagne . Tu ne mourras pas ; je te soutiendrai , je serai l'Atlas du ciel de ta beauté : tu ...
Page 42
... main 1 . Osez - vooien remplir un si hardi dessein ? FULVIE . Ösez - vous en douter ? Le destin nous rassemble a Cetrait n'est pas historique , mais il ne m'étonne point dans Fulvie ; c'était une femme extrême en ses fureurs , et digne ...
... main 1 . Osez - vooien remplir un si hardi dessein ? FULVIE . Ösez - vous en douter ? Le destin nous rassemble a Cetrait n'est pas historique , mais il ne m'étonne point dans Fulvie ; c'était une femme extrême en ses fureurs , et digne ...
Page 44
... main n'a pu suffire à mon âme hardie . Ces monstres que le ciel veut encore protéger Sont plus heureux que nous dans l'art de se venger . Pompée , en s'approchant de ce perlide Octave 2 , En croyant le punir , n'a frappé qu'un esclave ...
... main n'a pu suffire à mon âme hardie . Ces monstres que le ciel veut encore protéger Sont plus heureux que nous dans l'art de se venger . Pompée , en s'approchant de ce perlide Octave 2 , En croyant le punir , n'a frappé qu'un esclave ...
Page 45
... main qui vous menace ; La voici : vous deviez connaître mon audace . L'art des proscriptions que j'apprenais sous vous , M'enseignait à vous perdre , et dirigeait mes coups . Je n'ai pu sur vous deux assouvir ma vengeance ; Je l'attends ...
... main qui vous menace ; La voici : vous deviez connaître mon audace . L'art des proscriptions que j'apprenais sous vous , M'enseignait à vous perdre , et dirigeait mes coups . Je n'ai pu sur vous deux assouvir ma vengeance ; Je l'attends ...
Expressions et termes fréquents
affreux Agnès amant âme amour ARGIDE ARZAME ASTÉRIE ATHAMARE ATRÉE beau bras César CÉSÈNE Chandos chant Charlot cher ciel cieux CINTIA cœur combats courage crime cruel Datame Denys Dieu dieux DON PÈDRE Dunois ennemis ÉROPE esprit fesait fille fils frère FULVIE fureur gloire GOURVILLE L'AÎNÉ goût guerre Hélas Henri Henri III Henri IV Henriade HÉRACLIUS HERMODAN héros heureux HIPPODAMIE Homère homme IRADAN IRÈNE j'ai jamais Jean Chandos Jeanne JEUNE ARZÉMON JEUNE GOURVILLE jour JULIE l'amour Léonide LÉONORE lieux LISETTE lois long-temps MADAME AGNANT MADAME AUBONNE main maître malheureux MASSINISSE MÉGARE MÉGATISE MÉRIONE monsieur mort NINON OBÉIDE OCTAVE parle père peuple PHOCAS plaisirs pleurs poëme Polycrate Pompée PRESTINE prince Pucelle qu'un rien rois Romains Rome sage saint sang sanglant SCÈNE Scythes seigneur seul soldats Sophonisbe sort SOZAME SULMA Syphax temple TEUCER THYESTE tragédie TRANSTAMARE trembler Trimouille triste trône tyrans vainqueur venger vertu vois voix YDACE yeux
Fréquemment cités
Page 488 - Ce magistrat, dit-on, est sévère, inflexible ; Rien n'amollit jamais sa grande âme insensible; J'entends : il fait haïr sa place et son pouvoir ; II fait des malheureux par zèle et par devoir ; Mais l'at-on jamais vu, sans qu'on le sollicite, Courir d'un air affable au-devant du...
Page 287 - Aux murs de Westminster on voit paraître ensemble Trois pouvoirs étonnés du nœud qui les rassemble , Les députés du peuple , et les grands , et le roi , Divisés d'intérêt, réunis par la loi; Tous trois membres sacrés de ce corps invincible. Dangereux à lui-même , à ses voisins terrible.
Page 488 - Et que, disciple sage, il prétendit savoir Quel est l'état de l'homme, et quel est son devoir; Sur ce grand intérêt, sur ce point qui nous touche, Celui qui savait tout ouvrit alors la bouche; Et dictant d'un seul mot ses décrets solennels: "Aimez Dieu, lui dit-il, mais aimez les mortels.
Page 483 - Ce pain, cet aliment dans mon corps digéré, Se transforme en un lait doucement préparé ? Comment, toujours filtré dans ses routes certaines, En longs ruisseaux de pourpre il court enfler mes veines, A mon corps languissant rend un pouvoir nouveau. Fait palpiter mon cœur, et penser mon cerveau ? Il lève au ciel les yeux, il s'incline, il s'écrie : « Demandez-le à ce Dieu qui nous donna la vie.
Page 327 - Henri de l'amitié sentit les nobles flammes : Amitié, don du ciel, plaisir des grandes âmes ; Amitié que les rois, ces illustres ingrats, Sont assez malheureux pour ne connaître pas...
Page 326 - Avide de la gloire , il volait aux alarmes. Ce jour, sa jeune épouse, en accusant le ciel, En détestant la ligue et ce combat mortel, Arma son tendre amant, et d'une main tremblante Attacha tristement sa cuirasse pesante , Et couvrit, en pleurant, d'un casque précieux Ce front si plein de grâce et si cher à ses yeux.
Page 294 - Mais ce que l'avenir aura peine à comprendre, Ce que vous-même encore à peine vous croirez, Ces monstres furieux de carnage altérés, Excités par la voix des prêtres sanguinaires, Invoquaient le Seigneur en égorgeant leurs frères , Et, le bras tout souillé du sang des innocents, Osaient offrir à Dieu cet exécrable encens. O combien de héros indignement périrent ! Rénel et Pardaillan chez les morts descendirent ; Et vous, brave Guerchy ; vous, sage Lavardin, Digne de plus de vie et d'un...
Page 293 - Je ne vous peindrai point le tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris, Le fils assassiné sur le corps de son père, Le frère avec la sœur, la fille avec la mère, Les époux...
Page 489 - J'ai fait quelques ingrats, et ne l'ai point été. Certain législateur1, dont la plume féconde Fit tant de vains projets pour le bien de ce monde, Et qui depuis trente ans écrit pour des ingrats, Vient de créer un mot qui manque à Vaugelas : Ce mot est bienfaisance : il me plaît ; il rassemble, Si le cœur en est cru, bien des vertus ensemble.
Page 326 - D'un choc épouvantable ils se frappent soudain. La terre en retentit, leurs lances sont rompues : Comme en un ciel brûlant deux effroyables nues, Qui, portant le tonnerre et la mort dans leurs flancs, Se heurtent dans les airs, et volent sur les vents : De leur mélange affreux les éclairs rejaillissent; La foudre en est formée, et les mortels frémissent.